Mardi soir, je serais au Trabendo, au plus près de la scène.
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Il ne faut plus parler d'inflation. En tout cas, pas à Rachida Dati ! C'est ce qu'aura compris un Dromois qui s'est amusé à demander une petite inflation à l'ancienne Garde des Sceaux via e-mail. Résultat, le voilà en garde à vue pour 48 heures et son appartement a été perquisitionné ! Il y aurait de l'abus de pouvoir là-dessous que ça ne m'étonnerait pas. Et puis, on n'aurait rien contre une petite inflation, nous non plus !
D'autant qu'elle ne risque pas d'en tomber enceinte. Et puis, ça ne l'empêchera pas de retourner travailler le lendemain, sans profiter nécessairement des 20 semaines de congés maternité préconisés par l'Europe et pour lesquelles est favorable la bonne Roselyne Bachelot. Nous cacherait-elle un polichinelle dans le tiroir? Pour sur, ce serait du scoop !
Tout comme cette info sur notre future présidente... ni de gauche ni de droite: Brigitte Bardot envisage de se présenter aux élections, déçue comme tout le monde des promesses non tenues... en faveur des animaux.
C'est pas gagné.
Mon bref passage à Paris la semaine prochaine ne me permettra pas de voir les copains et de partager une bière autour du comptoir. C'est dommage. Le problème des soirées, c'est que c'est le soir, et mon concert, c'est le soir aussi, et comme je viens pour mon concert, j'irais au concert.
Mais rassurez-vous, le provincial que je suis repasse par la Capitale les 8-9-10 décembre. L'occasion pour certains de se préparer bien en avance à un éventuel KdB, dont je laisse le soin de l'organisation à qui-vous-savez. En tout cas, à moins d'un cas de force majeure, je trainerais à la Comète début décembre. Ça s'arrose.
Alors qu'on se plaignait – entre mecs - de ne jamais avoir assez de temps pour finir nos journées, deux collègues féminines commencèrent à se moquer, prétextant qu'elles, elles faisaient double journée: au travail et à l'entretien domestique. Alors, nous leur avons rappelé que nous vivions au XXIème siècle, que la tendance féministe dans nos générations 70-80 avait changé la donne, et à défaut de l'avoir équilibré, l'avait souvent inversée. Sauf exceptions, la plupart des trentenaires d'aujourd'hui, s'ils sont civilisés, reconnaissent le partage des tâches ménagères. Dans mon cas, je fais un peu de ménage, je fais la vaisselle, prépare le repas, repasse un tout petit peu et c'est même moi qui nettoie les chiottes, bordel !
Et ce qui énerve le plus ma compagne, c'est que malgré tout, j'arrive encore à trouver du temps pour moi et mes loisirs. Simple question d'organisation...
De nos jours, nous sommes nombreux à quitter le cocon familial pour trouver notre indépendance. On prend une garçonnière, qu'on s'oblige à entretenir. Et si on est bien élevé, on maintient parfaitement propre notre lieu de vie, et il devient naturel de ne pas laisser faire à sa compagne tout le ménage.
Pour en revenir à ces collègues, qui s'offusquent de nous voir peiner à finir nos journées... A les voir, ce sont des femmes dynamiques, bien intégrés dans la mentalité égalitaire... des femmes de caractère ! Alors, ces femmes qui se plaignent ont-elles choisit le bon mari, ou se cachent-elles derrière des stéréotypes pour se donner de la valeur? Qu'est-ce que j'y peux si elles acceptent ce rôle? Ou ne se plaignent-elles que pour se faire plaindre? A votre avis?
Catastrophe. Il était là, et puis, en un clic, pouf, disparu. Le billet du jour, passionnément tapé sur traitement de texte, vient d'être effacé en fermant la fenêtre du logiciel, et en oubliant de sauvegarder. Horrible. Si, je vous assure, j'avais tapé un billet ! Un billet de société, qui traitait du féminisme et de l'égalité sexuelle depuis les années 80. Un sujet de fond de culotte, en somme. Et comme je suis un blogueur express, qui tape son texte au fil de ses idées, impossible pour moi de recommencer avec le même allant. C'est trop dommage... j'espère être en mesure de retrouver toute la prose de ce texte pour demain... Mais rien n'est moins sur: ma muse m'use.
Le pôle emploi, "merveilleuse idée" de regroupement de l'ANPE et des Assedics sans les moyens nécessaires à sa réussite, n'est que l'ombre de ce qu'il paraît. On ne trouve pas d'emploi au pôle emploi, c'est un fait. Inefficace, débordé, le pôle emploi, qui pourrait être la plaque tournante du marché du travail, peine à se stabiliser. Pourquoi fusionner deux organismes et prétexter l'efficacité, quand on en ôte les moyens et les effectifs? Un seul mot: économie.
Economie relative, d'ailleurs, entre les dépenses inutiles, les réformes couteuses et inefficaces et la mise ne place de taxes et autres impôts qui ne coutent qu'aux pauvres, il y a de quoi ne plus savoir où donner de la tête. Les promesses électorales sont bien loin, quand se révèlent échecs sur échecs. On ira pas dire que ç'aurait été mieux ailleurs, on n'en sait rien.
Tout ça me dégoute. Du coup, je n'allume plus ma télé, ma radio. Je ne lis plus le journal. Sauf le Trucmuche. Je prends du recul, rattrape du temps et m'investis ailleurs. Je fais un pas en arrière de la blogosphère. J'observe. Parfois, je regrette qu'on oublie que les gens qui nous représentent ont été élus par le peuple, et qu'aujourd'hui, ils prennent des décisions en son nom sans même l'écouter...
J'vous ai pas raconté la dernière? On nous a volé les poubelles !
La semaine passée, le voisin du 7 avait oublié de les sortir. Je rappelle que dans l'immeuble, nous sommes 7 appartements sans concierge, nous sortons donc les poubelles tour à tour. Son tour arrivé, donc, le 7 oublie. Les ordures s'entassent, les mouches apparaissent, c'est dégueulasse et tout le monde s'en fout. Alors, l'un d'entre nous, que je ne nommerai pas – mais sachez qu'il est gros, jaune et avec peu de cheveux – a mis un gentil mot dans la boite au lettres de l'écervelé. Je l'invitais à sortir les poubelles le lundi suivant, pour rattraper son tour, profitant que l'appartement qui devait s'y atteler était vide. Il s'effectua: les ordures furent sorties et les éboueurs purent les ramasser.
Tout allait bien.
Sauf que, quelques jours plus tard, les poubelles trainaient encore sur le trottoir. Égoïste au possible, je me refusais à les rentrer: ce n'était pas mon tour, chacun doit se responsabiliser. Logique. Inflexible.
Vendredi, en partant bosser très tôt le matin, elles étaient encore là. Le midi, elles avaient disparu. Absentes du local dédié, absentes du hall d'entrée, la rue était vide... tout simplement envolées. Un voisin les a t-il dérobé? Les manifestants de ces derniers jours ont-ils fouillé mes ordures et, m'idolâtrant, ont-ils volé mes déchets? Allez savoir. En tout cas, nous sommes aujourd'hui lundi. Ce soir, personne ne sortira les poubelles et je ne sais même pas si le propriétaire est au courant. Aux dernières nouvelles, personne n'a encore apporté de sac. Ça ne va pas être triste..
J'ai appris en z'yeutant Twitter du coin de l'œil, que l'épicerie de l'ami Guy rejoindrait bientôt le classement multithématique chez Wikio. Il s'installerait confortablement parmi l'élite de la catégorie, entre Falconhill et Nicolas. Les places y sont chères. Je me sens minable à côté de tous ces géants, et progressivement, je me sens disparaître dans l'insignifiant. Que voulez-vous, le moral c'est comme les classements, ça monte et ça descend.
En tout cas, il le révèle dans Public: l'acteur est sceptique quand à son image à l'écran, il trouve qu'il a une grosse tête. De quoi décevoir certaines de se fans qui pensent que quand on a la grosse tête, on a une petite… vertu.
D'ailleurs, il confirme aussi ne pas avoir de souci pour les scènes de sexe. Ça nous fait une belle jambe mais ça en intéressera certains.
Je sais qu'elle m'a fait souffrir et pourtant, elle revient parfois dans ma vie. Longs moments de solitude, l'impression que l'univers nous entend et se moque, derrière une porte close qui n'offre à notre vue qu'un désespoir aveugle. On s'enferme, dans le déni, on essaie de faire sortir cette douleur.
Une larme, une brulure. Sa présence est insupportable. Depuis le temps, j'avais espéré l'oublier, que mon avenir allait s'annoncer radieux, qu'à aucun moment je n'aurais à nouveau ressenti ce coup de poignard dans le ventre. Elle est apparue un peu sans prévenir. Déferlante, à son habitude, comme une vague de chaleur qui m'envahit. Passionnée, fougueuse et surprenante, elle prend l'avantage sur moi, obligé de me laisser aller à ses envies. Enfin, à mon envie. Pressante.
Putain de diarrhée.
NB: ceci est une fiction. Si si.
Comme, à terme, Blogger ne conserve pas très bien les commentaires, c'est à partir de ceux-ci que je rédige ce billet – pour garder une trace. Ainsi, parmi mes lecteurs, certains ont eu le privilège tout relatif de participer à l'émission, côté coulisses. Voici leurs impressions:
Comme toute émission de télé réalité, elle est "biaisée" par le choix des candidats. Est ce un bien ou un mal... je ne sais pas en fait.
Moi, j'aimerai simplement qu'on m' explique comment réaliser autant de travaux avec un budget de 95000€ (budget obtenu par la famille) quand la cuisine coûte à elle seule 75000€?????
http://www.linternaute.com/acheter/diaporama/electromenager-futur/2.shtml
Alors oui, D&co = arnaque
Et en plus, M6 n'hésite pas à rediffuser cette émission qui donne la rage. Une cuisine à 75 000€ + l'aménagement d'un grenier + un escalier + deux salles de bain + 3 chambres + un bibliothèque sur mesure + un barbecue à 2500€ + une piscine + une cabane à 6500 € + des meubles + un portail + un ravalement = 95 000 €. Mais de qui se moque-t'on ?
En ce qui concerne l'émission M6 déco, sachez que c'est de la pure poudre aux yeux.
Les meubles soit-disant chinés par la présentatrice viennent à 80% d'une très célèbre société de fabrication de meuble sur-mesure, connue dans les milieux mondains.
Quand à ses qualités de "bricoleuse" et son célèbre "marouflage", c'est encore plus risible aux yeux des professionnels du métier.
En effet, hormis quelques plans caméra ou Madame Valérie veut bien peindre un pauvre mètre carré de mur en prenant l'air le plus sérieux du monde, et d'autres où elle ricanne à des blagues minables préparées à l'avance, le reste des travaux est préparé par des architectes d'intérieurs, puis fait hors-tournage par les poseurs de la fameuse boîte de mobilier et par des artisans tenus au secret par une petite clause de confidentialité comprise dans le contrat avec M6.
La journaliste ne tient donc qu'un rôle très relatif dans le véritable déroulement, servant de piège à gogo à l'humour gras, et répétant comme un perroquet quelques termes techniques pour se donner une contenance.
Et ne parlons même pas de ses crises de diva durant les tournages eux-même, où elle est méprisante et vulgaire hors caméra alors qu'elle en fiche pas une.
Pour y avoir participé en tant qu'entrepreneur...je confirme la position d'Anonyme.1 ....on fournit tout gratuitement y compris la main d'oeuvre et nous nous faisons mettre plus que minable quand le chantier n'avance pas assez vite ainsi que piétiner les pieds à la cantine de survie quand la miss à faim et devons subir ses sautes d'humeurs quand la nourriture n'est pas en quantité suffisante ou bien que son visage n'est pas bien cadré après nous avoir arraché un pinceau et s'être faite "barbotter" de peinture sa combinaison pour faire vrai....c'est minable de faire rêver ainsi les gens....Plus jamais...car c'est vraiment un mauvais rêve...Vive les clauses de confidentialités...!!!!
D'ailleurs, quiconque regarde l'émission peut constater qu'on ne montre plus beaucoup les plans de travaux, l'essentiel étant réservé aux pitreries de l'animatrice. Pathétique.
Un peu partout dans la blogosphère politique, sont lancées des invitations à manifester, à rager contre la réforme des retraites, aussi indispensable qu'impopulaire. L'appel à la grève illimitée des entreprises publiques, surement suivies ponctuellement par quelques centaines de lycéens et de manifestants du privé lors des journées d'actions, risque d'entrainer un gros coup de mou parmi les mécontents. En forçant le projet, en feignant l'ignorance, le gouvernement apaise le mécontentement par la lassitude. « Marre de manifester pour rien. » Dialogue de sourds.
D'abord le déni, la colère, puis la résignation...
C'est l'accompagnement des personnes en fin de vie.
A défaut de trouver une réponse à ce genre de problème, avouons que le titre de ce billet est un peu racoleur. Non mesdames, ne cherchez pas plus loin, je n'ai pas de remède miracle à vos odeurs vaginales, - ni nettoyage, ni ramonage - et pourtant dans le Nord, on est des spécialistes de la moule. Ce sont juste quelques mots que j'ai lu sur une plaquette médicale l'autre jour, ce qui m'a prêté à sourire puisque j'avais surement une chatte dans la gorge. Mon imagination débordante m'entraina à la révélation d'un pubis odorant, véritable tue-l'amour qui doit être un fléau pour ceux et celles qui le vivent au quotidien. Je dis donc juste que si vous sentez de la... euh, si vous souffrez d'odeurs vaginales, consultez un médecin. Ce n'est pas normal.
Bon.
A présent on va surveiller les statistiques des visites sous ces mots-clés, tiens.
Yahia, Démont, et même le président Martel: tous poussent la gueulante, il faut se bouger, se faire mal. C'est pas tout de le dire. Lens est un club qui n'a pas un mauvais effectif, qui est capable de beau jeu. On l'a vu cette saison, à petite dose. Trop petite. La spirale des défaites entame le moral, et fait ressurgir les spectres.
Le staff est une surprise qui ne convainc pas les supporters: trois entraineurs déguisés, Santini, Leclerc et Wallemme. C'est confus, et loin d'être efficace. Peut-être leur faut-il un préparateur mental, un profiler?
Alors dans les tribunes, le moral n'y est plus, même si le soutien demeure sans faille. On a peur de revivre la Ligue 2, de jouer contre Tours... Sur le terrain, la tension monte, entre les joueurs. Et pourtant, si cette pression était bien exploitée, le club en sortirait avec la gniak suffisante et utiliserait sa fougue et son envie, solidaire, qui le définit par essence, pour gagner des matches et respecter le public qui les suit partout en France.
On a envie d'y croire.
A eux de jouer.
Je remercie donc: