mercredi 24 décembre 2008
Ah, oui, Joyeux Noel !
mardi 23 décembre 2008
Second bilan, second hommage
Des changements aussi dans les articles, puisque par le passé, j'orientais précisément mon blog sur l'actualité de ma ville. Plus ou moins vivante, plus ou moins intéressante, je ne tardais pas à raconter des anecdotes puis à m'élargir vers des faits de société, sans pour autant m'obliger à traiter de l'actualité assidument. Objectif number one: parler de ce que j'ai envie. Plutôt que de me plaindre sans cesse des infos, je préfère délirer sur des histoires à la con. J'en avais déjà parlé il y a peu. En ce qui concerne mon style d'écriture, en relisant mes vieux articles, je constate qu'il reste le même. C'est bien, c'est moi! Donc ça va pas changer...
Mais j'en oublie plein d'autres! Mathieu, le Privilégié, Obi3fr et son blog excellent, La Tortue et ses anecdotes croustillantes sur la cour de récré, ainsi que Fanette, de qui je viens de redécouvrir par hasard (!) les interêts blogostiques (mais t'étais où Fanette?)...
- Bref, la blogosphère, c'est une toile immense où chacun communique indirectement, si possible dans le respect des autres. C'est aussi un plaisir que de partager ses idées, d'enrichir ses connaissances et de se distraire par la lecture ou le visionnage des pépites du net. Encore une fois, merci à tous et à bientôt.
lundi 22 décembre 2008
Dofus et l'Univers de Janaël
J'ai testé pour vous.
Après une inscription et un téléchargement très long pendant lequel j'ai failli abandonner - sauvé par un épisode de la série Dead like me -, le jeu se lance enfin. Il s'agit d'un jeu en ligne multijoueur, à l'instar d'un World of Warcraft ou autre compère du genre. On vous propose d'abord de créer un personnage médiéval, auquel sera attribué des compétences magiques. On part donc sur un jeu de rôle avec des combats en tour par tour. L'esprit graphique est limité au strict minimum, un affichage en flash, relativement désuet. Le personnage lui-même est mal animé et en simple 2D. On a vu mieux et plus joli. Mon personnage évolue alors au grès des combats, et peut aussi rencontrer d'autres avatars de joueurs français. On a la possibilité de leur parler, de les affronter, etc... et donc d'entrer en contact avec eux au fur et à mesure des quêtes qui nous sont confiées. Prenant, Dofus peut l'être pour le peu qu'on s'y implique. Original... non, il ne l'est pas. Des écrans fixes, des graphismes simplets, un univers complexe, un monde de joueurs. Son point fort et de mettre en rapport les gens dans un univers virtuel et enfantin, de laisser s'évader les soucis et peut-être les oublier un temps. A mon âge, il perd de son intérêt et touchera un nombre plus restreint de personnes. Mais le fait qu'il soit gratuit, principalement, et accessible facilement, explique qu'il soit la cible de passions déchainées des adolescents. Le journal explique que parfois, des déviances s'observent au détriment des résultats scolaires et des activités sociales, même si certains s'en défendent. Je retrouve donc mon camarade, fier de jouer à ce jeu grâce auquel il aurait rencontré réellement des joueurs des quatre coins de la France avec lesquels il partage des nuits d'aventure virtuelle.
Addiction ou pas, il y a un age pour tout, un temps pour tout. Moi aussi je passe du temps parfois devant des jeux vidéos pour me défouler ou m'évader. Certains me prennent même du temps, mais la vie sociale réelle passe bien avant. Je respecte le choix des fans même si je ne comprends pas toujours leur implication. Et Janaël, si tu me lis, tu comprendras que nos univers sont différents à présent, ce qui n'empêche jamais de se les faire découvrir et les partager. Ça s'appelle l'enrichissement personnel. Et ça, Dofus ou pas, seule la vie peut l'apporter.
jeudi 18 décembre 2008
Main Square Festival 2009: et avec Blur?
mardi 16 décembre 2008
Bienvenue chez les Crados
lundi 15 décembre 2008
Premier bilan et Grand hommage
Hommage à...
Nicolas J, homme de conseil, dont l'avis intéresse tout le monde, qui fait pétiller l'actualité politique en offrant un point de vue critique très à propos, mais qui sait aussi partager des âneries et le reste.
Coucou de Claviers, qui, de son perchoir sans électricité, apporte sagesse et détail à l'actualité, avec le recul nécessaire pour faire croustiller les détails.
Webkili, qui blogue pour délirer et dégote sur la toile des actualités aussi diverses qu'étonnantes, avec toute la variété nécessaire pour attirer le grand public.
Monsieur Poireau, adepte des sous-titres en intervalles, apporte humour et dérision aux sujets sérieux. Son style, léger et attirant, est un agréable moment de lecture profitable à tous.
Tizel, ce cher ami qui m'a fait le compliment que sa façon de bloguer ressemblait à la mienne: c'est tout le contraire, et sa facilité d'écriture, la variété de ses sujets et sa volonté de partager ses idées avec ses lecteurs expliquent que je le lise depuis deux ans maintenant.
Gael, qui parle de tout et de rien, surtout de rien d'ailleurs, amène lui aussi son point de vue sur la politique, la société et son petit monde. Subtil et racé, ses textes font preuve d'ingéniosité et touchent ses lecteurs.
M., kiné du service, a lancé son blog il y a peu - finalement - et est déjà très active. Revendicatrice, elle n'hésite pas à pousser ses coups de gueule, et aborde ses textes avec un parti qui lui est propre, ce qui amène à la réflexion et à la conversation.
- Ceci n'est que la première vague. Ils sont encore nombreux à m'avoir vu passer, inscrire un commentaire de soutien, et je les mettrai en avant dès la semaine prochaine. Ce sont les petits nouveaux - pour la plupart, car d'autres sont ancrés dans ma tradition de lecture du matin. La liste ne sera jamais exhaustive, je découvre des sites tous les jours au fil des commentaires, ici ou ailleurs. Je les apprécie et j'espère que c'est réciproque. A tous, je dis merci de m'apporter autant de richesse, et je vous souhaite une bonne continuation.
vendredi 12 décembre 2008
Le jour où je me suis tapé une déesse exotique
Joignant le geste à la parole, je me saisis d'un couteau et plantait violemment la lame aiguisée dans sa chair meurtrie. Elle n'eut pas le temps de réagir. Déjà, elle lâchait prise, et sur la lame trempée j'observais s'écouler sa dernière étincelle de vie. Pas un souffle, j'insistais sur le couteau et bientôt, elle s'écroula. Ou presque. Je tombais sur un os, et seul un lambeau se détacha. Je le saisis et le portais à ma bouche, me délectant de son odeur et de son goût. Le plus dur, ça allait être d'ôter la peau.
C'est super dur de découper une mangue.
C'est ainsi que je forçais sur le couteau, le noyau très large gênant la démarche, je me contentais d'en couper quelques morceaux et de me régaler avec ce fruit bien mûr. Ronger le noyau était galère, le fruit étant filamenteux, Marge passa une bonne partie de son temps à faire des réserves entre ses dents. On a finit dans un bain de jus de mangue, la table maculée du liquide sucré, les doigts dégoutants et les papilles ravies. De gros morceaux charnus avaient été dégustés, et à présent il était temps de s'interroger: allait-on en racheter ou baisserai t'on les bras face à l'adversité?
Ce n'est qu'à ce moment là que je pensais à regarder sur le net comment on découpe une mangue. Et même là, y'a un piège. Sur la vidéo, on ne la voit pas se heurter au noyau. Alors je vous le dis, si c'est pour n'en manger que la moitié, non merci !
mercredi 10 décembre 2008
Homer et la géographie des villes
mardi 9 décembre 2008
Dans le cochon, tout est bon
lundi 8 décembre 2008
Se distinguer des autres
Alors, on lit. On lit d'abord le flux d'actualité, puis les blogs qu'on connait, et on essaie de ne pas écrire pareil, de ne pas traiter du même sujet, car l'intérêt premier de la lecture est de s'enrichir culturellement. Si c'est pour lire quatre blogs qui parlent de la Crise, très peu pour moi: un seul suffira, le reste passe à la trappe pour cette fois.
Enfin, pour se faire remarquer, il faut être perspicace: parler d'un sujet de société ou d'un événement qui sort de l'ordinaire intéressera les lecteurs en mal de nouveauté, et, s'ils tiennent un blog, les induira sans doute à mettre un lien vers votre article s'il leur plait.
C'est donc là que réside toute la difficulté: se mettre en avant sans plagier ni répéter ce qui se dit ailleurs. D'où l'importance d'axer sa réflexion vers des sujets variés, et mon enjeu personnel à ne pas spécialiser ce blog.
vendredi 5 décembre 2008
jeudi 4 décembre 2008
Un bug sur le Chemin du Rayon !
Je réfléchis donc à faire marche arrière, et à rendre au Chemin un look plus conventionnel, moins personnalisé. Le fait de rétablir un modèle prédéfini devrait corriger le problème du flux RSS Blogger. Ca ne changera rien à l'abonnement - normalement. Néanmoins, quand je lancerai le feu vert de la nouvelle interface, merci, chers abonnés Netvibes ou autre, d'actualiser votre flux en conséquence, si nécessaire. Ça me ferait de la peine de vous perdre.
mercredi 3 décembre 2008
129ème, c'est bien?
Vidéo à la demande gratuite chez C Discount
Pour info, c'est limité à 30 000 téléchargements par film...
lundi 1 décembre 2008
Pour une bière de plus...
C'est ainsi que je visitais la cave de ce magasin, où se présentent des centaines de bières artisanales ou non, à choisir à l'unité pour de futures dégustations dans le confort de mon canapé, face à un match de football diffusé à la télé...
samedi 29 novembre 2008
Personnaliser ses timbres grâce à la Poste
La Poste fait preuve d'une initiative intéressante en proposant en ce moment la possibilité de personnaliser ses timbres ! Un truc sympa pour les fêtes ! L'offre Montimbramoi ravira moins les collectionneurs officiels, mais mettra une dose de fun dans les envois de vos impôts: faites une grimace à votre percepteur, et vous aurez peut-être droit à sa visite pour Noël !
Pour cela, il suffit de cliquer sur ce lien, ou d'aller sur le site internet www.laposte.fr/montimbramoi et de suivre les consignes. D'abord, télécharger l'image ou la photo que vous voulez voir apparaitre sur le timbre. Ensuite, grâce à un outil très simple d'utilisation, vous pourrez agrandir, recadrer, sélectionner un morceau de la photo ou ajouter des motifs provenant de la librairie fournie : une sorte de Paint pour personnaliser vos photos ou leur donner une touche excentrique. Pour ceux qui s'impliquent encore plus, d'autres options permettent d'ajouter un message perso à la plaquette... utile si vous gardez les timbres ou offrez la plaquette entière à quelqu'un. Enfin, gardez une copie de sauvegarde sur le site La Poste. Celle-ci inspirera peut-être d'autres internautes.
Bref, une initiative intéressante, que vous connaissez peut-être déjà. Si ce n'est pas le cas, profitez des événements de la vie pour les immortaliser de façon originale : timbres de Bonne Année, mariage ou naissance, toutes les occasions sont bonnes. A noter le prix du colis, créé et livré à domicile sous huitaine : 12 euros maxi les 10 timbres. Pour quelque chose de personnalisé, c'est relativement abordable. A l'approche des fêtes, si vous cherchez une idée cadeau qui sort de l'ordinaire, la plaquette de Timbres personnalisés peut être un bon plan.
vendredi 28 novembre 2008
La chronique des voisins: l'espion amoureux
Et puis, depuis notre dernière conversation, plutôt mouvementée, le calme est revenu. Ça faisait quelques temps qu'on entendait des pas différents ces soirs de silence, des pas nouveaux, un timbre de voix inédit: celui d'une femme. Et hier, j'ai enfin vu de mes yeux la raison d'un tel bien-être. Le gaillard a une copine. Certes elle est plus grande que lui. Certes elle est plus jolie que lui. Certes elle semble plus mince que lui. Mais surtout elle est plus sotte que lui - sinon elle irait pas avec, c'est sûr ! Et puis, est-ce que sa vie la nuit lui conviendra, quand viendra le moment des calins douillets sous la couette? Devra t'elle s'entrainer seule avant, le temps que ses camarades de beuverie partent?
Quand on dit que l'amour est aveugle, on aurait envie de faire un don de cornée pour épargner à ces gens la dure réalité de la vie, le jour où elle ouvrira les yeux sur un autre et qu'elle comparera.
jeudi 27 novembre 2008
Bon anniversaire Marge !
mercredi 26 novembre 2008
Enfin des belles fesses ! (ah les gros nichons !)
True Blood
mardi 25 novembre 2008
Martine Aubry espionnée?
Retrouvez cet article aussi sur Buzzwire !
Américanisation : TF1 et la réforme de l'audiovisuel
Pour revenir sur le logo, il semble que la volonté de la chaine soit d'éclaircir ses émissions, de rappeler à ceux qui zappent sur quel bouton ils viennent d'appuyer... mais je pense personnellement qu'il s'agit d'un début d'américanisation de la chaine. Je m'explique.
Aux Etats-Unis, les chaines diffusent avec un logo gris constamment affiché à l'écran. Pas de couleur, que du gris. CBS, CW, Fox et abc, ces chaines sont depuis longtemps passées au 16/9e, certaines à la HD, et donc au petit logo transparent. De plus en plus, TF1 copie. Volonté de modernisation ou pas, l'arrivée de la réforme audiovisuelle va encore accentuer la donne, puisque vos films ou émissions seront entrecoupées de publicités, des spots dont la longueur et la quantité passera d' une seule coupure pub de 9 minutes à deux coupures de 6 minutes chacune environ. Comme aux States, ou un simple épisode de Prison Break est coupé pas moins de 5 fois pour des spots diffusés façon mitraillette (merci à Ed Wood pour l'info). Alors que les recettes publicitaires de la première chaine (et peut-être aussi de la petite chaine qui monte?) augmenteront, on est en droit de se demander si l'audimat suivra. Il est tout de même agaçant d'être au cœur de l'action d'un épisode de Joséphine, ange gardien, et d'être coupé par une pub pour Mir Laine ou Euromaster. Deux fois. Gavant.
lundi 24 novembre 2008
Les médecins sont la cause du Trou de la Sécu (Tout ou partie?)
En effet, à l'origine, la Sécurité Sociale devait s'autofinancer par le reversement de certaines taxes (pour un "revenu" global de 18 Milliards d'euros) qui n'ont jamais été reversées au budget de la Santé. En clair, la Sécu devrait être excédentaire. C'est pourquoi le gouvernement tenta une réforme pour restreindre le fameux trou sans fond dont on parle depuis des années. Le fer de lance? La responsabilisation. Des assurés, s'entend.
Ainsi, on a mis en place un système de déremboursement, de participation forfaitaire, d'augmentation du pris des médicaments et des contrôles de fraudes (arrêts de travail intempestifs). Mais sur ce dernier point, la restriction des fonctionnaires ne permet pas de couvrir suffisamment d'enquêtes. Le chien se mord la queue. J'en viens alors au titre de cet article: comment éviter que les gens se mettent en arrêt maladie pour un oui ou pour un non? En responsabilisant à leur tour les médecins ! Jusqu'ici, ceux-ci n'ont reçu qu'une plaquette peu intimidante de la Sécu, et peut-être une tape sur les doigts disant "c'est pas bien" accompagné d'une augmentation tarifaire deux mois après. Mais le médecin est un homme, il a besoin d'argent, et a vite compris que le travailleur pas trop malade serait une jolie vache à lait. Plus encore que le vraiment malade, qui s'abstiendrait bien de ses visites trop courantes chez le praticien. Certains d'entre eux reçoivent donc des patients, diagnostiquent une pilule et soignent au premier rendez-vous. D'autres sont plus perfides (ou moins compétents?), et reçoivent un type pas trop malade, qui pourrait aller bosser, mais qui demande trois jours d'arrêt. Et le docteur lui donne. En sus, il ajoute un nouveau rendez vous à la fin de la semaine, pour voir si le patient est bien reposé. 44 euros dans son escarcelle, et minimum trois jours renouvelables pour le patient. Ça, ça coute à la Sécu, non?
Messieurs les médecins (et Mesdames, d'ailleurs) ne vous offusquez pas: vous avez votre conscience pour vous, et cet exemple est un fait avéré pour certains de vos confrères peu scrupuleux mais ne vous concerne peut-être pas? Quoiqu'il en soit, il y a de plus en plus d'arrêts maladie de courte durée, et non justifiés, spécifiquement pendant les vacances scolaires, qui engendrent un déficit à la Sécurité Sociale qu'il convient d'enrayer. Alors plutôt que de sanctionner l'assuré qui abuse, peut-être devrait-on "dire" à son médecin de ne pas donner d'arrêt, simplement (même quand le patient réclame!)?
La responsabilisation, ça marche dans les deux sens.
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Aujourd'hui on cartonne !
Il a neigé sur Arras ce week-end. Ça n'était pas arrivé en Novembre depuis des années.
jeudi 20 novembre 2008
Le bout du Chemin?
La réouverture de BuzzWire n'y change rien. Après le buzz Noir Désir, qui a vu se lancer le site sur les chapeaux de roue, la fréquentation s'est stabilisée pour suivre à peu près celle du Chemin. Correct mais sans plus. Le compte n'y est pas, j'espérais plus de ce second blog. Il faut que je trouve autre chose pour lui. Ne me dites pas qu'il faut du temps, je suis conscient que ce n'est pas ce ça qu'il s'agit. Je pense - je sais - qu'il va évoluer vers autre chose et redevenir lieu de débat plus personnel. En fait, je me mets trop la pression, à moi de commenter ce que je veux, quand je veux, comme je veux, avec mon opinion, et qu'importe les avis : je me fais plaiz' ! Mes amis, je vous annonce du changement. Gardez un oeil sur BuzzWire.
Malgré tout, je ressens ce ralentissement comme une menace pour ceux qui lacheraient la mince ficelle qui les tient à leur blog. A moi, peut-être, de faire un effort supplémentaire pour le maintenir en vie: au delà des articles journaliers (avec ma traditionnelle pause le week-end), je devrais continuer à lire, à commenter, à m'intéresser au travail des autres - ce que je fais avec un plaisir évident et un enrichissement personnel constaté - mais aussi et surtout aller vers d'autres blogs, m'y attacher, ou pas, et développer mon réseau tel un Facebook en folie. Tizel le disait il y a quelques temps, un blog, ça prend du temps, ça demande de la recherche et de l'investissement. J'ajouterais qu'un blog vit aussi par les visites qu'on lui apporte, c'est un lieu de passage et d'échange.Un effort constant qui explique, peut-être, le besoin de se relâcher de temps à autre.
mercredi 19 novembre 2008
Mon avis sur le Congrès de Reims
A contrario, l'UMP se frotte les mains. Pendant qu'on croit que le PS est toujours plus divisé et qu'il attire l'attention, l'opinion publique n'aperçoit pas que les valeurs démocratiques de ce parti ont simplement foutu le camp. Un leader qui s'est imposé sans concurrence, qui impose ses idées et son point de vue, une autorité presque dictatoriale et des écarts de conduite qui n'entrainent pas de discussion et sont sévèrement réprimés. On décourage l'ambition, contrairement à gauche. Les dissidences sont masquées. Et rien ne filtre, ou presque, en ce moment. Mais que se passe t-il à l'UMP? Ou sont les valeurs républicaines? Comment peut-on, quand on y est adhérent, être d'accord avec toutes les idées du Grand Chef? Impossible, je ne vous le fais pas dire. Derrière ce qui semble être une unité se cache peut-être un plus grand désordre pour la France que celui affiché ces jours-ci par un PS qui cherche à avancer.
mardi 18 novembre 2008
Le client de dernière minute
Celui-là, il pose des questions et fait les réponse. Ce qui peut s'avérer reposant au prime abord devient vite délicat. Il faut suivre ce qu'il dit car une fois qu'il a fini, il vous pose LA question qui tue, celle à laquelle vous répondez forcément par un "hein?" disgracieux, signe qu'il vient de vous réveiller d'une longue somnolence. Enfin, il y a le client qui passe avec une question technique dont personne n'a jamais entendu parler, à la recherche de l'astuce qui, dans son cas, lui éviterait de payer trop d'impôts, de cotisations ou de trop rembourser. La faille dans le système, qui sort du dossier banal, puisqu'il a réussi à faire planter votre système informatique rien qu'en entrant son numéro identifiant. Ce filou rassemble tellement d'astuces pour éviter de payer que le logiciel prévu refuse de fonctionner... D'ailleurs, c'est souvent en recevant ce client tardif que le système informatique plante. Mais alors, royalement, genre écran bleu. Vous vous retrouvez donc là, face au gars qui commence à baver d'impatience, les yeux éberlués et qui vous pose des questions, alors qu' inlassablement, votre PC répond "error system" à toutes vos requêtes. Vous appelez le service informatique, mais à cette heure, tout le monde est parti. La preuve, ils ont éteint le serveur... Vous restez seuls, ensemble, à meubler. C'est le moment de sortir un truc intelligent pour le faire partir, ou se préparer à une longue nuit en sa compagnie... Pour terminer, imaginons la situation réelle d'un service de ma connaissance :
En milieu de journée, un client se pointe pour un dossier. A peine entré dans le local, une petite odeur pestilentielle se fait sentir. Au début vous pensez que vous avez lâché une perle discrète mais sucrée, jusqu'à ce que vous réalisiez qu'on est toujours à l'aise que dans sa propre puanteur: c'est donc le client qui a pété, ou qui, simplement, pue le phoque (mort)! En général, vous passez par toutes les couleurs avant qu'il parte ou que vous lui vomissiez dessus. Une fois le client parti, vous comprenez pourquoi votre collègue a laissé à disposition une bombe désodorisante pour purifier votre espace vital.
Ce sont ces petits moments qui n'égayent pas votre début de soirée. Au moment où vous pointez, vous n'avez plus qu'une envie : vous coucher (seul ou avec le client si vous avez sympathisé) pour oublier que normalement, vous deviez partir "à l'heure" aujourd'hui...
lundi 17 novembre 2008
Carte Leclerc: un frein à la consommation?
Eh bien non ! Car le lendemain, voulant aller écouler la somme exorbitante de 3 euros dans le magasin où je passe habituellement, l'aimable caissière m'informe que ma carte est vide, et que chaque point accumulé dans un magasin Leclerc n'est valable que dans ce magasin exclusivement, et avant le 31 décembre - histoire d'embêter le monde si ce magasin est celui de vos dernières vacances à 800km de là. Ce qui est quand même un peu nul, avouons-le. Dans le grand concours des cartes de fidélité, la carte Leclerc semble donc être la moins intéressante. A Auchan, le cumul de vos points est valable partout il me semble, et tout l'argent récupéré s'accumule sur un seul et même compteur. Alors que son concurrent direct dans ma ville ne propose pas vraiment une contrepartie compétitive. Il n'est déjà pas évident d'accumuler des points en fonction des produits qu'on achète, si en plus il faut tenir un compteur selon le magasin où on se rend, ça démotive sérieusement. Il est pas gêné de faire des sous, Monsieur E. Leclerc...
vendredi 14 novembre 2008
BuzzWire est de retour... Allelujah !
Mais on verra bien, chaque chose en son temps.
Un monde sans Star'Ac
L'annonce a beau avoir été démentie par le groupe Endemol, les audiences ne font aucun doute: la vie va pouvoir reprendre son cours sans la Star Academy ! Un rêve devenu réalité pour beaucoup de mélomanes qui souffraient des piètres performances d'artistes de supermarché, venus là avec leurs titres et leur talent sans avoir rien à apprendre, à part à se maquiller comme Armande Altaï, ce qui est déjà un exploit. Terminé les SMS qui plombent votre forfait pour rien, terminé les performances d'acteur de Nikos Mycose Aliagas, terminé les prime-times où on ne voit que des chanteurs morts ou presque, terminé le tapage médiatique autour de ces pseudos chanteurs qui désintéressent presque tout le monde... sauf leurs fans, 4 Millions de désespérés qui n'ont pour seule émission de variété en France que les chansons vieillottes imposées par TF1 et les acrobaties chorégraphiques orchestrées - avec talent, tout de même- par Kamel Ouali. Un monde sans Star'Ac. Vous l'avez rêvé. Les audiences l'ont fait.
Record absolu
jeudi 13 novembre 2008
De l'argot et un bisou
Pour info, si je lui fais un bisou dans les commentaires, c'est pour être poli. Na !
mercredi 12 novembre 2008
La chronique des voisins: la fiesta de samedi
Mais c'est de sa faute, non?
lundi 10 novembre 2008
Je ne vous oublie pas !
vendredi 7 novembre 2008
Des projets plein la tête
- Mais un cruel manque de temps pour y penser et les réaliser. C'est un peu la raison de mon absence sur vos blogs ces derniers jours. Je survole l'actualité, ayant du mal à m'organiser pour contenter tous mes besoins: je suis quelqu'un qui fait plein de choses et qui veut souvent tout faire tout de suite. Du coup, j'entame la moitié et je finis à peine le reste. Bref, il me faut du temps pour contenter mes projets. Et ça tombe bien, du temps, je vais en avoir un peu ce week-end. Alors je me partagerais entre les premiers achats de Noël, le visionnage de quelques séries, les moments de détente et les sorties, le bricolage, mais aussi dans - attention, roulement de tambour - la préparation de la renaissance de BuzzWire ! Et oui, vous pensiez le site fermé, mais je rappelle qu'il n'en était rien: l'actualité étant un domaine très commenté ou relayé dans les blogs, il me fallait trouver un nouveau credo. Je pense être sur la bonne voie, mais chut, vous en aurez la surprise et l'annonce sera faite ici de manière officielle. Je ne peux pas en dire plus. En attendant, je vous souhaite un bon week-end et on se retrouve lundi !
jeudi 6 novembre 2008
Obama n'est pas le premier Président Noir aux Etats-Unis
mercredi 5 novembre 2008
Scoop !
lundi 3 novembre 2008
Direct Energie: des arnaqueurs, oui !!
samedi 1 novembre 2008
Qui c'est qui pue? C'est le barbu !
jeudi 30 octobre 2008
A Portée d'Art : comme son nom l'indique
C'est là qu'intervient le nouveau concept d'A Portée d'Art . Rien que le nom est subtil. L'idée principale est de vous faire comprendre une perception de l'art, en maintenant les choses à leur plus simple degré. Pas besoin de connaitre le solfège pour apprécier le jazz, pas besoin de lire des documentations complexes pour accéder à la connaissance ou à l'histoire de la musique: lors des stages proposés, vous pouvez explorer le rock comme la musique classique, la peinture, le cinéma (eh oui!) ou la photographie. Je suis particulièrement intéressé par une étude du cinéma, c'est désormais accessible suivant deux formules : cours "magistral" en une après-midi, ou week-end d'initiation à Paris. La première formule est à 69 euros, mais la possibilité de faire intervenir les Comités d'Entreprises ou d'obtenir un chèque cadeau sur le site officiel rend accessible cette mini-formation à tous. D'autant qu'il est inutile d'aller bien loin: A Portée d'Art propose des cours dans 12 villes: Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Metz, Montpellier, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse, la ville rose.
Je me vois déjà en train d'explorer mon moi artistique, retranscrire quelques notes sur ma guitare, briller dans les soirées mondaines en discutant du dernier accord en Fa mineur d'ACDC, ou de Van Gogh qui n'était pas sourd d'une oreille, ou encore de Spielberg qui ne s'est pas inspiré d'E.T en allant aux toilettes un soir de cuite, contrairement aux croyances. C'est aussi l'occasion de partager ses connaissances avec d'autres, plus ou moins au fait de la chose. Une opportunité à ne pas manquer. Aussi, au final, je vous invite à visiter le site officiel d'A Portée d'Art en cliquant sur le lien !
mercredi 29 octobre 2008
L'institutrice en chaleur a du succès !
Voilà. Ce récit - sans suite à priori ;-) - était juste une petite suggestion aux 16% de visiteurs qui arrivent ici en tapant "institutrice en chaleur" sur Google.
Super requête!
Bien à vous,
Homer
mardi 28 octobre 2008
Feeder - Just a day
Blogger évolue, j'avais pas vu.
lundi 27 octobre 2008
La chronique des voisins: le Bonjour
vendredi 24 octobre 2008
De l'importance d'un bon titre
Le titre, c'est essentiel, il est l'accroche principale pour tout lecteur. C'est d'autant plus vrai depuis l'explosion des agrégateurs de flux comme Netvibes, où l'indexation de vos articles s'organise autour du titre. Du coup, un lecteur fidèle ira lire plus facilement un article si le titre l'interpelle. Un exemple bateau qui n'engage que moi: si le titre comporte des mots complexes ou parle d'un sujet qui ne m'intéresse pas, trop banal ou trop commun sur la toile (notamment en ce qui concerne l'actualité), j'ai tendance à zapper. En revanche, si l'approche est originale, fun ou subtile, ou qu'elle révèle l'intérêt de l'article, alors ça titille ma curiosité et je me lance dans la lecture de celui-ci. Sélectionner par le titre est le seul moyen d'optimiser ses lectures, surtout quand on aime ça mais qu'on manque de temps. Le matin, je lis une demi-douzaine d'articles en m'appuyant d'abord sur l'intitulé. Le reste c'est pour le soir, si j'ai du temps. Obligé, pas le temps. Et pourtant je commence de bonne heure, Nicolas J en témoignera.
Le titre importe aussi pour le référencement du blog ! En effet, l'utilisation de mots-clés ou de termes fréquemment recherchés haussera votre fréquentation et votre référencement dans les moteurs de recherche. Attention à la saturation, utiliser le mot sexe ne vous apportera rien vu la pléthore de sites qui l'utilisent déjà. Il faut donc être subtil et précis. Néanmoins, pour le lecteur fidèle, seule l'accroche bien faite importe, pas le référencement.
Le titre doit être une ouverture claire vers le sujet. Marquer un truc du genre "Ergonomie des monastères" et parler du dernier fabricant de sabots en Lozère, c'est trop décalé. Même si de temps en temps, un intitulé loufoque et complètement hors de propos pourra vous amener de sympathiques visiteurs ou vous positionner dans les classements - pour ceux que ça interesse - plus facilement quand même. Une pointe d'humour, un titre précis et "racé", parfois suivi d'un sous-titre plus clair, un jeu de mots... plein de solutions faciles s'offrent au bloggeur pour optimiser son en-tête.
Mais bien sur, l'article en lui-même est le plus important, c'est pourquoi la plupart des bloggeurs développent leur post avant d'y trouver un titre.Trouver un bon titre ne dispense donc pas d'un bon article. Car tous les bloggeurs vous le diront: ce qui importe, ce sont les lecteurs fidèles, pas les visiteurs d'un jour.
jeudi 23 octobre 2008
Au pif !
Bah non.