jeudi 28 juillet 2011
Triste nouvelle
mercredi 27 juillet 2011
Google + et pas moi
dimanche 24 juillet 2011
Du vinaigre sur vos frites?
vendredi 22 juillet 2011
jeudi 21 juillet 2011
Prime à la performance pour les médecins
mercredi 20 juillet 2011
Yosuga No Sora - critique d'animé
mardi 19 juillet 2011
Du pain aux requins
Dégradons les notes des agences de notation !
lundi 18 juillet 2011
Soda, à peine entamé et déjà périmé !
Un week-end de quatre jours
A perdre la raison
La Maison du Faucon
Chez El Camino
Zette And The City
Je n'ai rien à dire ! et alors ??
Le coucou de Claviers
Le Blog de Gabale
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Monsieur Poireau
100 000 V
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Traqueur Stellaire
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lundi 11 juillet 2011
La chanson de l'été des blogueurs
jeudi 7 juillet 2011
Les voisins - Nouvelles têtes
Voilà quelques semaines que les voisines du dessous, que je pense être des étudiantes en colocation, n'ont pas donné signe de vie. J'imagine qu'elles sont en stage ou en vacances. L'immeuble n'accueille généralement pas d'étudiants, la propriétaire préférant les baux de longue durée, mais crise oblige... Bref, je regardais dans leur cour et m'apercevait que leur mobilier était toujours là. Ainsi que les aménagements personnels qu'elles avaient fait, leurs affaires, et...
Et deux individus inconnus. Un homme et une femme. Qui vivent là. Mais qui sont-ils?
Je rentrais du boulot l'autre jour et ouvrait ma fenêtre. J'entendais une voix inconnue dans la cour et apercevais une fille que je n'avais jamais vu qui téléphonait, en disant qu'elle avait une cour fermée là où elle était. Le lendemain, un homme l'avait rejoint, grillant cigarettes sur cigarettes affalé comme un touriste sur une chaise dans cette même cour. Une déduction « Holmes-ienne », si je puis dire, me traversa l'esprit: nous sommes au lendemain du Main Square Festival. Certains festivaliers cherchaient une piaule pour dormir et éventuellement passer la semaine sur Arras pour visiter la région... et mes voisines du dessous, sachant qu'elles paieraient un loyer sans profiter des locaux car en vacances, ont décidé de sous-louer à des jeunes pour s'assurer une rentrée d'argent inespérée. A deux pas du Main Square, l'occasion était trop belle. Sauf que.
La sous-location est interdite, c'est noté dans le bail. D'ailleurs, il est interdit de louer un bien dont on n'est pas propriétaire. Question d'assurance et de logique. Et ça ça m'embête. Dois-je en aviser ma proprio? Car de toute façon, si il arrive un problème, en étant le voisin du dessus, je serai le premier concerné. Du coup je ne sais pas trop quoi faire...
Car les filles, quand elles reviendront, si elles reviennent, et après succession éventuelle de sous-locataires, pourraient avoir de sérieux problèmes. Ce n'est pas non plus ce que je souhaite: elles sont des voisines calmes. Sans réel intérêt, mais calmes. Elle le paieront de toute façon, en rentrant, car vu les oiseaux qui crèchent là en ce moment, elles retrouveront leur appartement sentant la cigarette froide...
L'humeur amer d'Homer
Alors voilà qu'hier soir, je publie un billet quelques heures plus tard que d'habitude. Un billet dont je suis très fier, avec une ouverture vers le débat. J'actualise ma boite mail souvent, dans l'attente d'un commentaire pour alimenter la question... et rien. Que dalle, pas de commentaire, ce matin, à 7h20, heure pour moi de partir au boulot. La cruelle désillusion que voilà. Seuls quelques amis de Facebook, où je publie aussi mes billets, ont réagi. Mais cela reste dans la sphère privée. Pas de débat. C'est la désillusion du blogueur. Ça arrive parfois. On écrit un billet d'envergure, et il fait un flop. Mauvais endroit, mauvais moment. Snif.
Heureusement, Thierry a rebondi.
Et il y a des jours comme ça. On rentre tard, on publie tard. On se fait griller sur un sujet parce qu'on n'a pas la possibilité d'être réactif, faute de moyens. Parfois, on veut traiter d'un thème où tout a été dit, quitte à être redondant, et on perd le courage, de peur de ne rien apporter de plus. Ou pire, on se lasse d'un sujet dont on parle trop.
Du coup, mon humeur en prend un coup. En plus d'être très fatigué en ce moment, chaque petite déception en entraine une autre et est amplifiée, d'une certaine façon. L'exemple con du jour, c'est la finale de Pékin Express d'hier soir. J'avais réussi à rentrer à temps pour la voir, mais la fatigue et le fait que l'émission se termine tard m'obligea à enregistrer la dernière partie. J'avais même décidé de ne pas lire Google Actu pour éviter la surprise de connaître le vainqueur avant d'avoir visionné mon enregistrement. Et ce matin, en me connectant à internet et à ma barre latérale Facebook, le premier statut que j'ai lu révélait le grand vainqueur du jeu. Qu'aurai-je pu faire? Éviter tout contact d'ici le soir que je regarde la fin? En une seconde, toute la tension, la joie, l'envie que j'avais de vibrer dans l'aventure Pékin Express se sont volatilisées. C'est cruel. Ça fout tout en l'air. C'est comme connaître le résultat d'un match de foot avant de le voir, ça coupe toute envie.
Du coup me voilà, claqué, usé, déçu et démotivé.
Faut que je me relance.
Je vais vous parler de mes voisins, y'a du nouveau...
mercredi 6 juillet 2011
De l'apprentissage de la lecture
« Tu te rends compte qu'aujourd'hui, les enfants apprennent à lire en reconnaissant des mots. C'est du par cœur. On ne leur demande plus d'apprendre par syllabes, comme à notre époque, mais de reconnaître des mots tout faits. Par exemple, mon fils rentre de l'école en disant « Regarde maman, je sais lire ! » et ouvre son cahier. Il semble lire la phrase jusqu'à ce qu'il arrive à un mot dont il ne se souviens plus. Il n'arrive pas à l'analyser, il a oublié. Il apprend à lire « par cœur ». L'autre jour, je lui écrit Maison. Il arrive à le lire. Alors j'écris Maisonnette. Et là, pas moyen.
- Oui c'est un grave problème. S'il doit lire un livre, il va buter sur les mots qu'il ne reconnaît pas. Le gouvernement a, depuis quelques années, décidé de changer les règles d'apprentissage qui faisaient de nous de meilleurs francophones. On apprend à l'américaine. Pour en revenir à ton exemple, il n'y a pas de déclinaison en anglais. Une petite maison ne sera jamais une Maisonnette, mais restera une House avec un Small devant. Juste un mot de plus et le sens change. Il y a d'ailleurs moins de mots en anglais qu'en Français. C'est plus simple. On ne peut pas demander aux gosses d'apprendre le dictionnaire par cœur ! »
Alors que la langue française court à sa perte, polluée par le langage SMS et la baisse constante du niveau littéraire en France, appliquer ce genre de méthode d'apprentissage s'avère, selon moi, bien dangereux. Cela n'aide pas l'enfant, il ne sait plus décortiquer un mot, et intellectuellement, ça me gêne vraiment. Et vous, qu'en pensez-vous?
mardi 5 juillet 2011
Mes 10 pochettes de disques préférées
Particulièrement, celle de Nine Days – The Madding Crowd. Je ne connaissais pas le groupe et c'est la pochette qui m'a donné envie de découvrir. Avec une telle pochette, ça ne pouvait qu'être bien. Il n'aura fallu que quelques accords, dès le premier titre So Far Away, pour que je sache que ce groupe allait marquer mon expérience musicale.
Puis, Feeder – Yesterday went too soon. Pour la mélancolie, l'histoire qu'elle raconte. Le titre éponyme étant un fabuleux mélange de tout ce que j'ai ressenti à une époque charnière de ma vie. Feeder est rapidement devenu MA référence.
Je saurai citer le Black Album de Metallica. Sobre, simple: noir avec du texte dessus; c'est tout. Et ce serpent qui dégage une sensation de puissance et de maitrise qui force le respect. Et puis, il y a Nothing else matters...
Et à l'opposé, j'ai adoré la pochette artisanale du Sens du Poil. Les Blaireaux, groupe du Nord décalé dont les textes n'ont d'égal que leur incroyable talent sur scène, ont réalisé un concours auquel plusieurs dessinateurs ont participé, pour en sortir la pochette de l'album qui m'a fait les découvrir. Essayez l'Auberge du Chat qui pète !
Pour finir, au fil de mon inspiration, me revient à l'esprit la pochette du cd de Blur: Parklife. Allez savoir pourquoi, elle me fascine. Et c'est surement là qu'a commencé la grande carrière d'un groupe exceptionnel, avec le titre Girls & Boys, succès planétaire !
Avec tout ça, Gildan va devoir s'atteler à la tâche lui aussi !
lundi 4 juillet 2011
DSK: la vessie qu'on prend pour une lanterne
Dominique Strauss Kahn subit actuellement une épreuve indescriptible où s'enchainent accablements, espoirs, coups bas et convictions. Face à l'ampleur des dégâts, si celui-ci sort en héros – infidèle, certes, mais héros tout de même – et que chacun l'attend au tournant, il n'en reste qu'un homme qui aura souffert et perdu suffisamment pour qu'il prenne le temps de se reconstruire.
Les Primaires à gauche ne sont pas menacées. Chaque candidat saura rester motivé. Que DSK finisse son procès, en tire les conséquences, prenne du recul et que le monde continue de tourner...
samedi 2 juillet 2011
Spiritus Dei
Si on chantait ça à l'Eglise, nul doute qu'elle serait perçue autrement ;-)
vendredi 1 juillet 2011
Des url pour tous nous unir
A commencer par les unilinkers, comme je vais les appeler, et qui ont été nombreux: l'association de mâles fêteurs qui survit, Une/Deux auquel je participe – je me suis surement fait un lien à moi-même – ou encore Chroniques d'un breton, que j'ai rencontré lors du KdB de mai. Ecume de mes jours n'est pas en reste, et on aura pu trouver un lien vers chez moi dans les nouvelles de l'atelier, c'est très gentil.
Cui Cui fait l'oiseau et Alter Oueb, eux aussi, ont contribué à ma gloire éphémère ce mois-ci. Récemment, et c'est flatteur, même Philippe Méoule m'aura fait l'honneur d'un lien, imitant ainsi Gabale, Zette – lors de son rapport du classement Wikio mensuel, Bah! et Mon avis t'interesse.
Ouf. L'exercice est plus compliqué sans l'aide du Jegounotron pour un copier-coller, je l'admets...
Il suffit d'un billet geek, un autre musical ou une connerie qui me passe par la tête, pour que je sois cité dans Partageons l'addiction, De tout de rien surtout de rien d'ailleurs ou Partageons nos agapes.
Le coucou de Claviers, fétichiste de mon voisinage arrageois, Romain de Lyonnitude(s), Intox 2007 himself et le big boss de Partageons mon Avis m'ont aussi fait l'honneur d'un lien. Plus généreux, [Unhuman]geek, Ce que je pense (pinaise, je dois encore faire un billet!), Traqueur stellaire... sans oublier l'énergique Sète'ici, Monsieur Poireau, le voisin de Belgique qui m'ont lié deux fois chacun.
C'est aussi ce qu'on fait Elmone de Je n'ai rien à dire! Et alors??, El Camino a qui j'ai pensé en passant devant une pizzéria pendant mes vacances, et Melclalex d'A perdre la raison.**
L'heureux Papa qu'est désormais Falconhill, alors qu'il pensait délaisser ses blogs, n'a jamais été aussi prolifique: profitant que bébé dort, il m'a lié trois fois. Et en tête des liens, avec 4 réalisations, le musical Gildan rafraichit nos mémoires et nous permet, chaque jour, de commencer la journée en musique au rythme de ses découvertes.
Mon absence sur Twitter n'a pas été remarquée et pourtant je n'ai jamais eu autant besoin de cet outil de partage de l'information qu'aujourd'hui. C'est surement égoïste de vouloir que certaines choses qui se passent en douce soient connues au grand jour; c'est surement futile de tenter de mobiliser les gens pour moi; et certainement inutile quand on sait que la population concernée ne connait même pas Twitter. En tout cas, je remercie vivement les blogueurs et twitteurs qui ont partagé mes humeurs du mois ! Ça compte beaucoup pour moi...
Continuez comme ça ! A moi la gloire, l'honneur, et les femmes !
Pour compléter l'info
Plus d'infos disponibles sur ce lien, pour le moment.