Main Square Festival: trois groupes de plus !

Vous l'avez remarqué, la liste des groupes prévus au Main Square Festival s'est enrichi depuis hier de trois nouveautés, et France Leduc, en charge de la programmation, a enfin révélé deux des artistes du 4 juillet. Ce sera donc en compagnie des Kaiser Chiefs et de Gossip que 4 autres groupes seront attendus.

Enfin, la dernière journée culminera, voyant aux Kravitz, Moby et autres Duffy s'ajouter la jeune révélation Justin Nozuka.

Plus encore que l'année dernière, la programmation du Main Square Festival tient toutes ses promesses ! Je remercie l'informateur Anonyme qui ne l'est plus pour être autant réactif et solidaire !

J'aime Nicolas Sarkozy (nu)

Nan, j'rigole, j'déconne ! Faut pas pousser. Mais au moins ça vous aura fait venir lire cet article.
Bon, ceci dit, il avait promis la rupture. C'est le cas.
Mais on avait pas parlé de régression. Bon.

A part ça j'ai pas trop le temps aujourd'hui, mais je vous invite à aller lire Webkili, qui propose une sacrée vidéo, Partageons le reste qui annonce une volée de Spams, Le coucou qui dénonce la propagande UMP possible par le contrôle du Wi-Fi, Nicolas qui doute de la culpabilité de Colonna (comme moi d'ailleurs) et pourquoi pas Zette qui a tout compris à la carrière chez McDo.
Le reste est bon aussi mais je vais pas passer ma vie à tout linker. On verra demain.

Ah, au fait, y'a du nouveau chez le voisin. Ca promet d'être croustillant !

Image: source

Soutenez une bonne cause!

Pas le temps de discuter, allez vite ici !

Arras : Viol au collège

On a tous entendu parler de ce jeune couple, en Angleterre, qui vient d'être parents. Elle, 15 ans, lui, 12. Ils ont l'air complètement perdu, leur éducation n'est pas faite et l'avenir n'est pas rose. C'est un problème reconnu en Angleterre. Mais un événement récent me fait m'interroger sur un phénomène avec bien plus d'ampleur, qui révèle une évolution de la sexualité des préadolescents sans précédent: deux jeunes de 13 ans ont violé par deux fois une fille de 12 ans dans un collège arrageois. Info vérifiée, même si chacun reste présumé innocent jusqu'à preuve du contraire, il n'y a pas de fumée sans feu, et cet écart sexuel en dit long sur les évolutions de la libido de la jeunesse.
Vit-on dans une société où le sexe est prédominant, malgré les efforts faits pour atténuer le problème? Car c'est un fait, la jeunesse d'aujourd'hui perd ses inhibitions, on voit de plus en plus des adolescentes s'habiller sexy, court, trop court. Et réveiller en avance les hormones du sexe opposé, au point de s'en attirer les foudres, sans apercevoir un instant les conséquences d'une telle tenue. Comportement déviant, provocation ou évolutions des mœurs? Il n'empêche qu'avec tout ça, on assiste de plus en plus à des grossesses inattendues, à des viols, à des tendances dangereuses qui soulèvent un réel problème - supplémentaire - dans notre société. Dire qu'il y a 15 ans de cela, on se préoccupait plus de la dernière partie de Super Nintendo avec les potes ou du foot à la télé que des filles ou des tenues sexy.
La solution? Je préconise qu'on recentre la réforme de l'école sur les problèmes existants d'éducation, de qualité d'enseignement au profit de l'élève et non pas au prétexte d'économie de poste; de sécurité que ce soit dans les lycées comme les collèges, plutôt que sur ces idées qui font bondir tout le monde de l'éducation nationale. Enfin, je pense qu'il est de plus en plus nécessaire de restaurer une égalité d'apparence à l'école. Revenons à l'uniforme, qu'on ne distingue plus le riche du pauvre, la salope de la Sainte nitouche, et évitons que des truc comme ça arrive. Car plus qu'une évolution des mentalités et une banalisation de la violence, c'est un concours de circonstances qu'il faudra définir. Il y a fort à parier que la jeune fille n'était pas habillée d'un pantalon ou d'une tenue repoussante. Il y a fort à parier que ces gamins n'ont pas été cadrés par leur famille ou encadrés par des responsables. Sans oublier qu'elle aurait été victime de leurs agissements par deux fois, dans deux endroits différents. Ça laisse perplexe.
Il y a à se demander pourquoi le collège n'a pas pris les mesures nécessaires pour empêcher ou sanctionner ça. Mais alors que ces enfants ne sont pas responsables pénalement, qui l'est?
Autant de questions auxquelles il faudra répondre et qui devraient être le fer de lance des politiques en charge des dossiers de l'Education Nationale.

Ne me traitez pas d'inconscient ou de sans-cœur, qui cautionne les événements: je suis outré de ce qui s'est passé, et je ne cherche pas d'excuse à ces gamins. Ce qu'ils ont fait est impardonnable. Simplement je vois plus loin que le bout de mon nez, je réfléchis et je creuse le problème... Rappellez-vous l'affaire d'Outreau. Finalement, de ce dossier, la presse ne dit rien de vraiment concret, on rabache sans cesse les mêmes textes. Ce qui les étonne le plus, c'est que le collège ait voulu régler ça en "interne"...

Et la voiture, elle fait plus vroum !

Me revoilà après deux jours de folie. C'est dingue comme de simples soucis peuvent vous accaparer du temps, au point que je n'ai rien vu passer. Lundi et mardi, j'ai couru après la montre pour un "simple" problème mécanique. J'vous explique brièvement: au retour d'une sortie en centre-ville, la voiture a fait un joli CLAC.
Après un lundi d'inquiétude pendant lequel j'ai fait venir les plus grands spécialistes, aucun n'a compris d'où venait le problème. Pourtant, je l'entendais souffrir d'un ronronnement inconnu. Toute la journée fut occupée par cette idée en tête que le problème était plus grave qu'il n'y paraissait. Hélas, rien n'y fit.
Mardi, je décidais donc d'amener la bête au garagiste de mon petit village. Dépannage toutes marques. Le long des 40 bornes qui me séparent du village, le claquement s'intensifiait. C'est prise de tête. Et en arrivant, capot ouvert, le garagiste s'exclama: "Ah bein ça! J'ai jamais vu ça !" Et pour cause: la courroie de distribution était tout simplement arrachée, au bord de la rupture. Je n'ai pas eu le réflexe de prendre une photo pour vous montrer, c'est dommage. N'empêche qu'à peu à dire, c'est le moteur tout entier qui cassait, et bye bye Clio ! (et Homer, par la même occasion...)

Je vous laisse imaginer le prix des réparations, inutile d'en parler. Donc, pour le moment, me revoilà à 100% piéton. Vous me direz: ça me laissera du temps pour vous écrire des articles. Au moins, on ne s'ennuiera pas !

Réveil brutal

Demandez donc à Marge pourquoi, ce matin vers 6h, alors que je ne travaillais pas aujourd'hui, elle m'a réveillé par un violent coup de coude dans le nez...

France Parallèle

Voici un article que j'avais écrit le 06 juin 2008 suite à une subite inspiration. Une sorte de fiction sur l'avenir, traitant d'événements d'actualité. Comme je suis en train de purger BuzzWire, afin de le retravailler suite à un conseil de blogage dont je vous parlerai prochainement dessus, je me permet de "copier-coller" ce texte qui avait pas mal fait réagir (notamment M., Nicolas, Gael et Scheiro...) ainsi que ses commentaires. Cela comme un souvenir. Et pour ceux qui ne me connaissaient pas à l'époque, c'est l'occasion de le découvrir...
Attention, ça peut être assez long.

On a fait le plein hier soir. On avait besoin de rouler, vous comprenez. Besoin de voir des gens, de faire des activités, de vivre. On a passé la barrière de contrôle vers 17h. Les militaires ont vérifiés nos papiers, j'en avais les mains qui tremblaient. Ca ne rigole plus depuis la mise en place de la loi martiale. Ah, ces foutus manifestants ! Avec leur blocus des raffineries, et l'accident du 14 Aout, Nicolas Sarkozy a décidé sur un coup de sang d'instaurer le règne des militaires. Plus moyens de circuler librement. Et puis, pour aller où? Le carburant est devenu tellement rare. Il y a eu tellement de morts pour ça. Rappelez-vous, ces agriculteurs, qui, désespérés, entraient de force dans les raffineries, volaient des camions citernes, et puis un jour ceux-là qui provoquèrent l'accident, l'explosion, l'onde de choc... Ces morts, partout. L'horreur. Depuis, on se débrouille comme on peut. Les stations-service sont contrôlées et nous sommes rationnés. Dix litres maximum toutes les deux semaines. Il n'est même plus question de développer une énergie alternative, des événements similaires ayant contraints la majorité des pays du Monde à agir comme en France, le développement de carburants quels qu'ils soient à été stoppé. Depuis l'avénement du capitalisme de dernier cycle, les dirigeants ont bien compris que l'or noir serait toujours la poule aux oeufs d'or. Avec le baril aussi cher, continuons à pomper le fric des plus pauvres, et si l'un deux se plaint, c'est la loi martiale, si vous me suivez.
Il n'y a même plus de mendiants pour se nourrir dans les poubelles. D'ailleurs, il n'y a même plus de poubelles. Malgré un nombre conséquent de grandes surfaces, personne n'y traine vraiment. On achète ce qu'on peut quand on peut, la première nécessité. Vu le prix d'un paquet de riz, on mange un peu moins. La viande est malade, tout le monde le sait, personne n'en mange plus. Ils ont beau ouvrir les magasins tous les jours, si on a pas de sous, on a pas de sous.
Ma femme et moi nous promenons parfois au bord du canal, puis nous rejoignons le centre-ville. Pas trop tard, car quand la nuit tombe, il y a couvre-feu. Et le plaisir d'une promenade s'estompe quand, à l'approche de la rue piétonne, on constate le nombre impressionnant de commerces clôts, de volets fermés et de panneaux d'agences immobilières mettant à vendre tout ce qu'il reste. C'est devenu tellement cher ! En fait, les prix n'ont pas vraiment flambés, mais la baisse du pouvoir d'achat, l'application de la TVA sociale, la hausse globale des prix et le nivellement des salaires par le bas depuis la restauration des 39 heures - conséquence d'une mauvaise négociation syndicale, encore une - au profit d'une application au bon vouloir des entrepreneurs... tout ça a fait qu'on ne s'est jamais sentis aussi pauvres en France.
Le culte du Président est devenu féroce. Il a la main mise sur les médias, la propagande est subtile mais présente. Fini les séries américaines, place à la fiction française. La mire est de retour, elle ressemble au président... Au début, il fallait juste se recueillir quand on voyait sa photo. On en riait jusqu'à ce que les militaires nous imposent de le faire. Depuis, il faut avoir sa photo sur nous, sans cesse contrôlés que nous sommes par la police. Et ces contrôles sont accentués, surtout dans les cités à la population immigrée.
Beaucoup ont tentés de fuir, pendant l'hiver 2009. Le plus rude depuis le début du réchauffement de la planète. Il y en a qui y sont restés, d'autres ont atteint la frontière mais se sont fait attrapés. On a remis le bagne au gout du jour, les prisons sont surchargées, et Rachida Dati a trouvé la solution pour "former la jeunesse à ne pas enfreindre la loi, que ce soit pour un délit comme pour un crime". Mon voisin, un jeune de 21 ans, a pris 10 ans de bagne ferme pour avoir volé un CD dans une grande surface. Le peu qui ont passé la frontière se sont fait rattrapés en Allemagne ou en Italie. L'Europe, à une époque, semblait avoir encore un peu de bon en elle, mais depuis la présidence Française de la communauté, au moment des manifestations, tout a changé.
Voilà qu'on a fait le plein. Enfin, on nous a fait le plein. On repart, lentement, sous le regard sévère des soldats. Eux non plus n'ont pas choisit tout ça. On traverse doucement le quartier, tagué de part et d'autres par des jeunes en mal social. Ils ne vont plus à l'école. La pauvreté des programmes scolaires, dans des classes de 50 élèves... le manque de professeurs a fait le reste. Les jeunes d'aujourd'hui se contentent de compter et de parler - en language sms - et Voltaire doit se retourner dans sa tombe. Ils ne sont pas prêt de trouver du boulot. Et du boulot, il y en a, plein, mais le niveau culturel est tellement bas que le moindre patron un tant soit peu censé se refuserait à employer un salarié aussi bête. Le chômage, après avoir baissé, retrouve un taux normal - 7%. Un taux faussé par les critères de calcul et un nombre de Français sans emploi phénoménal, suite à deux refus pour des boulots de misère à 50 km de chez eux. Je pense que le chômage - non indemnisé compris - tourne autour de 20%.
On accélère pour sortir du quartier. On croise des junkies, des dealers, des gens, allongés sur le sol - des leurres pour nous dépouiller. Ce coin a rudement changé. On a eu vent de nombreuses attaques dans le secteur, des gangs bien armés. Ce ne sont pas eux qui vont nous défendre. Il est trop tard, désormais, pour réagir. Notre ville ressemble à Beyrouth, mais jamais la guerre n'a eu lieu. C'est simplement le résultat d'une politique à son plus grave degré. Un résultat lourd de conséquence, teinté d'illégitimité, et inondé de regrets.
C'est la France. La France parallèle.

Les commentaires du 06/06/08

Conseil de Blogage intensif

EXTRAORDINAIRE Billet de moi-même sur BuzzWire !!!
(ou pas)

HomePlayer : la VOD gratuite?

S'il est bien une application indispensable quand vous avez une freebox avec l'offre télé, c'est le HomePlayer. Mod du Freeplayer, téléchargeable gratuitement, ce module vous offre non seulement l'accès à votre ordinateur à partir de votre Box, mais aussi moults autres applications très agréables!
Alors que Free n'offre que le Freeplayer, sorte de navigateur archaique intégré à la Box et qui permet de lire ses vidéos et musique directement sur sa télé, Homeplayer est une application libre très riche et qui développe un véritable centre multimédia: vidéos, radios, photos et diverses options de relecture des émissions de différentes chaines, de clips, de bandes-annonces et de flux RSS, font du Homeplayer un outil indispensable des Freenautes.

Et hier, en me baladant sur les options du logiciel, j'ai découvert la VOD Community. Il s'agit d'une communauté de fans qui mettent en rapport différents liens streaming et proposent, par l'intérmédiare de l'application, de visionner en intégralité des films et des séries, comme dans une VOD classique mais... gratuite ! Et il y en a pour tous les gouts, le choix est énorme et ce sont, pour la plupart, des blockbusters ! Le tout est réactif, pas de souci chez moi - débit 10Mo - , et c'est ainsi qu'hier soir je me replongeais dans un de mes classiques préférés: Blair Witch Project.

Le HomePlayer avec cette option semble être une alternative interessante et inédite au téléchargement de fichiers, puisqu'il permet le simple visionnage sans stockage des données, et ravira l'internaute cinéphile fauché. Car il y a aussi bien de vieux films que de récentes sorties DVD (voir cinéma? il faudra fouiller...), des séries intégrales ou par épisode, et une variété classée par catégorie pour mieux s'y retrouver !
Ami Freenaute, voilà qui fait un nouveau croche pied à Albanel et Hadopi...

Billet Non Sponsorisé ;-)

500 euros et 500 secondes (par Homer)

Taggé par Ferocias et Comm and come, je n'ai plus le choix que de participer à cette chaine dans laquelle il fut dire de façon originale comment vous occuperiez 500 euros et les 500 dernières secondes de votre vie. J'ai décidé de faire ça de façon "romancée". Petit rappel des règles...

1.Écrire un article relatant ce que vous feriez s’il vous restait 500 euros et 500 secondes à vivre. Vous avez carte blanche, que ce soit en 3 mots ou en 500 lignes, laissez libre court à votre imagination.
2. Relancer la chaîne en invitant 5 de vos amis à répondre à leur tour à la question.
3. Faire référence à cet article et à ces mini-règles afin que l’on puisse tracer tous les participants.
4. Intituler votre article “500 euros et 500 secondes par Votre Nom

Quand on a appris la nouvelle, une légère brise soufflait par la fenêtre entrouverte. La journée avait été presque trop parfaite. On sentait encore l'odeur du sable chaud, résonnaient encore à nos oreilles les cris des enfants, loin là-bas, sur la plage. Au retour de cet après-midi à la mer, rejoignant notre bungalow loué pour l'occasion, on s'était arrêtés pour prendre un ticket à gratter et un paquet de cigarettes. On avait gagné cet argent au jeu. 500 euros, c'était une petite merveille pour nous. On n'avait pas encore parlé de ce qu'on allait en faire. Et le destin s'en chargea pour nous.

L'annonce fut faite à la télévision, un peu avant 18h. Elle aurait pu passer inaperçue si cette dernière n'avait pas été allumée. Je me réveillais de ma sieste, ma femme encore endormie sur mon épaule. Le présentateur télé suait à grosses gouttes, quand il l'annonça, brièvement, sur un ton étrange. Dès lors, je fus incapable de réfléchir.
Un flot d'images défilait devant mes yeux, je sentais mon cœur qui tentait vainement de s'enfuir de ma poitrine. Rien ne s'était encore passé et pourtant, c'était inévitable. Je jetais un œil à ma montre. 500 secondes à vivre. Huit malheureuses minutes.

Rien n'avait été prévu par nos gouvernements. Ou alors, personne n'avait été prévenu. Un mouvement de panique aurait été catastrophique. Et désormais, la fin étant proche, il était inutile et impossible d'y changer quelque chose. Je me relevais doucement du sofa. Les 500 euros posés là, sur la table de salon, n'avaient soudainement plus aucune valeur à mes yeux. que faire d'une telle somme d'argent alors qu'il restait si peu de temps? Les laisser là pour fuir. Et pour aller où? Ma chère et tendre dormait encore sur le canapé alors que je me levais pour
réfléchir. Je regardais par la fenêtre, il faisait encore beau mais les oiseaux s'étaient tus. Je saisis un crayon, une feuille de papier et tentait d'écrire quelque chose. Un bref instant de philosophie, pour laisser une trace de ce moment. Des gens criaient dans la rue. D'autres fuyaient. Inutilement.

Quelques mots griffonnés là, sur la valeur de la vie, 500 euros pour 500 secondes. Je donnerai tout cet argent et plus pour gagner encore du temps. La vie n'a pas de prix. Et c'est quand on est confronté à tout cela qu'on s'en rend vraiment compte. Quand sa propre vie est en jeu.

Je repliais la feuille et regardais ma femme, profondément endormie dans le canapé. Elle ne verrait rien de tout cela. Et alors? Je levais les yeux vers l'extérieur. Là-bas, à l'horizon, les arbres se balançaient nonchalamment.

Puis soudain, le flash.
Le bruit.
Et puis plus rien.


Allez, et comme il est de bonne guerre de faire passer, j'invite Fabien, Webkili, Vertazt, Sof et Hypos à reprendre le flambeau...

Le contrat de confiance?

Jour 1 : Au détour d’un centre commercial, nous sommes passés à Darty. Là, compte-tenu de notre budget, nous avons flashé sur une machine à laver qui devenait plus que nécessaire à l’appartement. Je levais le doigt pour faire venir une vendeuse qui nous remplit alors les papiers, et nous ressortîmes satisfaits de ce nouvel achat, et de la livraison gratuite de surcroît.

Jour 2 : Voilà les livreurs ! Ils apportent la machine. Tiens, c’est curieux, elle n’est pas sous carton. Ca doit être plus pratique à transporter. Je les invite à monter à l’étage et à déposer le matériel dans le hall. Je m’occuperais de la brancher plus tard. Le livreur en chef m’invite à signer le bon de livraison qui fait office de garantie, et me souhaite une bonne journée. Me voilà équipé d’une merveilleuse machine à laver, qui siège en plein milieu de mon hall d’entrée.

Jour 3 : il est temps de monter la machine. Nous faisons de la place dans la cuisine, je sors les pièces à monter. Derrière la bête, trois écrous sont à dévisser, pour permettre au tambour d’avoir sa liberté. Il s’agit ensuite de fixer des embouts de plastique à la place des trous. Sauf qu’il y a trois trous et que je n’ai que deux embouts. Qu’à cela ne tienne. Je regarde la machine d’un peu plus près et… tiens, il me semble que, même si elle lui ressemble, ce n’est pas exactement celle que j’ai commandé !

Je retourne à Darty pour confirmation et je constate qu’on ne m’a pas livré la bonne ! Celle en présentation est une WIXL 6 kg, et on m’a amené une WIL 5 kg ! Bon, je relativise rapidement, car la machine qui trône chez moi est plus économique à tous les points de vue. Mais il subsiste un problème dans les papiers : la machine reçue n’est pas garantie, ce ne sont pas les bonnes références !

Me voilà donc au SAV à m’expliquer avec un bonhomme, qui me dit que :

- les embouts manquants sont à commander, il faut trois semaines, et pas question de les prendre sur le modèle d’expo, même s’ils sont identiques. Il me regarde d’un drôle d’œil. Quoi ? C’est mon baggy-baskets qui lui revient pas ? Je ressemble à une racaille ?

- Il n’est pas possible de refaire la garantie, les livreurs passeront reprendre la machine.

Je mets le holà et je sors du magasin, sur les nerfs.

Jour 4 : j’y retourne en sortant du bureau. Aujourd’hui je porte une chemise et un pantalon de ville, et en arrivant à Darty, je croise à nouveau le type du SAV. Il ne me reconnaît pas. Je lui ré-explique mon problème. Il me dit simplement que je n’ai qu’à prendre les pièces sur le modèle d’expo, et qu’il en recommandera pour lui. Ensuite, il m’invite à appeler le service livraison qui m’enverra un correctif de mon bon de garantie. Ce qui fût fait. Dans les règles de l’art.

Alors je vous demande : Darty pratique t-il le délit de sale gueule ?

On peut s'abonner !

Ca vaut ce que ça vaut, mais je vous signale que j'ai installé le gadget d'abonnement fourni par Blogger dans la colonne de droite. Alors si vous êtes un fidèle de ce blog, abonnez-vous. Et si vous ne l'êtes pas, abonnez-vous quand même ! C'est tout à votre avantage puisque si vous bloguez vous-même, je passerai forcément vous faire un petit coucou !

En attendant, allez aussi lire Hypos qui publie un article sur le congé parental très perspicace!

Planning du blog

Prochainement, sur ce blog... bah je vais me remettre à écrire. Rien d'original à ça, si ce n'est qu'il m'est arrivé dernièrement tellement de petites aventures que tout raconter en un seul billet tiendrait d'un roman de J.R.R. Tolkien. Donc, je prépare un petit retour de la vie d'un Homer dans sa petite ville de campagne, pour le plaisir de Youpi ;-)
Prévoyons donc les grands débats de la semaine: la vie et mort d'un sac poubelle, une journée aux assurances, une drôle d'impression à Darty, un combat effréné pour une machine à laver, le grand retour de la chronique des voisins et surtout, le fameux Tag sur les 500€ et 500 secondes lancé à mon encontre par Ferocias...
Mais aussi plein d'autres trucs sur plein d'autres choses, de quoi s'occuper et se vider la tête, plutôt que de se la prendre.
En attendant, bon week-end à tous !

Visite présidentielle

Le journal local nous informe : Nicolas Sarkozy va se pointer dans le Pas-de-Calais, plus précisément à Lestrem, du côté de Béthune. Il sera accompagné de Christine Lagarde et viendra visiter l'usine Roquette, sans qu'on en sache plus sur le pourquoi du comment, ni sur le contenu de son discours. Pour info, Roquette, c'est le numéro 2 européen et le numéro 4 mondial de l'amidon, autant dire une des plus grosses industries du Nord.
Les préparatifs quant à sa venue sont en cours: le préfet et le commissaire de police baillonnent en ce moment les ouvriers, et les syndicats rassemblent leurs forces et des dizaines de chicons (des endives!!!) à balancer comme une babouche à la tête du décevant Président.

La lassitude... du lecteur !

Ces derniers temps, sur les blogs, le débat portait sur la lassitude. Éprouvée par le carnétiste en manque d'inspiration, faisant face à des visiteurs peu nombreux ou désintéressés, cette lassitude trouvait son explication psychologique par le biais d'analyses très poussées. Et pourtant, après diverses lectures de sujets concordants, je m'aperçus qu'on ignorait totalement de traiter du sujet adjacent: la lassitude du lecteur de blog. Car blogguer ne se limite pas à écrire des articles intéressants et perspicaces sur son site, ou d'entretenir les commentaires et l'aspect graphique pour être cités et grimper dans les classements. Blogguer, c'est aussi aller vers les autres pour découvrir – et apprécier – leur univers.

Ainsi, le bloggueur ambitieux se doit de s'interesser tout d'abord à ses lecteurs. Ceux-ci peuvent tenir un blog, il est donc nécessaire de s'y manifester et d'y montrer son niveau d'interêt, ne serait-ce que par respect et par curiosité. On découvre alors des pépites sur le web, désinteressées de leur z'influence, et on commence à étendre sa blogosphère. La toile relie ainsi, au fur et à mesure, les blogs appartenant aux commentateurs, à ceux que l'on découvre par le biais des commentaires laissés sur lesdits blogs. La sphère d'influence du bloggueur s'étendant ainsi, à l'infini. Créer ce réseau prend du temps et nécessite une bonne organisation. Pratiquement, un travail de tous les jours.

Il faut donc aller lire les blogs des autres. Et plus on en connait, plus ça prend du temps. Et plus ça prend de temps, plus ça lasse.

D'autant que l'on retrouve bien souvent les mêmes sujets d'actualités sur la plupart des blogs. Que les avis soient partagés ou non, l'actualité est un fait, et retrouver des informations identiques d'un site à l'autre explique peut-être qu'on se lasse plus rapidement. Les blogs plus personnels échappent bien souvent à cette règle, mais la vie du bloggueur n'intéressera son lecteur que si le style du récit ou son contenu lui permettent de s'y identifier. Et à force, on se détourne de l'un ou l'autre, non pas parce qu'on ne s'y intéresse plus ou qu'on y prend plus de plaisir, mais simplement parce que lire de plus en plus de sites, ça prend du temps. Et les gens n'aiment pas toujours « perdre » leur temps.

Parfois, comme le blogueur qui n'a pas le courage d'écrire un article ou qui manque d'inspiration, le lecteur de blog n'a pas l'envie d'aller lire. Ce lecteur, commentateur avisé s'il en est, ne fera donc plus partie de la blogosphère pendant un certain temps. Le temps qu'il retrouve l'envie de lire ce que vous avez écrit, le temps qu'il s'organise (un peu le matin, plein le soir), qu'il se lasse d'une autre activité.

Finalement, on se retrouve tous un peu dans ce schéma type. Il arrive, parfois, qu'on aie envie de prendre du temps pour soi, de ne pas poster de billet aujourd'hui, de sortir un peu du blog qui doit être vécu comme une passion, pas une obligation. Il arrive, parfois, que je n'ai pas envie d'aller lire le blog des autres pendant quelques temps. Non pas que ça ne m'interesse pas. Simple lassitude passagère, envie de faire autre chose, de me détacher de cet écran qui me prend tant de temps.

Quelques jours, ailleurs.

Mais on y revient toujours.

Main Square Festival 2009: le 5 juillet sera un grand cru !

Un petit passage ce week-end, une fois n'est pas coutume, pour préciser que la dernière tête d'affiche le 5 juillet du Main Square Festival 2009 à Arras sera Franz Ferdinand ! Ce groupe excellent rejoint donc les Moby, Duffy, Kravitz, le 5 juillet pour faire de ce festival un - si ce n'est le - meilleur depuis sa création !

Découvrez Franz Ferdinand!

Il l'a dit...

34 fois en 35 premières minutes. Le mot Crise. J'ai compté.
Pour le reste, pas de surprises, rien pour vous messieurs dames.
Circulez.

Il va parler, ce soir

Aujourd'hui, juste un petit billet rapide pour se préparer à l'intervention présidentielle de ce soir. On l'attend tous, mais on ne sait pas vraiment comment l'appréhender. Le Président, suite au mouvement du 29 janvier, se doit d'apporter des réponses aux questions que les Français se posent, par l'intermédiaire de journalistes qu'il a choisi, et de rassurer ses concitoyens de la manière la plus pédagogique qu'il soit. Un exercice de style, certes, sur lequel il a su se montrer doué à chaque intervention. Mais cette fois, il faudra que ce soit plus clair, car les Français ont montré que la patience avait des limites. Et à ceux qui se moqueront du rassemblement gréviste, manifestant ou non, je les félicite de se satisfaire de leur sort et je m'inquiète de les voir montrer si peu de solidarité. On est tous dans le même bain. Sauf les riches. Bref.
Ce à quoi il faut s'attendre ce soir:
- Nicolas Sarkozy aura surement une fâcheuse tendance à se défendre en prétextant la Crise. Nous sommes conscients du problème mais il faudra lui rappeler qu'on n'est pas forcément d'accord avec les solutions apportées, notamment les 1000 points de relance de son Premier Ministre, qui ne font qu'apporter de l'eau aux moulins de chantiers déjà en cours depuis 6 ans (je pense au Canal Seine-Nord, par exemple)
- Nicolas Sarkozy fera appel à la patience des Français. Rome ne s'est pas construite en un jour. Et quand on touche aux sous de l'Etat, on avance prudemment. Voilà deux ans qu'il est au pouvoir, il a commencé à tout démonter, mais annonce que l'argent manque pour reconstruire. Sauf quand il s'agit de donner des milliards aux banques. Favorisons l'échec. La patience à des limites: Cinq ans, pour lui.
- Nicolas Sarkozy ne proposera aucune solution au problème du pouvoir d'achat. En bon capitaliste, la relance de la consommation commence par la production des entreprises. Sauf que sans personne pour acheter la marchandise, c'est de la production à perte. Je suis peut-être vieux jeu, mais pour moi, la consommation commence par l'individu.
- Nicolas Sarkozy peut s'attendre à quelques questions dans le sens du poil. En effet, entre Laurence Ferrari, arrivée où elle est grâce à un gros coup de pouce présidentiel, et David Pujadas, souvent tranchant mais relevant du service public (donc, jouant sa tête?), on ne pourra compter que sur Guy Lagache de M6 ou Alain Duhamel, de RTL, pour relever le débat. Il serait marrant que N.S. pique une colère...
Ce qu'on peut faire pour s'occuper sans s'énerver:
Parce que cette interview va vous énerver, si vous faites parti des personnes qui écoutent et comprennent la politique et l'économie...
- On peut compter le nombre de fois qu'il citera "crise", "relance" ou qu'il mettra tous les problèmes (même ceux des réformes scolaires, juridiques...) sur le dos de l'état économique mondial. Préparez une feuille de "Bingo des mots"!
- On peut s'amuser de la façon dont il déshabillera du regard Laurence Ferrari... Faut pas se mentir, hein !
- On peut essayer de repérer les phrases-choc. Du genre, les phrases choc. Celles qui pourraient vexer une région, un pays... Vous savez, comme il en a l'habitude (autant ou presque que Ségolène...)
- On peut s'endormir, aller faire pipi, faire un truc plus intéressant que de regarder l'autre s'escrimer à répéter que de toute façon, quoi qu'en dise le peuple, il continuera dans cet élan et basta. On réagira plus fortement à l'appel des syndicats.

Quoi que vous fassiez ce soir, on aura l'occasion d'en reparler: télé, radio, blogs reprendront le débat. On ne refera peut-être pas le monde en un jour, mais c'est à force de petites avancées qu'on saura le faire évoluer. Bonne soirée à tous.

La revanche des gringalets

Les Français sont joueurs [Mauvaise foi]

S'il y a bien une chronique que je ne loupe pas le matin, c'est bien "il était une mauvaise foi" sur France Info. Un pur moment de délire où J-Pierre Gauffre nous montre à quel point l'humour sur l'actualité peut détendre... Je vous copie-colle celle d'hier:

"Croyez-moi ou pas, mais le fait que les Français soient d’excellents clients du PMU, de la Française des Jeux et des casinos, c’est formidable… Quand on analyse les chiffres, ça veut dire très clairement que la France n’a plus besoin de plan de relance pour se sortir de la crise… Les Français ont dépensé l’an dernier 21 milliards d’euros en grattage, canassons et autres bandits manchots… Et encore on n’a pas le chiffre complet pour les casinos… Et encore, ce sont des chiffres qui progressent moins vite qu’avant, pas tellement à cause de la baisse du pouvoir d’achat, mais bien davantage parce qu’on n’a plus le droit de fumer en préparant son petit quinté au bistrot ou en glissant sa petite pièce dans la fente de la machine à sous… Et ça, évidemment, ça fait fuir pas mal de joueurs…

21 milliards d’euros, quand même, c’est à peine 5 milliards de moins que le plan de relance de l’économie détaillé hier par François Fillon… Donc, alors qu’on sait que l’Etat n’a plus d’argent, est-ce que ce ne serait pas une bonne solution de creuser un tunnel qui irait directement des coffres du PMU, de la Française des Jeux et du Palm Beach de Cannes vers le porte-monnaie de Christine Lagarde dans son bureau de Bercy ? Ca éviterait à l’Etat de puiser dans des poches sans fond pour y chercher de l’argent qu’il n’a pas…

C’est bien beau d’annoncer mille chantiers pour tuer la crise… Mais est-ce qu’on a pris la bonne voie, est-ce que ce sont les bons chantiers ? Faire des autoroutes, des gares et des champs d’éoliennes, c’est bien beau, mais c’est manifestement aux antipodes des préoccupations des Français… En revanche, dans le programme de Fillon, je n’ai pas vu une ligne sur la rénovation des vestiaires de l’hippodrome de Longchamp, sur la construction d’une nouvelle buvette à l’hippodrome de Vincennes ou sur la réfection de la véranda du casino de Deauville… Alors qu’on sait que ce sont des sujets et des lieux qui passionnent nos concitoyens, qui, si on les rénovait par des investissements judicieux, leur donneraient sans doute envie de dépenser encore un peu plus d’argent et, par le principe des tunnels qui communiquent avec Bercy, permettraient à l’Etat de relancer l’économie sans toucher à ses réserves…

Je n’ai pas la réponse, évidemment, mais je pose quand même la question… Faudrait demander ce qu’il en pense à Jacques Attali, qui a toujours un avis sur tout… Est-ce qu’il n’est pas légèrement ébranlé par ce rapprochement entre les chiffres ? Est-ce que ce ne serait pas un signe de dérèglement sociétal, au moins aussi perturbant que le réchauffement de la planète ? Mais évidemment, vous n’êtes pas obligés de me croire…"

Jean-Pierre Gauffre - France Info - le 03.02.2009

Laissez vous guider !

Voici un bon article à lire ici, et un autre là !

La nostalgie des vieux billets

Je relisais hier quelques vieux billets, depuis la création de ce blog en septembre 2006. Que d’anecdotes racontées ici ! Et quelle évolution de mes centres d’intérêts aussi ! Par le passé, je m’attardais sur la découverte de ma ville, sur mes quelques activités et bien peu d’autres choses. De quoi, finalement, intéresser ceux qui me connaissent et point barre. Avec le temps, des événements sont venus chambouler mon écriture, mon positionnement sur la blogosphère ne se faisant plus comme un simple blog arrageois mais se découvrant une volonté d’étendre son champ de vision à quelquechose de plus grand. Puis vint le jour du déclic. Ce jour où tout a changé sur le Chemin du Rayon.

A compter de cette date, les articles sont plus matures, même s’ils restent de qualité inégale. Je m’efforce de parler de faits de société, d’actualité, mêlée de mes hobbies, les séries et quelques anecdotes croustillantes sur mes voisins. C’est tout mon monde qui chavire.

Deux ans passent donc, avec cette évolution de mon écriture mais aussi, un signe du temps qui passe, de mon public. La plupart des commentaires de l’époque provenaient de bloggeurs, qui ont aujourd’hui cessé leur activité. Passion éphémère, manque de temps ou volonté d’en sortir, impossible de savoir. Aujourd’hui, ils ne donnent même plus de signe de vie, un commentaire de temps en temps sur ce blog qui les distrayait. A cette date-clé, le public a changé. Il est devenu plus spécialisé, plus impliqué et fourmille encore d’une activité phénoménale. Il a suivi mes centres d’intérêt : actualité, politique, ou simplement insolite : une panoplie de bloggeurs me lit régulièrement, et moi de même en retour. Je trouve chez eux, bien souvent, ce que j’aimerais trouver chez moi ! Que ce soit pour l’imagination, l’insolite, le message, la diversité ou encore le délirant, l’engagement, l’amitié, la réthorique ou les conseils précieux, ces bloggeurs qui font partie de mon monde n’hésitent pas à laisser un mot ici ou là, pour partager leur avis et montrer que mon travail leur plait. Je leur doit beaucoup et ce blog aurait surement cessé d’exister sans leur soutien ou leur apparition dans la Donutsphère. Je leur devais bien quelques liens ! Ca fera plaisir aux leaders ou outsiders du classement Wikio ! Et bien sur, par solidarité, ils feront de même en retour, c’est sûr…

Bref, en attendant, je continue ma route. Aujourd’hui, la ville est sous la neige, qui tombe sans cesse. Mais moi, je suis là, à l’affût de la news qui sort des sentiers battus, à l’affût de l’idée qui mettre du sable dans les rouages de l’actualité, et avant tout, pour vous, qui faites vivre ce blog.