mercredi 30 janvier 2013

Le chevalier Lumière

Avoir déjeuné au resto asiatique l'autre jour m'a inspiré: j'ai terminé le repas avec un verre de saké, l'alcool de riz qui est indispensable à une digestion correcte dans ce genre d'établissement. Je me suis rappelé, alors que s'effaçait l'image coquine au fond du verre à mesure que j'en avalais son contenu, un film de Jackie Chan qu'on a, du coup, regardé le soir-même.
Et Marge de commenter: ça me rappelle une série, avec un enfant... Bah oui, vous aussi? C'était le Chevalier lumière !
Ou l'histoire d'un gosse, dernier chevalier lumière, qui accompagnait son beau-père flic dans des aventures qui se terminaient souvent par une bagarre au kung fu ! C'était cool...
J'ai retrouvé le générique :


samedi 26 janvier 2013

Feeder - Hey Johnny

C'est au fil de l'écoute de chaque album de Feeder qu'on découvre leur histoire. La mort par suicide de leur batteur Jon Lee a été un choc. Vous en saurez plus en lisant le Wiki. Ceci dit, chaque album édité depuis reprend une chanson en son honneur. La dernière en date, Hey Johnny, est un tube en puissance blindé d'émotion, dont les paroles me font monter la larme à l'oeil...
Ecoutez.
Appréciez.
C'est Feeder.



Trying to find a place to start,
Fortune always plays a part,
He wonders what tomorrow’s gonna bring.
He held his head up to the light,
Underneath a moonlit sky,
Turned and walked away towards the trees.
Cause no one really thought that he would leave
Don’t leave.

Oh oh, why was he the first to go?
Johnny didn’t seem right!
Oh oh, someone should have let us know.

Some things he could never change,
Journeys on the path of fate,
Brought him to a crossroads in his life.
Sometimes he could make mistakes,
Feel that there’s no hope, escape,
Fall into the ocean of despair,
Leave behind the people that still cared.
We cared!

Oh oh, why was he the first to go?
Johnny didn’t seem right!
Oh oh, someone should have let us know.

When I think back
Fragments of life seem so short
It's brought it all back
It's quiet as I'm lost in thought

Hey Johnny!
Hey Johnny!

Oh oh, why was he the first to go?
Johnny didn’t seem right!
Oh oh, someone should have let us know.
Johnny didn’t seem right!
Oh oh, someone should have let us know.

mardi 22 janvier 2013

MEGA protégé?

 Quand j'ai entendu parler du retour de Megaupload sous la forme « Mega », j'ai tout de suite pensé – et vous direz que je suis fou – à un accord tacite entre les autorités américaines et Kim Dotcom. Un accord dont les termes seraient simples: il a l'autorisation de proposer son service, mais doit laisser la main libre au FBI pour choper les pirates en herbe. Sous couvert, mais devant attirer le plus grand nombre, Kim a donc pondu son nouveau site: MEGA.
 
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Bon, évidemment, ce n'est qu'une idée farfelue. Mais le fait est: le site Mega est en ligne, il reprend les bases de son ancêtre, à savoir permettre à tout le monde de partager n'importe quoi, même des machins piratés et illégaux. A ce titre, déjà, des moteurs de recherches permettent de dégoter les fichiers qu'on veut, le tout crypté soi-disant, ce qui protègera donc Kim Dotcom de poursuites. Mais pas les utilisateurs. Vous suivez mon idée?

Depuis un an, de nombreux services de Cloud ont pris le relais, avec des restrictions ,et tout le toutim. L'utilisateur en a déjà pris l'habitude. Mega risque, à ce titre, de n'être rien de plus qu'un énième espace de stockage en ligne. Reste à voir les autres caractéristiques qui le mettraient en avant: son catalogue, sa diversité (utile?) et sa vitesse de téléchargement....

Je n'ai, personnellement,  pas encore eu recours aux service de MEGA... et vous?



lundi 21 janvier 2013

Blogage poudreux au fil de pensées enneigées (un titre qu'il est bô)

 

Après avoir passé un dimanche douillet (à bricoler) à la maison, la cheminée allumée, à regarder tomber la neige de huit heures du mat' jusqu'au soir sans discontinuer, j'étais très hésitant à l'idée d'aller bosser ce matin. Prendre la route quand il neige est une aventure parfois risquée.

Très honnêtement, hier, vous m'auriez demandé si j'allais aller travailler, j'aurais répondu non, avec une boule d'angoisse au ventre. Dans ma campagne, les hivers sont rudes semble t-il. Quinze centimètres de poudreuse étaient tombés, et la neige continuait à déferler, rendant impuissants les passages de chasses-neige et autres engins motorisés. J'avais profité de rester cloîtré pour vernir mon escalier. Et depuis quelques jours, je délaissais complètement ce blog et ceux des autres.

J'aime bloguer. Ça me fait du bien. J'apprends aussi beaucoup des autres. C'est une communauté sympa. Ceci dit, la nouvelle configuration de mon bureau et de ma vie, quelques heures en moins par jour à y consacrer, rendent le blogage difficile et occasionnel. Ça doit se sentir, hein?

Ce matin, si vous passiez dans ma rue aux alentours de six heures, vous avez surement aperçu un grand dadais avec un bonnet ridicule qui lui faisait une tête de coton-tige, une planche entre les mains, à chasser la neige avec vigueur dans son allée: c'était moi ! En ouvrant la porte, j'avais distingué suffisamment de route pour tenter de partir. Et c'est à l'allure vertigineuse de 45km/h que je déroulais la neige sous les roues de la Clio.

Au sud d'Arras – ça intéressera la Voix du Nord – les routes étaient déneigées mais le sel avait du mal à faire son effet. La neige était tassée mais les voies circulables à vitesse réduite.

Il me fallut une demi-heure au lieu de vingt minutes pour arriver en ville.

A l'aller, donc, tout va bien.

mercredi 16 janvier 2013

Neige sur bois


L'actualité du jour étant plus ou moins la même qu'hier, elle est faite de faits et de constats, je vous épargnerai donc mon analyse de néophyte. D'autant que je ne traite jamais l'international. Et même si un hélico qui se crashe en centre-ville, c'est pas commun
Je vous narrerai bien mes deux derniers jours mais quiconque aura vu les infos saura qu'hier, j'ai galéré dans la neige (mais ça s'est mieux passé que tantôt), et que ce matin, on aura fait gaffe au verglas. Donc, aujourd'hui, après une journée ensoleillée mais bien fraîche (on a relevé -17° pas très loin de chez moi), je vous propose ces quelques photos prises entre 18h et 22h, ce lundi soir, à une heure d'intervalle.
Vous assistez là à l'arrivée de la neige sur mon bois de chauffage.





En regardant les photos dans l'autre sens, vous verrez la fonte des neiges. C'est magique.
Et con.
Mais ça me fait marrer.

lundi 14 janvier 2013

Marions-les gaiement !

 
Je suis assez d'accord avec Nicolas et son excellent billet qui illustre bien la connerie de la manifestation d'hier. Celle-ci reflète bien, en revanche, l'attachement de certaines personnes aux valeurs catholiques et chrétiennes de la famille. Ceci dit, on est au XXIème siècle, l'Église ne gouverne plus avec l'État et surtout, elle est la première à ne pas reconnaître ses torts, notamment en ce qui concerne la doctrine de Jésus qui consiste à laisser venir à elle les petits enfants...
 
Bref, là n'est pas le souci.
Je voulais apporter ma pierre à l'édifice. Donner mon avis. Il n'engage que moi, c'est mon point de vue.

Hier, à la télé, Ruth Elkrief posait une question qui n'a jamais eu de réponse, la faute à la page de publicité judicieusement placée là. Elle prenait l'exemple des autres pays qui ont accepté le mariage entre homosexuels, et demandait si on avait pu y constater un changement dans la société humaine et dans la nature profonde de l'homme. Quel impact y avait-il eu, sur la notion de famille? Avant que les invités n'aient pu répondre, paf, publicité. Et derrière, plus de réponse. On sait bien que tous les pays européens ayant légiféré en faveur d'un mariage pour tous n'ont pas été bouleversés et qu'au final, on a pas relevé de travers ou de déviances profondes...

Au contraire, une réforme de la famille a, par le passé, bouleversé le paysage sociétal: la famille monoparentale ou recomposée.

Car le débat porte donc surtout sur la filiation. Le mariage et les droits qui vont avec ne gêne personne, c'est pour cela que la manif' « contre le mariage pour tous » n'est pas une appellation qui me plait.

Je connais un type qui était marié, deux enfants. Il a quitté sa femme et a eu deux autres enfants avec sa maitresse. Puis, il a quitté sa maitresse et est parti avec une amie proche pour lui faire, deux autres enfants. Si on regarde bien, sa nouvelle femme est à peine plus âgée que sa première fille. Là je me tourne vers les manifestants d'hier et je demande: « Quelle image donne t-il de la famille? ». Est-il plus sain de vivre avec des frères et sœurs issus de plusieurs mariages et donc, avec des mamans différentes? Est-il, en extrapolant, plus sain de vivre uniquement avec un de ses parents? De n'avoir qu'un papa, et rien de plus? De connaître au quotidien les tensions des couples séparés?

Est-ce que, dans le mariage, on ne devrait pas simplement se focaliser sur la valeur la plus importante: l'amour?

Je ne pense pas qu'un enfant né d'une union homosexuelle manquerait nécessairement de repères, sa psychologie et son éveil étant suscités plutôt au gré de ses rencontres, son éducation et de l'école. Au pire, à la recherche d'une image masculine, n'ayant que des mamans, l'enfant se tournera vers un modèle extérieur, et c'est tout.

Tout ce qui ressort d'une telle manifestation, c'est que pour une fois, on ne l'a pas fait pour obtenir des droits, mais pour exclure une partie de la population d'en avoir.


A lire, entre autres, sur le sujet: Mariage pour tous, mariage pour moi, pour lui... par CC
Mariage pour tous, mariage pour lui de Gularu, chez Nicolas


mercredi 9 janvier 2013

2036: la fin du monde

C'est donc en 2036 que tous les fanatiques de la fin du monde pourront à nouveau s'exciter, puisque c'est à cette date qu'un astéroïde a une chance sur 250 000 de nous tomber dessus. Apophis, dieu égyptien, va d'abord venir faire un peu de repérage cette semaine, puis en 2029. Ensuite, advienne que pourra. Car Apophis est le dieu des forces du mal et de la nuit. Ca craint.

La Sécu, c'est bien (en abuser, ça craint)

 

L'histoire d'El Camino au sujet de la Sécu me rappelle une anecdote que j'ai oublié de vous raconter. Elle ne remet pas en cause l'opinion que j'ai du système de prise en charge de la santé, je tiens énormément à notre modèle de Sécurité Sociale car j'estime qu'il est tout ce qu'il reste de solidarité en France. Un symbole avec ses défauts, mais surtout sa nécessité. Bref.

Au début de l'hiver, Marge est tombée malade et nous avons dû aller voir un médecin de garde. 23 euros de consultation, et 44 euros pour la consultation de nuit. Donc urgente. C'est important.

Quelque temps plus tard, nous recevons le décompte de l'Assurance Maladie, et nous constatons un déremboursement: la consult' de base est bien remboursée à 70%, mais la majoration de nuit ne l'est qu'à 30 ! Or, elle est indissociable de l'acte en lui-même et aurait dû être prise en charge à la même hauteur. Ni une, ni deux, je vais à la Sécu.

A Arras, pas de souci, y'a qu'un bâtiment. J'y fais la queue mais je passe assez vite et me voilà face à l'agent d'accueil. Je lui explique mon point de vue. Celui-ci me dit que non, si le médecin n'est pas le médecin traitant, alors on est déremboursé. Je lui réponds que ce n'est pas possible, vu que la majoration provient de l'urgence de l'acte et que donc, si la consultation est à 70%, la majo aussi. Il me dit que non. Je lui explique m'être renseigné à mon propre organisme d'Assurance Maladie (la MSA, en l'occurrence) et que ça devrait fonctionner pareil. Sinon, il y a deux façon d'interpréter la loi?

Il insiste sur son idée. Il dit que c'est faux. Je lui dit, excusez-moi d'insister, que je suis sûr de mon coup, puisque je travaille dans cet organisme et que je rembourse des feuilles tous les jours (ce qui est faux, mais j'en garde une certaine connaissance passée). Ça le déstabilise un peu.

Il me rétorque que lui ça fait 35 ans qu'il fait ça. Je lui réponds qu'il est peut-être temps de faire une formation pour mettre à jour ses connaissances plus très fraîches. Il s'énerve. Il me déclare qu'on va pas y passer la journée et m'envoie auprès d'une de ses collègues, dans un bureau individuel.

J'explique mon souci. Elle me donne raison. Évidemment.

Nous avons été remboursés correctement suite à ma réclamation.

Le type de l'accueil était un con pétant.

mardi 8 janvier 2013

Ce que je mange...

Filet de canard et oignons sur lit de mâche...


Une bière bien trop forte !
Et ce soir, champignons farcis !

@CoulbyAngel et mes agacements sur Twitter

 

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Un des trucs qui m'agace le plus sur Twitter, c'est quand on envoie un message à l'intention de quelqu'un et que ce quelqu'un ne répond jamais. Même tardivement, rien. Je trouve ça presqu'impoli et antisocial. Par exemple, j'ai envoyé un message à @CoulbyAngel, elle ne m'a pas répondu, ne serait-ce qu'un « merci ». C'est frustrant. Surtout quand on apprécie la personne.

Bon je peux comprendre qu'elle soit débordée, mais, bon, on a tous des trucs à faire, un métier, tout ça... et puis ce n'est qu'un petit geste de quelques secondes qui fait simplement plaisir.

Attention, je ne parle pas des RT, ou des #FF, et encore moins des allusions indirectes. Ça, c'est autre chose. Mais même si je ne suis pas très actif sur Twitter, j'essaie de répondre un petit truc à quiconque s'adresse directement à moi.

Autrement, j'aime pas non plus les tweets qui ressassent des actus qu'on trouve en une de Google. Ça sert à rien.

dimanche 6 janvier 2013

Il y aura comme un manque...

Quand on a passé cinq ans à suivre ces gens, quand on a "débordé" du cadre de la fiction en regardant des vidéos comme celle-ci...


Quand on a l'impression qu'au-delà de l'écran, on s'est fait des amis, quand cet imaginaire est un soutien rassurant face au quotidien ordinaire....
Quand, en plus, l'environnement est si proche, que l'on a la sensation de faire partie d'un tout...
Qu'il est dur de tourner la page et d'admettre que c'est fini.

J'en ai bouclé, des saisons. De toute sorte. Mais jamais je n'ai été aussi ému qu'à la fin de Merlin. M'attendais-je à autre chose? Pas sûr. Mais même alors que la dernière minute défilait, j'avais espoir d'un rebondissement qui m'aurait fait espérer. Je voulais croire à la magie...

Le plus dur, je crois, c'est de m'être dit, au retour de mon séjour à Pierrefonds, que j'y retournerais l'année suivante ou celle d'après, pour assister au tournage d'une scène dans la cour du château. Sauf que ce ne sera jamais le cas. Jamais. Dur à admettre tout ça.
Je n'arrête pas d'y penser.

L'impression d'avoir perdu des amis. 
Bizarre, hein?

vendredi 4 janvier 2013

Le con en Picasso

 Ce matin, je dépose Marge à la gare au dépose-minute: en fait, une allée aménagée avec des rangements en épis, où on peut stationner une demi-heure gratuitement. Là, on planifiait la journée quand un citroën Picasso blanc s'arrête à côté, sur la place pour handicapé.
Une fille en ouvre la portière passager, claquant allègrement celle-ci contre ma voiture ! J'ouvre ma porte et crie d'un ton provocateur: « Bon, on va faire un constat ! ». Et là, elle me met un vent magistral, feignant de ne rien avoir entendu, et se barre en direction de la gare !
 
J'ouvre encore un peu ma portière, et je claque celle-ci à mon tour sur le Picasso. Le mec resté à l'intérieur me regarde et fait semblant de ne pas m'entendre. Je relance:
« Là, on fait un constat?
- Pardon?
- Bah oui, votre maie a claqué sa portière contre ma voiture, donc...
- J'ai pas vu
- Bah moi si et si vous étiez tombé sur un con, vous auriez des problèmes"
L'homme fait le benêt et me répond:
" D'habitude on fait attention...
- Ouais mais comme par hasard, pas aujourd'hui, hein. Allez."
 
Et là, je ferme ma porte.

Sur ce, le Picasso recule, je lui adresse un « Gros con » parce qu'en plus il stationnait sur une place où il n'avait pas le droit, et je le vois qui se gare un peu plus haut. S'il savait qu'il a désormais une marque bleue couleur Clio sur sa belle voiture blanche, il me maudirait.

Mais avouons-le, il l'a bien cherché.

jeudi 3 janvier 2013

Une page de légende se tourne

Arthur vers Avalon 

Adieu, Camelot...
Souvenez-vous. J'étais allé l'année dernière voir le tournage de la série Merlin, à Pierrefonds. Le lieu est magique, et y voir tourner la légende arthurienne m'emballait. Bien qu'un peu adolescente, cette série m'emportait vers mon imaginaire et j'en appréciais chaque instant. 
La saison 5 est passée sur la BBC. C'était la dernière. La légende s'achève. On critiquera vivement ce dernier épisode: l'axe emprunt, le scénario et même  certains plans, seront sujets à discussion. Mais le fait est: Merlin est terminé. Je vais vivement regretter ce moment d'évasion, à l'esthétisme rare et à l'humour omniprésent. Je pense que le fait d'avoir vu les acteurs (Bradley James, Colin Morgan...), de les avoir suivi dans la vraie vie, fait beaucoup à ce moment de mélancolie. Je retournerais à Pierrefonds, c'est certain, mais il ne sera plus qu'un château fantôme où erre la légende d'Arthur, Guenièvre et Merlin. 
Le générique de fin commençait, et j'étais ému. Arthur avait rejoint Avalon, d'où il reviendra quand Albion aura besoin de lui. La légende est née. Elle est ainsi faite. Immortelle parmi les hommes.

Je suis le docteur. 

Space & time !
Pour passer à autre chose tout en restant dans les TV Shows britannique, je me suis lancé dans l'oeuvre de science-fiction la plus gigantesque de la télévision outre-manche. Ma connaissance en série devant obligatoirement s'enorgueiller d'un savoir délicat, je me lançais dans le visionnage de la mythique Doctor Who. J'étais déjà tombé par hasard sur un épisode à la télé, et à chaque fois, je restais hypnotisé par cette série kitch aux effets spéciaux démodés, et qui reste un incontournable. C'est juste passionnant, drôle, inventif... j'en passe. Trois épisodes ont défilé sous mes yeux en un rien de temps, et j'en demande encore.
Je suis qui? Je suis... le docteur.

La télévision britannique regorge réellement de pépites. Des séries qui valent le détour, et je n'en cite ici que deux. Des acteurs justes, des scénarios originaux, une réalisation impeccable. La France peut la jalouser, et les Etats-Unis devraient souvent s'en inspirer. 

Aujourd'hui, j'ai fermé le livre de Merlin, et me suis envolé pour un voyage dans le TARDIS. Je ne suis pas prêt à m'arrêter. Oh non.


mercredi 2 janvier 2013

On vend moins de voitures neuves en France: c'est pas étonnant

 Je ne m'étonne pas vraiment de la baisse des ventes de voitures neuves en France. Déjà elle s'explique par le nombre croissant de chômeurs, mais aussi par la prudence des gens à engager des sommes et à consommer. Sortie de crise oblige.

C'est ironique quand on voit que les usines qui fabriquent nos voitures licencient, et qu'ils espèrent ensuite vendre à leur chômeurs des véhicules neufs...

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Ensuite, les bagnoles produites à l'étranger le sont parce que le coût est moindre. Pourtant le prix ne se ressent pas à la baisse en concession: une voiture qui coute 5000 euros à produire en Roumanie vaut toujours 12000 en France. Soit il y a des coûts cachés, soit la marge des constructeurs est sensiblement plus grande... Comme ça reste cher pour l'acheteur, aucune raison que les ventes ne décollent.

Enfin, avec tous les équipements de série dont on n'a pas besoin mais qui n'existent que DE SERIE, impossible de faire baisser le prix de la voiture en dégageant des options !

Après, on s'étonne que les constructeurs vendent moins de voitures neuves. Je pense qu'il va falloir revoir un peu leur modèle économique... Permettre à leurs ouvriers de consommer, participer à la relance du pouvoir d'achat, devenir concurrentiel... Je ne plaindrais pas les actionnaires qui engendre(-raient) moins de dividendes cette année, je leur dirais d'agir au conseil d'administration en n'oubliant pas que le consommateur a adapté ses habitudes à la crise, et que désormais, c'est au tour du producteur de faire un effort.

2013, année de la...?

 Après avoir passé la journée d'hier à souhaiter mes vœux à la famille, et à avoir pris le temps de personnaliser chaque sms que j'ai envoyé à mes amis, je pose mes fesses devant mon bureau pour taper un billet qui s'adresse à toi, lecteur.

2012 aura été une année riche, en bonnes choses comme en moins bonnes. Les sentiments qu'on a ressenti et partagé, les humeurs et les coups de gueule, tout ça, aura contribué à faire un peu plus ce que nous sommes. Après tout, on a atteint 2013, et on a tous échappé à la fin du monde ! On est des survivants ! De quoi prendre de bonnes résolutions !

Je ne manque donc pas à poser ces quelques lignes pour souhaiter à chacun d'entre vous, lecteurs, lectrices, blogueurs, blogueuses, amis et collègues, une heureuse année à venir.
 
Que 2013 soit une année que vous vivrez pleinement, avec son lot de petits et grands bonheurs !
 
Et rendez-vous dès demain pour de nouvelles aventures ^_^