lundi 30 décembre 2013

Carnet de voyages en photos: London, U.K.

La City, le centre d'affaires !

La tour de Londres, où sont gardés les joyaux de la Couronne

Tower Bridge is falling down, falling down, falling down, my Fair Lady!

L'objet de ma visite en Angleterre !!

No comment

Picaddilly Circus !

Cab !

On a vu ce genre de bus dans Harry Potter 

Vue sur la tout St Etienne qui abrite Big Ben, et Westminster

Buckingham Palace 

Un gros coton tige

A Londres en cette période,  il fait nuit à 15h30 !

L'actu de fin d'année

 

La fin d'année m'a fait complètement décrocher de l'actualité, j'apprends aujourd'hui que Michael Schumacher dans le coma c'est plus grave que des dizaines d'innocents tués dans les attentats en Russie: les médias choisissent bien leurs titres. Il faut dire qu'avec les fêtes et les sempiternelles reportages sur la bouffe, les jouets et autres guirlandes, un fait divers avec un personnage célèbre, ça vaut bien toutes les quenelles du monde (là aussi, polémique inutile selon moi: les gens qui vont voir Dieudonné sont conscients du truc, ils sont majeurs et responsables, alors pourquoi on en parle? Je reviendrai là-dessus mais à ce moment là autant interdire le FN).

En attendant, moi, je bouge. D'abord, c'est mon toit qui m'a donné l'exemple: il s'est barré pendant la tempête du 23 décembre. Je n'ai pas dormi de la nuit, six faitières non fixées m'auront tenu dans l'angoisse. Au matin, je constatais les dégâts, appelait l'assurance et un couvreur pour qu'il bricole un truc évitant les intempéries. Je prends cette mésaventure comme elle est: un révélateur de malfaçon qui tombe mal car les entreprises du bâtiment sont fermées pendant les fêtes. Mais bon, au moins, je sais qu'il faudra les faire venir pour réparer.

J'aurais aussi passé Noël en famille. C'était cool. Et délicieux: cette année, on a mangé du Lama. Ça nous évitera de l'entendre chanter qu'il est malade.

Et samedi dernier, nous profitions d'une offre alléchante pour aller passer la journée outre-manche, à Londres plus précisément, sous le soleil. Et c'était bien ! Excellent même puisque j'ai pu poser devant la seule cabine de police bleue de la ville. Faire un achat dans un incroyable magasin de chaussures. Et voir la plupart des monuments de la capitale anglaise. Je posterai d'ailleurs des clichés, ici ou sur l'annexe.

Alors, voyez, l'actualité qui m'intéresse est d'abord la mienne. Ça n'a pas plus d'importance qu'un pilote de Formule 1 à la retraite qui se mettait lui-même en danger en hors piste, et encore moins que les attentats en Russie, mais c'est ce qui m'occupe. Et c'est très bien !


Ah oui, il y avait un bug d'affichage du blog pour les utilisateurs de Chrome, qui révélait un truc malicieux: c'est réparé.

mardi 17 décembre 2013

Le coup de mou du blogueur historique

 

Vous devez vous dire que je suis tellement absent que j'ai surement abandonné ces murs. J'avoue, l'idée m'a traversé l'esprit, mais avouons-le, difficile de ne plus poser ses idées à l'écrit, ne serait-ce que pour les évacuer. La période est difficile, c'est la fin d'année et, de nombreux événements la ponctuent. Pas mal de soucis personnels, professionnels, impactent mon quotidien. Tiens, pour en remettre une louche sur un sujet qui me touche, encore un décès de collègue très apprécié, à l'aube de ses 60 ans. Dans mon entourage proche, il s'agit du 5ème à partir autour de 60 piges. On vit plus vieux. Il paraît. D'autres choses, plus institutionnelles, me gênent aussi, mais ce n'est pas l'endroit où en parler.

Les journées sont chargées, la vie réelle prend le pas sur le blog et même si je lis encore pas mal d'articles, j'en commente peu voire aucun, je ne suis plus qu'un fantôme sur la toile. C'est ainsi. La visibilité à court terme me permet de dire que ça ne changera pas dans l'immédiat. Je parlerais encore un peu de l'actualité, j'ai toujours de quoi dire, mais le dire seul, un peu à l'écart de cette blogosphère que j'affectionne, m'enlève tout courage... En fait je me laisse aller. Je ne m'ennuie pas, croyez-moi, je n'oublie pas mes lecteurs, mes amis, mes comparses. Pour l'instant ça vivote un peu encore, hein, me lâchez pas !

J'ai peur, pourtant. Peur d'arrêter en laissant couler, doucement, sans baroud d'honneur. J'ai envie d'un coup d'éclat, de retrouver la fougue de ma jeunesse, de revenir sur le devant de la scène dans cette blogosphère qui a tant évolué, tant changé; nombreux sont les blogs des copains qui se sont éteints, nombreuses sont les filles qui les ont remplacé haut-la-main (je pense amicalement à Hiéléna et Amy, qui m'ont écouté récemment – pardon pas de lien, je tape ça à l'arrache).

Récemment, Nicolas (Jégou), Guy (Birembaum) et d'autres parlaient de l'explosion du tweet ou de l'humeur sur les réseaux sociaux, vecteurs d'affaiblissement du blog qu'on aime de façon nostalgique. Ils avaient raison, tout change. En bien, en mal. J'ai un compte Facebook qui vit plus que le blog, mais qui est aussi plus personnel. Je ne me vois pas étaler sur mon « mur » mes convictions sociétales et politiques. C'est pas l'endroit.

Néanmoins, je subsiste là-bas. Chez Homer c'est une aventure, une histoire, dans laquelle comme dans tout bon roman, il y a des moments plus calmes.

Nous en traversons un.

vendredi 6 décembre 2013

Un volcan s'éteint, un être s'éveille

 

Parce que certains petits mots valents mieux que de longs discours, je salue le grand homme qu'aura été Mandela et toute son oeuvre, et félicite Falconhill et son épouse pour l'heureux événement qu'ils connaissent aujourd'hui !

mardi 3 décembre 2013

Diminuer le nombre de fonctionnaires: projection

 
61% des sondés ayant répondu que diminuer le nombre de fonctionnaires était une solution pour diminuer les impôts et les taxes, ont surement répondu avec peu de mémoire ou une connaissance limitée de la fonction publique. Orienté, ce sondage? Quand on sait que depuis dix ans des efforts sont portés sur le renouvellement des fonctionnaires, qui n'était que de 1 'embauche pour 3 départ il n'y a pas si longtemps, sur le gel des salaires ou même la baisse de la masse salariale constatée, on se demande si cette question se pose encore. Parce que diminuer encore le nombre de fonctionnaires, alors que la population se plaint de la médiocrité croissante du service public, c'est un peu s'acharner, non? Moins d'effectif, ça veut dire:
 
Moins de police, plus d'insécurité. Moins de Justice.
Une gestion plus lente des impôts et donc, des remboursements. Ne parlons pas de la gestion administrative de vos biens, moins d'agents signifie moins de temps à y consacrer.
Fin des programmes pour les quatre ou cinq chaines publiques.
Moins de profs, perte de qualité dans les écoles déjà bondées, alors que sort aujourd'hui ce rapport.
Moins de personnel médical, vous rirez quand vous irez à l'hosto et que vous trainerez dans un couloir.
Moins de remboursement de sécurité sociale, délais plus longs, sans oublier les versements des aides comme l'APL, le RSA, etc... qui prendront du retard.
Ouverture des musées ou des mairies une fois par semaine? En semaine, bien sûr.
Moins de bus, de trains et de métro. Pas jojo tout ça.
Au revoir, facteur, tu ne passeras plus qu'une ou deux fois dans la semaine?
Seront chômeurs ceux qui n'auront pas été fonctionnaires.

Ceci n'est que flopée d'exemples de l'embarras dans lequel nous serions au quotidien sans les services publics ou avec une baisse drastique des effectifs. Aujourd'hui, ils ont du boulot, beaucoup, autant qu'avant, à faire avec déjà moins de personnel. Ce sondage, basé sur quelle idée, (celle que les fonctionnaires sont mieux payés? Faux !) ne représente, selon moi, rien du tout, si ce n'est la volonté droitière d'une privatisation massive des services publics, qui n'aboutirai qu'à une hausse du chômage et une baisse de qualité, face à une augmentation des tarifs pour des prestations aujourd'hui gratuites. Émergerait une rogne, une colère, consécutive à des décisions qu'on oublierait d'assumer. Accepteriez-vous de payer un service autrefois gratuit?

Alors, l'État est le premier employeur de France. Et alors? Alors qu'il faut baisser le chômage, ne devrait-il pas monter l'exemple? Faites de que je dis, ce que je fais. Finalement, ce sondage est orienté. On ne montre jamais aux sondés toutes les facettes de leurs décisions.

En fait, on vous sonde sur des sujets que vous ne connaissez pas, et vous êtes sommés de choisir.

NAC.

Le Marché de Noël d'Arras vu du ciel

Je ne résiste pas à piquer cette photo à La Voix Du Nord, pour vous montrer le marché de Noël d'Arras vu du Ciel.
Un village sur la Grand'Place, de lumière vêtu.
 

lundi 2 décembre 2013

Doctor Who: les classiques

 

En 1963, soit presque 20 ans avant ma naissance, était assassiné JFK. Le lendemain, alors que le deuil frappait l'Amérique, était lancée sur la BBC, en Angleterre, le premier épisode de Dr Who.

Le 23 Novembre 2013, c'est une diffusion mondiale qui vit la série battre, outre le record de longévité pour une série de science-fiction, celui du nombre de téléspectateurs pour un événement diffusé internationalement en direct: l'épisode spécial des 50 ans de la série, avec David tennant, 10ème Docteur, Matt Smith, 11ème et John Hurt, 8ème et demi. Je ne reviendrais pas sur cet épisode, sur lequel tout est à redire et a été dit, par les fans et pour les fans. Il avait ses incohérences et ses traits de génie, il fut avant tout un excellent divertissement.
 
 
Et le nouveau fan (whovian) que je suis devenu à la découverte du Docteur en sa version 2005 a été tenté de découvrir la version classique, celle diffusée en 1963. Pour tenter de comprendre l'arc global narratif de la série, pour ne pas me contenter de ce qu'on me dit ou qu'on me fait comprendre. Alors, j'ai commencé à regarder de vieux épisodes en noir et blanc. A sourire devant la réalisation, le jeu d'acteur.
Et à aucun moment, je ne me suis ennuyé.

L'Europe pose des problèmes fumeux

 

Les buralistes ont la grogne, et je les comprend: avec le projet d'assouplissement des quotas d'achat de cigarettes à l'étranger, il sera possible pour l'usager frontalier d'aller acheter ses clopes derrière la frontière, là où le tabac est moins taxé, et ramener davantage de cartouches à la maison pour soi ou ses proches. Désormais, ce sera donc jusqu'à 10 cartouches par individu et par mois, soit jusqu'à 50 par voiture. Les buralistes ont donc les boules. Le plus étonnant est que cette mesure proviennent de nos élus Français, qui créent donc l'avantage aux pays voisins, oubliant que chez nous les commerces meurent. Ces mêmes élus qui ont accepté l'augmentation des taxes sur la cigarette. Un combat dans lequel on tire sur l'allié?

Je ne fume pas donc je ne me sens pas forcément atteint, néanmoins je m'aperçois chaque jour un peu plus qu'en matière d'égalité, l'Europe a des efforts à faire. Avec 28 États soumis à des règles de libre circulation des biens, et avec des taxes toutes aussi différentes d'un État à l'autre, on est loin d'une Europe sociale qui serait le point idéal d 'équilibre d'une union européenne stable. Résultat, des pays qui s'endettent, du chômage qui augmente (il suffit d'extrapoler sur la concurrence étrangère dans les transports, c'est d'actualité), des entreprises qui creusent les écarts sociaux...
 
L'utopisme me pousse à vouloir une Union européenne qui tende vers une égalité de salaires, de charges, de prix. Une Europe économique. Et sociale.
En attendant, la France ne s'étonne pas que j'achète ma bière en Belgique. C'est le jeu. Avant tout, le consommateur cherche à payer moins cher. Ca vaut pour tous les produits de consommation.

dimanche 1 décembre 2013

Une soirée au marché de Noël d'Amiens

Hier soir, pour conclure la semaine d'anniversaire de Marge, je décidais de l'emmener au restaurant. Depuis que nous avons déménagé, Amiens est devenue plus proche, une ville très grande, vivante et splendide. Je n'ai donc pas hésité à faire d'une pierre deux coups, puisqu'en cette fin novembre, la ville accueillait son marché de Noël, parmi les plus grands de France.

Devant l'Hotel de Ville

Des chalets alignés, on y circule de façon fluide

Les boules du Père Noël


Nous sommes donc arrivés là-bas en début de soirée, et nous découvrîmes "Parfums de Noël", un marché dont le thème de cette année est "l'Australie". Sauf que nous n'avons rien vu de très Australien, le plus proche étant ce marchand de nem au coin d'une rue. Le marché de Noël d'Amiens, dans l'ensemble, ne m'a pas emballé. Contrairement à Arras, où les chalets composent un village et où l'ambiance est traditionnelle, à Amiens, ceux-ci sont alignés dans la rue marchande et proposent des objets artisanaux classiques. Beaucoup de restaurateurs. Mais tout se ferme à 19h30, ce qui me parait tôt.

Ensuite, la Cathédrale devait ne s'illuminer que ce soir et pourtant, hier, à 19h00, Marge et moi avons pu observer ce qui ait l'attrait d'Amiens en période de fêtes: sur le parvis de la Cathédrale, les gens s'attroupent pour observer les illuminations en couleur de chacune des statues de saints qui composent le porche du batiment. C'est exceptionnel. A voir. Le souci du détail, l'ambiance que ça dégage, la précision... Splendide.
Malheureusement, nanti d'un vieil appareil photo, le rendu n'est pas terrible. Il va falloir que je m'habitue à sortir mon Bridge...

A chaque Saint sa couleur !

Observez le souci du détail

C'est à voir !
Miam !
Beffroi glacial...


Enfin, nous avons dîné à la crêperie du vieux Beffroi, qui, comme son nom l'indique, se situe face au Beffroi. Une ambiance agréable, une assiette copieuse mais des saveurs plutôt banales. (Classée troisième sur Tripadvisor)

Au final c'était bien agréable !



jeudi 28 novembre 2013

Retraite chapeau: Varin va t-il penser à redistribuer?

 

On entend parler de cette affaire Varin, où le numéro 1 de PSA devait partir en retraite avec un chapeau de 21 Millions d'Euros. Une somme qui a fait grincer les dents et monter les voix, puisque sa société licencie à tour de bras. Hier encore, il se disait que le futur ex-PDG de Peugeot-Citroën renoncerait peut-être à ce chapeau, ce qui apaiserait l'opinion publique et tout ça.

 
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Déjà aujourd'hui, c'est remis en doute.

Bah moi je me dis: qu'il parte avec 3 millions (beaucoup diraient que c'est suffisant pour éviter d'aller aux Restos du Cœur), et que cet argent restant, plutôt que de le réintégrer aux comptes de la boîte et puisque celle-ci était prête à les lâcher pour Varin, on le redistribue aux salariés et ouvriers. 18 Millions à se partager. Ils existent, ces 18M ! Ce serait vraiment un départ flamboyant, un panache blanc exemplaire. Monsieur Varin, réfléchissez-y: vos ouvriers les plus anciens partiraient en « retraite anticipée », ce qui éviterait les licenciements prévus à venir. Les autres seraient motivés, reconnaissants et... consommateurs ! Ils achèteraient un bagnole, tant qu'à faire de celles qu'ils fabriquent ! Et vous, seriez le fer de lance d'un combat exemplaire, de la redistribution et de la relance économique souhaitée par le gouvernement et l'Etat (ce dernier étant un de vos actionnaires !) tout en maintenant votre statut de patron tel quel. Et à côté de vous, peut-être d'autres soigneront leur honneur et leur image en s'inspirant de vous?

Incendie d'anniversaire?

 

Comme je le disais sur l'autre blog, c'était l'anniversaire de Marge hier. Et pour fêter ça, de jeunes enfants dans un camp de rom près de son lieu de travail, ont allumé une bougie. Elle aurait pu aller la souffler, manger une part de cake, tout ça,mais, pas de bol, la bougie a mis le feu à la caravane, puis au camp tout entier ! Résultat: un camp décimé, un gros nuage de fumée noire, 40 personnes évacués (pour une dizaine de caravanes) et la circulation des trains bloquée au départ de Lille-Flandres. Ce qui a engendrée, pour Marge, le merveilleux cadeau de rentrer en retard le soir...

mardi 26 novembre 2013

La Nexus 7 (2012) passe à KitKat... sans Google Launcher Experience (GEL) !

Il aura fallu attendre quinze jours mais voilà c'est officiel, ma tablette Nexus 7 (2012) est enfin mise à jour avec l'OS Android 4.4 estampillé Kitkat ! On a pu lire un peu partout les nouveautés de cet update, à commencer par une consommation moins importante de mémoire, quelques améliorations ça et là... Mais sur les tablettes, personne ne nous avait dit qu'il n'y aurait pas le launcher Google Experience, grande exclusivité du Nexus 5, dernier téléphone de la marque. Ainsi, toute l'expérience ludique est entravée: alors qu'il suffisait de dire à haute voix « OK Google » pour accéder à la recherche orale sur le net, rien sur la tablette. Alors que l'interface jouerait de jeux de transparence, rien sur la tablette. Idem pour la gestion des gadgets ! 
Alors, si pour vous aussi le GEL (Google Experience Launcher) est absent, que vous souhaitez l'installer – après tout, c'est une mise à jour majeure d'Android ! - , lisez les articles en bas de billet et suivez les étapes. Sachez qu'il existe aussi des alternatives qui sauront vous rendre la vie plus belle comme Epic Laucher ou Kitkat launcher.

http://phandroid.com/2013/11/14/how-to-install-google-experience-launcher-with-ok-google-command/
http://www.geek.com/android/how-to-install-the-google-experience-launcher-1577287/

C'est en british mais c'est accessible... non?
Enfin, si vous avez une tablette qui ne supporte plus les mises à jour d'Android car trop ancienne, allez faire un tour sur Cyanogen au cas où votre appareil aurait fait l'objet d'un mise à niveau par cette équipe de programmeurs, ça pourrait bien lui redonner une seconde vie !

vendredi 22 novembre 2013

J-1 avant... the Day of the Doctor !

They did it !
Voilà un moment que je me demandais si l'équipe Google allait faire un Doodle spécial pour les 50 ans du Docteur ! C'est fait ! Et demain, soirée spéciale sur France 4 avec l'épisode anniversaire "The Day of the Doctor"...................................... Brilliant !
 
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Basically... run !

Bof-jolais 2013

 
Traditionnellement, j'ai goûté hier à la cuvée du Beaujolais Nouveau 2013. Et je dois dire que, comme tous les ans, je ne comprends pas cet engouement pour un vin primeur à chaque fois passable. Je vous mettrais surement une photo ce soir ou demain de la jolie bouteille que je me suis acheté. Elle a la particularité d'être en verre blanc, ce qui est plus surprenant que le goût du vin dedans. Car ce dernier est plutôt léger, et à ma première gorgée je l'ai à peine senti. Mais c'est une institution.
Allez comprendre. Au moins, léger, il est accessible à tous, même à ceux qui n'aiment pas le vin plus mûr: c'est un vin d'initiation qui plaira sûrement à Marge?

mercredi 20 novembre 2013

EdF: Après tout, pourquoi pas...

 
Didier Deschamps aura des raisons de donner des baffes. Parce que même si les joueurs de son équipe ont gagné et se sont qualifiés, il pourra tataner les supporters qui les critiquaient tant et qui aujourd'hui les encensent, ces mêmes supporters qui, de leur courte mémoire, ont oublié que cette qualification à l'arrachée ne se sera faite que parce que ces fainéants de joueurs ont été capables d'une performance exceptionnelle qui aurait dû arriver bien plus tôt, pour nous éviter de se mettre une pression inutile, et de se qualifier en passant par les barrages.
Alors, Didier, pourra tirer des conclusions à froid: ses joueurs se sont qualifiés grâce à deux buts marqués par un défenseur. Revoir l'attaque. Ses joueurs se sont qualifiés parce qu'ils avaient l'envie. Revoir la motivation. Ses joueurs se sont qualifiés sans Nasri. Revoir Nasri. Ses joueurs se sont qualifiés parce que, dos au mur, ils ont oublié leur individualisme. Revoir l'esprit d'équipe. Ses joueurs se sont qualifiés en toute humilité. Revoir ces cons qui ont le melon.

Mais ne les portons pas en héros, ils n'en sont pas. Loin de là.

Je n'ai pas regardé (tout) le match. Mais pour le peu, j'ai vu de l'envie, de la hargne, du combat. Puis j'ai vu le résumé de Portugal-Suède. Ou comment un homme peut élever son équipe (CR7/Ibra). Et j'ai compris que Ribéry ballon d'or, ce n'était pas joué. Et que vu le niveau de jeu de ces deux formations, la puissance des tirs, notamment celui de la victoire finale du Portugal où si Benzema avait été à la place de Ronaldo, il l'aurait mis au dessus mollement. Et je me suis dit: à la Coupe du Monde, il va y avoir un beau niveau, et je ne suis pas sûr que nos Bleus seront en mesure de s'aligner.

Mais après tout, pourquoi pas.

lundi 18 novembre 2013

Allez l'Ukraine (et bon débarras !)

 
J'ai regardé le match aller des barrages, entre la France et l'Ukraine, en dégustant de la pizza et en arrosant le résultat d'un bon verre de rosé. Du coin de l'œil, il était facile de deviner qu'en bloquant Ribéry, les autres bleus seraient incapables de créer quoique ce soit de suffisamment bon pour inquiéter l'Ukraine. Nasri, fidèle à lui-même, aura été inexistant. Je ne m'étendrais pas plus dessus, on a encore un match à jouer demain et ensuite on sera tranquille. Parce que ça commence à me gaver d'entendre parler de l'équipe de France aux infos. Comme mon pote Falconhill, je trouve dommage qu'un gars comme Deschamps se soit écrasé face à l'exigence secrète de la Fédération, de sélectionner des joueurs dont les valeurs morales n'ont d'égal que le piètre niveau de jeu qu'ils affichent sous les couleurs nationales. Voir se faire éliminer la France me fera de la peine, mais c'est un mal pour un bien, car ce sera j'espère la fin de cette génération de joueurs qui font du mal au football français: bye bye, Evra, Nasri, qui ne montrent rien. Pour ne citer qu'eux, car Benzema n'est pas loin de la porte s'il continue à jouer comme ça. Incompréhensible, ces mecs qui sont titulaires dans les plus grands clubs d'Europe sont incapables de s'adapter au jeu d'une autre équipe. Non, la France a besoin d'un renouveau (prenons exemple sur nos voisins belges, les Diables rouges sont étonnants, en ayant pris le temps de se reconstruire...)
 
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Alors demain, je ne regarderai pas le match. Peut-être suivrai-je l'évolution du score sur internet, mais au moins je m'épargnerai de râler, de grogner, de désespérer. Je n'aime pas cette équipe de France. Je n'en suis pas supporter. Et pour reprendre un grand sage, au final: « même sans l'équipe de France, la Coupe du Monde sera sympa à regarder. Peut être même davantage… »

jeudi 14 novembre 2013

Point de vue d'un non-parent sur la réforme des rythmes scolaires

 

N'ayant pas d'enfant, je suis surement mal placé pour commenter la réforme des rythmes scolaires souhaitée par le gouvernement. Néanmoins comme tout le monde, je suis passé par l'école et je peux me permette quelques souvenirs d'école:

A l'époque, les résultats scolaires me semblaient déjà plus corrects: le français, - l'orthographe, par le biais des dictées, notamment; et les maths prenaient une part prépondérante et essentielle, ce qui me permet de dire que les bases étaient plus solides qu'aujourd'hui où les méthodes de travail ont changé et me laissent parfois éberlué. Mais le sujet ne porte pas sur ça:

Il y a 25 ans, on faisait déjà la semaine de 4 jours et demi. On allait à l'école le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h à 17h, avec une pause déjeuner entre midi et 14. Le samedi, on allait en cours, souvent pour des activités différentes comme le sport (j'ai appris à nager à l'école primaire). On entendait pas gronder les parents ou les profs de leur week-end qui commençait le samedi. Le mercredi, nos parents s'arrangeaient pour nous faire garder le matin, et l'après-midi, on allait faire du foot.

Au collège, c'était même pire: on avait cours tous les jours ! Le mercredi matin, d'office. Avec les activités sportives l'aprem. Et le samedi, encore et toujours. Et à l'époque, je ne me souviens pas que le corps enseignant ait fait grève pour le rythme scolaire.

C'est pour ça que, de mon point de vue, ce mouvement de grève, soutenu par des parents qui ont mon âge aujourd'hui et qui on connu l'école comme moi, me semble un peu ironique. Je suis conscient que notre société appelle au loisir – partir en week-end, se libérer du fardeau de nos gosses pendant la journée du mercredi – sic!- , mais il ne faut pas non plus omettre que la qualité de l'enseignement se ressent grandement des nombreuses réformes instables, qui changent tous les trois ans, et au final, ce sont les gosses qui trinquent. Ce que je veux dire, c'est que dans les années 80, ça marchait très bien. Qu'est-ce qui a changé? Quel est, réellement, le leitmotiv de ces manifestations? Et au final, cette réforme, est-elle un problème pour les élèves, ou pour les parents?
 
En complément, je vous invite à lire ce lien. Clic !

mardi 12 novembre 2013

Twitter, et la fuite de mes followers

 A ceux qui ne me suivent plus sur Twitter, du plus modeste au plus grand, à ceux qui ne m'oublient pas mais constatent que Twitter n'est pas un endroit que je fréquente assez assidûment pour que ça vaille la peine de s'inscrire en tant que follower, je voudrais dire que je vous comprend parfaitement.
J'ai reçu des notifications indiquant que certains d'entre vous s'étaient lassés de mon inactivité. Moi, je gardais ce compte Twitter pour être joint en message privé, ou en clin d'œil. Au final, ceux qui veulent me contacter utilisent mon adresse mail ou mon compte Facebook. Twitter, pour moi, est inutile, il faut l'admettre. Un peu comme Google+. Je ne vous en veux donc pas d'arrêter de me follower.
Pour le moment je n'envisage pas vraiment de fermer ce compte. Considérons qu'il est en veille prolongée, mais dans ma vie de tous les jours, celle d'un campagnard, aux activités diverses, faire de la veille numérique est presque impossible. Ça changera peut-être dans le futur, je reprendrais des tweets, je participerai à des conversations, tout ça... Pour le moment, niet.
Alors, Twitter, est-ce vraiment pour tout le monde? Quand on connait le nombre d'inscrits, combien sont réellement actifs?
En fait, tout est ponctuel: pendant Pékin Express ou d'autres émissions comme The Voice, je me rappelle échanger pas mal avec Gildan, par exemple. En ce moment, par contre, j'ai la tête ailleurs.
Depuis longtemps, en réalité.

vendredi 8 novembre 2013

Je n'aime pas les agences de notation

 
L'annonce du jour, dans Google Actu, n'est pas la plus intéressante: Standard & Poor's, l'agence de notation, a baissé la note de la France. Et alors? Bah alors, on s'en fout complètement. Je n'arrête pas de me dire que la simili-austérité débutée dans la plupart des pays européens, l'augmentation de la précarité, l'instabilité économique mondiale, est peut-être le fait de ces agences qui décident de la solvabilité potentielle des États. A trop les écouter, les Gouvernements ne se posent plus de questions et leur gestion prête souvent à confusion. L'exemple de la Grèce est frappant. Depuis le début de la crise, ce sont ces compagnies privées qui insufflent les règles de l'économie mondiale. Et à moi, ça ne me plait pas.
 
D'autres choses ne me plaisent pas plus, d'ailleurs, comme la pseudo-souveraineté de l'Union Européenne sur les États, mais là n'est pas le sujet.

jeudi 7 novembre 2013

Roulez Carrosses !

Salut tout le monde ! Je suis très absent en ce moment, veuillez m'excuser mais, ce blog n'est pas mort, juste en sommeil. Pour vous montrer mes activités du moment, et si vous êtes dans le coin le week-end prochain, sachez que le Musée des Beaux Arts d'Arras propose l'exposition Roulez Carrosses ! gratuitement au public (pour faire du chiffre dans les visites) une dernière fois avant la clôture définitive, et le retour des carrosses à Versailles. 

On y voit des miniatures...

Un landeau !

Carrosse Napoléonien (1er)

Le plus beau carrosse du Musée, celui du Sacre du Charles X

Carrosse funéraire...

Splendide jusque dans le détail...

Par contre il faut s'armer de patience (je suis arrivé tôt, je n'avais pas la queue)

Certains ne passeront pas avant la fermeture...

mardi 29 octobre 2013

L'éco-taxe, un projet de droite?

 

Le site Terraeco nous informe sur l'écotaxe, tiens. L'occasion pour moi de rappeler à ceux de droite qui s'insurgent sur cette taxation supplémentaire, et ceux de gauche qui pourraient être déçus par tout ça, que cette taxe écologique a été actée en 2007 lors du Grenelle de l'environnement, sous un gouvernement de droite, par des élus de droite. Si la mise en place se fait aujourd'hui, c'est d'abord dans le respect des accords de l'époque, puis parce qu'il a fallut commander du matériel, expérimenter un peu – mais discrètement et finalement, pas – avant de lancer le projet pour pallier aux dépenses déjà engagées. Au final, c'est donc le gouvernement Ayrault qui applique une décision de la droite de 2007, et qui se prend le retour de bâton. Et les critiques de l'UMP. Notez l'ironie !!!

Bon, on apprend aujourd'hui une suspension du projet. C'est donc une affaire à suivre. On est pas à un report près.

Néanmoins, je vous invite à lire le site Terraeco, c'est très instructif.

lundi 28 octobre 2013

Coup de vent dans le Nord-Pas de Calais

 
La tempête Christian est bien là, je vous assure. Le petit bonhomme vous montrera peut-être des photos, mais après la nuit que je viens de passer, croyez-moi, ce n'était pas qu'un coup de vent. Déjà samedi, en rentrant de Lille vers 3h00 du matin, on sentait les rafales commencer. Dimanche, toute la journée, on entendait vrombir le vent, se glisser dans les interstices et siffler longuement. Et c'est peu dire, mais je n'ai dormi que d'un œil cette nuit, réveillé sans cesse par les bourrasques violentes.
Heureusement, pas de coupure de courant. Ni de chute d'arbre sur la route, ce matin. A Arras, à peine une branche trainant sur le boulevard, et à l'heure où je publie ceci, la tempête semble se calmer. C'était la première tempête de l'automne. Ce soir, je verrais les dégâts sur mon toit...

jeudi 24 octobre 2013

Où on touche encore à l'épargne...

 
La dernière mesure en date, nouvelle fiscalité qui impacte à la fois mon porte-monnaie et mon moral, me gêne grandement. Et pour une nouvelle fois je suis d'accord avec l'opposition. Ça commence à faire beaucoup, mais quand on touche à mon épargne, si difficile à mettre en place, j'ai le droit de me révolter. Vous me direz, là encore, les plus riches paieront plus que les petits épargnants. N'empêche, en attendant, on me pique de l'argent pour lequel j'ai dû me priver en espérant récolter quelques kopecks garantis. Entre baisser le taux des livrets et ponctionner les intérêts, je vois bien la stratégie gouvernementale qui vise à écœurer les gens du placement pour les contraindre à dépenser leur fric, pour relancer la consommation net donc la croissance. Mais quand t'a pas d'argent, que l'avenir est obscur voir pire, tu as beau baisser les taux d'épargne, on met quand même de côté, on ne dépense pas.
 

Images intégrées 1

Tous les éléments qui tendent à la relance de la croissance sont en place mais les différents intervenants de la stratégie ne jouent pas le jeu: par exemple, les taux d'emprunts sont très bas, mais les banques ne prêtent pas aux gens qui sont en CDD. Les gens qui gagnent leur SMIC se serrent la ceinture pour placer quelques euros. Relance fragile, bancale. Et les dernières interventions du gouvernement en matière de taxe et d'impôts me font douter, et font douter le peuple français, même de gauche. C'est inquiétant.

mardi 22 octobre 2013

Good wrong things

 

Vous aurez remarqué que ce blog est bien silencieux en ce moment. C'est bizarre, même, car tous les matins je scrute l'actualité, j'ai des idées pour des billets, mais je n'en traite aucune: c'est mal. Il faut dire que ces idées, si elles sont de bons points de départ, ne se développent pas vraiment. Je me vois mal écrire un billet de 4 lignes et passer à autre chose, juste parce que mon avis serait posé et qu'il ne nécessiterait pas d'autre argumentation. Alors ce blog végète, c'est mal et c'est bien, parce que je me pose moins de questions et je fais d'autres choses.

Ce n'est pas pour autant que je garde pour moi mes opinions: les tweets sont rares (qui a dit « inexistants? »), mais mes humeurs facebookiennes sont bien plus fréquentes, même si le lecteur occasionnel ici pensera que ce mode de microblogage est élitiste car réservé à mes amis.


Tiens, j'ai l'idée que, peut-être, mon blog pourrait basculer sous une forme nouvelle, celle de Google +. L'ami Nicolas me dira qu'il y a maintes façons de mettre en valeur sa page G+, et que je pourrais y insuffler mes opinions bloguesques en quelques lignes, y recueillir les commentaires participatifs qui font vivre un blog et, voire, transférer ce blog sous un nouveau format provisoirement? Une idée en l'air... qui me forcerait à passer quelques heures à comprendre comment Google + fonctionne et pourrait s'adapter à mes besoins, au détriment de mon anonymat relatif. Les geeks feront l'effort de pondre un billet « faire un blog sous Google + » (Homer, fournisseur de sujets pour les blogueurs en mal d'inspiration?) pendant que moi, bah... j'attends de lire tout ça ^_^

jeudi 17 octobre 2013

Leonarda, l'affaire qui n'en est pas une

 
Je sors un peu la tête de l'eau, là, pour donner MON avis qui n'intéresse que moi sur l'affaire Leonarda. J'ai suivi ça de loin et au début, j'étais offusqué qu'il puisse à nouveau revenir à la direction managériale du PSG. Puis j'ai compris qu'il ne s'agissait pas de Leonardo, mais d'une ado kosovare qui a été expulsée du pays parce qu'elle et sa famille y étaient là illégalement. Après avoir épuisé les recours existants, les autorités sont venus cueillir la jeune fille à la sortie du bus pour la renvoyer illico dans son pays. Et depuis, branle-bas de combat pour un fait qui, d'habitude, n'intéresse "personne". La presse a trouvé un nouveau martyr politique en la personne de Leonarda, et fait du beurre sur son dos.
Tous les jours, des sans-papiers sont renvoyés chez eux, et jamais ni la droite (qui en a fait bavé à ces gens sous le mandat Sarkozyste), ni la gauche depuis lors, n'a vraiment bronché. Et là, finalement, c'est la maladresse des autorités qui ont récupéré la jeune fille au mauvais moment, qui lance la polémique.

Pour moi, tout ça est inutile. La loi a été respectée. Seule la forme prête à redire, mais pas de quoi en faire un pataquès.

Au final, tout cela me semble être un sempiternel écran de fumée visant juste à discréditer Valls, ministre de l'intérieur, favori des sondages, qui semble faire un peu d'ombre aux autres énarques qui saisissent la perche du fait divers pour taper un peu dessus. On dira ce qu'on veut, qu'on l'aime ou pas, au moins, Valls reste droit dans ses bottes. En attendant, les Français pestent sur le manque de considération envers leurs problèmes, l'emploi et le pouvoir d'achat.

Une diversion de plus. Merci la presse.

vendredi 11 octobre 2013

Patraque

 

Normalement, j'aurais dû être un peu plus prolifique cette semaine et j'avais même prévu de vous parler de la règle des trois épisodes, maintenant que la rentrée US des séries télé est lancée. Mais hier comme aujourd'hui, je me sens patraque. Passer de 20 degrés plein soleil à 13 degrés et un record de pluie, ça marque un organisme. Bref, je me sens pas trop en forme. Je suis fatigué. Et comme je me suis fixé un objectif dans des travaux plus personnels, je retarde le moment d'allumer le chauffage chez moi, ce qui n'arrange rien.

Et puis, de là où je publie, ma mise en page et les images sont difficiles à mettre en place. Et c'est toujours plus agréable de lire un billet illustré, non? Même chose pour les liens. Mais je me dis qu'il y en a qui rédigent sur leur smartphone et qu'en terme de lien ou de faute d'orthographe, on pourrait les taquiner aussi. Mon seul souci, finalement, concerne les commentaires, car je n'arrive même plus à répondre à ceux de ce blog alors, aller chez les autres...

J'ai du mal à réfléchir, alors avant que ce billet ne parte dans tous les sens, je préfère y mettre un terme. Avec un peu de temps ce week-end, je reviendrais sur cette fameuse règle des trois épisodes. En attendant je vous souhaite un bon vendredi, car le vendredi, cha va toudis !

mercredi 9 octobre 2013

Fillon, la politique de l'évidence

 
François Fillon affirme être mieux placé que Nicolas Sarkozy pour les Présidentielles 2017, je réponds « oui, c'est vrai ». Et pour la simple raison que Fillon s'est toujours ouvertement déclaré candidat alors que Sarkozy, lui, n'a toujours pas officialisé ne serait-ce que son retour en politique. Du coup, Fillon hurle à l'évidence. Un candidat déclaré est toujours mieux placé qu'un pas candidat du tout.
Officiellement.
Officiellement...
Pour le moment...

Un kangourou dans le slip de Ribéry?

 

Tiens, dans deux jours, l'Equipe de France de football va rencontrer en match amical celle d'Australie. Bizarrement j'ai toujours été supporter des socceroos, et je pense que vendredi, devant ma télé, ça ne changera pas. Face à notre équipe nationale si décevante, la rencontre avec des joueurs australiens évoluant dans la plupart des bons championnats européens devrait être distrayante.

Je ne taperai pas cette fois sur la sélection de Didier Deschamps, on lit ça partout et ça sera toujours sujet à dire. Je me rappellerai juste cette équipe australienne qui m'a fait rêver, surtout, lors du mondial 2006 où elle est tombée face à l'Italie sur un penalty imaginaire. Ce jour-là, derrière les australiens, je découvrais une équipe qui avait le potentiel pour remporter la Coupe du Monde. Cette défaite imméritée me laisse encore un goût amer, tant les Australiens étaient, en ce match comme depuis le début de cette compétition, superbes à voir jouer. Et plus forts que les Italiens... Mais désormais qualifiés pour la Coupe du Monde en 2014 (alors que la France est en galère dans un groupe pourtant accessible en théorie), on va découvrir un nouveau groupe de joueurs dont on n'entend pas parler des frasques et qui se comportent, eux, comme des professionnels.
 
Je ne bouderai pas mon plaisir.
Je vais p'têtre même parier un peu...

mardi 8 octobre 2013

Noël en février, ça m'arrangerait...

 

Bah oui, on sait tous que les trois derniers mois de l'année sont ceux où on te rappelle que deux mois de salaire sont destinés aux impôts en tout genre. C'est sûr, quand on est mensualisé, on va dire que la pilule a déjà moins de goût. On se tape un rappel ou, au mieux, un remboursement. Néanmoins, chacun s'interroge sur l'année qui va suivre, et dans mon cas, j'estime mon futur dû pour organiser un échéancier en fonction de ce que je vais payer et non pas de ce que je viens de payer.

Et là on cumule, des impôts sur le revenu qui tiennent peu compte de la situation professionnelle de ma compagne qui sera à la recherche probable d'un emploi (en gros, on rendra les indemnités chômage à l'Etat), des impôts fonciers qui cherchent une explication de taux (20% pour des poubelles vidées une fois tous les quinze jours, ça me semble excessif) et enfin, des impôts locaux auxquels se greffe une redevance télé pathétique, chère, et injustifiée. Si on proratisait cette somme au temps que je passe devant les programmes diffusés par les chaînes publiques, ils me rendraient l'argent !

M'enfin, je me dis que je ne suis pas le plus à plaindre. Et les autres, je les plains encore plus que moi. Le fait est que, quand on est, comme moi, dans la classe moyenne basse, on se contente de payer sans jamais recevoir. Le souci, c'est que l'impact sur les finances, par rapport au niveau de vie, se ressent bien plus avec nos revenus que si on maintenait un niveau de vie identique avec des revenus plus importants, et pas forcément de beaucoup. On se serre la ceinture. Une sortie, un plaisir, c'est avant tout un budget. Les vacances, un projet. Les travaux à la maison, une saignée.

L'avenir, du brouillard.

C'était mon coup de blues du mardi.

jeudi 3 octobre 2013

Breaking Bad, monument de la série télé

 
Previously on AMC's Breaking Bad...

 
Quand on lit le synopsis de la série, on hésite forcément à entrer dans l'univers créé par Vince Gilligan, autour d'un prof de chimie qui découvre qu'il est atteint d'un cancer et qui, pour subvenir aux besoins de sa famille après sa mort, décide de s'associer avec un de ses anciens élèves devenu petit dealer, pour créer de la méta-amphétamine et la revendre. Sur un rythme lent, maitrisé, posé, avec des plans recherchés et merveilleux, Breaking Bad est une série hors norme. Aujourd'hui, après cinq saisons de montée en puissance, je peux dire qu'il s'agit d'un chef d'œuvre.
 
Images intégrées 2
 
Désormais terminée, laissant la porte ouverte à certains imaginaires, il y aura à la télévision une ère « après Breaking Bad ». Certains épisodes frôlent la folie, il est impossible de s'en remettre, tant la tension est palpable, tant le choc nous aura soufflé. Walter White, petit prof insignifiant, qui entre dans la spirale du grand banditisme, perdu, dépassé et pourtant tout en maitrise, trouve sa place dans le Panthéon des personnages de séries, dont il vient de ravir le trône, fort justement. Avec le recul que l'on lui doit, il s'avère que chaque petit élément de la série, épisode par épisode, était important. Globalement, aucun déséquilibre. Un jeu d'acteur qui frôle l'excellence, qui EST excellent. Aaron Paul, qui incarne Jesse Pinkman, est un grand acteur. Bryan Cranston (rappelez-vous, Hal, dans Malcom in the Middle) est un géant. Un géant.

 
Breaking Bad.
C'est une série parfaite.
De bout en bout.

mercredi 2 octobre 2013

La meilleure façon d'arrêter de bloguer

 
Parce qu'il faut se le dire, bien souvent, le blogueur connait une période de lassitude et envisage d'arrêter son activité. Ce loisir chronophage peut parfois prendre la tête, et arrive un moment où, je crois, on a l'impression d'avoir fait le tour. Pourtant il existe tant de choses pour s'accrocher à son blog: le soulagement de poser son humeur à l'écrit, le partage avec les autres, les amis qu'on se fait, les rencontres inédites. Et malgré l'enthousiasme, récemment, ce sont José et Falconhill qui ont pensé à laisser les pages de leurs blogs pour se tourner vers d'autres horizons...
Il y a plusieurs façons d'arrêter son blog. Pas de meilleure façon.
 
D'abord, ne plus rien publier, paf, comme ça du jour au lendemain. Ed Wood avait pratiqué de la sorte. Son blog est toujours là, ouvert quelque part, mais il n'est plus que l'image qu'il donnait à l'époque.

On peut aussi s'épuiser petit à petit, ne publiant plus que quelques billets sans fond, de plus en plus espacés dans le temps pour finalement, s'éloigner de son clavier et ne jamais y revenir. Tel un fantôme.

On peut tout simplement supprimer son blog et ses publications: on disparaît brutalement, on efface son existence et on oublie, on se fait oublier, on se rend introuvable.

Et enfin, on peut écrire un billet d'adieu. Murement réfléchi, souvent soutenu par les copains blogueurs dont certains souhaitent ardemment qu'on revienne sur sa décision. On ferme le livre de son blog. Peut-être y écrira t-on un épilogue? Un dernier soubresaut. Et finalement... tout se finit.


L'arrivée du micro blogage (Twitter ou Facebook) a changé notre façon de publier. Plus active, plus rapide, notre humeur ou nos photos se doivent d'être publié dans la hâte, puis oubliées aussitôt. Le commentaire est un dialogue sur un mur. Le blogage change, on apprécie l'instantanéité de ces plates-formes et le gain de temps que nous apportent les messages courts qui nous soulagent de la rédaction d'un billet développé. Enfin, des raisons plus personnelles, privées, font que le temps passé à bloguer évolue, change, s'éteint. Il n'y a pas de bonne façon d'arrêter son blog. C'est même d'ailleurs très difficile. Un jour, ici aussi, tout s'arrêtera. Comment? Je ne sais pas. Mais en cet instant je comprends parfaitement que le rythme de ma blogosphère soit composé de naissances et de morts, de blogs éphémères ou durables et que, comme un micro-univers, elle évolue sans cesse à sa façon.

mardi 1 octobre 2013

C'est moi que v'là (fin de blogopause)

 
Premier octobre, me revoilà. C'est la fin de cette période de congés, à laquelle je m'habituais seulement. Il est temps de se remettre au boulot, j'ai vu que l'actualité bougeait pas mal, mais j'avoue que je n'arrive même plus à m'offusquer des trucs. Comme périodiquement, on s'inquiète de la consommation de Red Bull et d'alcool. Déjà-vu. Aux Etats-Unis, les élus sont aussi incapables que les nôtres de prendre une position commune pour le bien du peuple, et du coup, ils mettent leurs gens au chômage technique: le bel exemple ! Tiens, un sondage révèle que le matraquage extrémiste de l'UMP porte ses fruits: à droite, on préfère Le Pen à Hollande ! Côté high tech, c'est cool, les abonnés fibre chez Free auront un débit de 1Gb/s. Enorme. Tellement énorme qu'on se demande à quoi ça sert au quotidien; d'autant que moi je m'en fous, j'ai 10 Mb/s et ça me va plutôt bien. Et c'est pas prêt de changer. Je dois être jaloux... En sport, j'adore le succès d'hier du RC Lens face à Metz. Ça fait plaisir. Un parfum de Ligue 1. Et enfin, aux States encore, c'est la rentrée des séries et ce que j'ai vu pour le moment est encourageant. J'en reparlerai.
 
Homer est dans la place, c'est la fin des congés.
Me revoilà.

mercredi 25 septembre 2013

D'où que je suis?



A la mer, lundi dernier, sous le soleil et la chaleur. Et depuis je profite de mes congés et j'avoue ne pas voir passer le temps. Alors qui s'en soucie? Je pense à vous, je reviens bientôt ! Vous avez le droit de me traiter de feignasse... ^_^


jeudi 19 septembre 2013

Sept ans de blogage

Il y a onze jours, j'ai complètement zappé de vous parler du mini-événement qui secoua ce blog: son 7ème anniversaire.

 Bon bloganniv' à lui, avec un peu de retard !


Le Premier Ministre à Arras ne vient pas me voir.

Branle-bas de combat ce matin à la gare d'Arras, où toute une compagnie de CRS, plein de policiers, des agents en civil, se mêlaient eux lycéens et travailleurs et saturaient les alentours de la gare. Là-bas attendait une ligne de voitures avec en tête, une berline qui était vérifiée de fond en comble. On attendait une célébrité, politique de surcroît.
En effet, ce jeudi, c'est le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault qui se pointe, surement accompagné de certains de ses compères, pour causer environnement. Une actualité qui cadre avec la semaine découverte de la Cité Nature, un ancien abattoir Arrageois reconverti en musée sur l'écosystème. Et qui aurait fait un splendide cinéma. Mais ce ne fut pas le cas. Passons. Au lieu de ça, notre Premier Ministre va visiter une usine de recyclage de pneus de la banlieue de la ville. Recycler c'est bien.
Donc ce qui est sur, c'est qu'une partie du cortège arrive en train, et à cette heure ils doivent d'ailleurs déjà être là. En rentrant d'avoir déposé Marge à la gare, j'ai aperçu un hélicoptère qui devait transporter sa Seigneurie d'Ayrault: je lui ai fait signe mais il ne m'a pas répondu. 
Je pensais qu'il aurait souhaité me rencontrer. Il ne doit pas lire mon blog. Faudra que je demande aux copains de lui faire réparer ça. C'est con, y'avait de la bière à la maison.

lundi 16 septembre 2013

En congés, ça bouge sur l'annexe !

Je vous l'avais dit, ça devait arriver: me voilà en congés. Certes, le temps n'est plus au beau fixe mais les éclaircies sont nombreuses et jusqu'ici, pas de problème à remarquer. Tout ça va me permettre de me reposer et de faire un vraie pause. Les événements personnels à venir dans les quinze jours qui viennent sont nombreux, et je les relaterais surement... sur mon annexe ! Je vous invite donc à y cliquer régulièrement et à vous abonner, ça fera pas de mal.

Je pars en vacances sur Mars...