dimanche 25 octobre 2015

J'ai fait des crêpes hier soir

En ce moment, j'avoue que je suis un peu démotivé par le blogage. Ça se voit d'ailleurs mais je me refuse à abandonner ces lignes définitivement. En réalité, j'ai encore l'envie, mais pendant la journée. Or, je bosse. Donc pas le temps. Et quand j'ai un peu plus le temps, le soir, l'envie est passée. Docteur, est-ce que c'est grave?
Pourtant, il y a des choses à dire sur l'actu, sur notre évolution de société, et bien des conneries à montrer ou raconter !

Saviez-vous que je faisais partie des inconditionnels de Retour vers le Futur? Ça méritait au moins un billet sur le sujet. Et bien, non. Finalement, j'ai baissé les bras. Pourtant, Zeus sait à quel point ce 21 octobre me tenait à cœur. 
Mes sorties dans la région, faute à l'hiver et au big anniversaire de Marge qu'il faut préparer, se font rares. Même en regardant dans mon smartphone, les photos sont de plus en plus espacées.

Dernièrement, nous sommes allés rendre visite à des amis et avons vus de belles choses ! Ces images, partagées sur mon compte "privé" Facebook, n'ont jamais été publiées ici. Ça viendra, surement. 
En attendant, je vous souhaite un bon dimanche. Ce blog est entré dans sa neuvième année, il a encore un bon bout de chemin à faire avant de s'arrêter !

mardi 22 septembre 2015

Floreffe et Mardesous: avant-goût de la route de la bière

Je ne vous ai pas dit, que j'étais passé par deux sites majeurs de Belgique le week-end dernier? En effet, je profitais de la sortie pour faire un petit détour par les abbayes de Floreffe et de Maredsous, bien connues pour leurs bières respectives de qualité.
Je ne connaissais pas Floreffe: c'est joli ! Un village médiéval à deux pas de Namur, datant donc du XXIIème siècle. Son abbaye surplombe le site, et il est agréable de s'y promener.




L'arrivée au village nous dévoile cette vue, on n'a qu'une envie: y monter !
Mais pour nous le temps presse un peu, de ce fait nous remontons en voiture pour parcourir une quinzaine de kilomètres vers un autre endroit remarquable, où des moins brassent aussi une bière de qualité: Maredsous.
Le site se visite moyennant finances. C'est très grand très beau.
On peut y déguster un breuvage typique, moyennant trois fois le prix du même breuvage en magasin.
L'Abbaye m'a un peu rappelé Poudlard, dans Harry Potter.



A noter, la fréquentation du lieu est bien plus touristique que le précédent.
Bon, je vous laisse, j'ai une Maredsous Triple à déguster, moi !

dimanche 20 septembre 2015

Wallonies 2015: la fête à l'état pur

Je repointe le bout de mon nez par ici, preuve que ce blog parmi les autres n'est pas mort mais seulement endormi. Je reviens tout juste de Belgique, où se déroulent depuis une semaine les fêtes de Wallonie dans la belle ville de Namur. C'est à peine à deux heures de route de chez moi et j'en ai gardé un tel souvenir d'il y a deux ans que je voulais absolument retourner là-bas cette année.







Alors certes, les prix ont changé: la bière passe de 1€ à 2€ le gobelet, faute aux nouvelles taxes européennes. Mais l'ambiance, messieurs dames, elle ne change pas: un monde fou là-bas encore, des concerts (les Frero Delavega et Kyo cette année parmi d'autres), de la musique, du fun, et des gens heureux et parfois bourrés. Y' pas, ces fêtes sont un truc à part. Toute la journée, vous croisez les Echassiers, de nombreux stands d'animation, partout dans la ville, devenue piétonne pour l'occasion. 



Et bien sûr, pas de fête sans péket ! Cette liqueur de genièvre aromatisée fait fureur et s'enfile par lots de 5 ou 10 shooters. 



Pour en savoir plus, cliquez ici.
Pour en vivre plus, allez-y !

lundi 7 septembre 2015

Peut-être un jour...

Parfois, il est plus parlant de laisser écouter une chanson, que de dire les mots qu'on a tant de mal à dire. Ces mots, adressés à nos proches, à notre famille, si durs et si forts, qu'on n'arrive pas à exprimer mais qu'il suffit d'un regard pour être certain de leur sincérité.
Alors aujourd'hui, parce que je ne suis qu'un grand tendre, je dédie ce billet à ma famille.
Je vous invite, chers lecteurs, chers amis, à écouter attentivement les paroles de la chanson qui va suivre. Attentivement, car elle retranscrit tout ce que je suis incapable de dire à ce jour. Peut-être un jour, y parviendrais-je. Peut-être un jour.


jeudi 3 septembre 2015

Fête de l'Andouillette

Bon, ok, je suis en retard: on est Jeudi et je publie seulement mon premier billet de la semaine. Pas que j'ai pas eu d'idée, mais manque de temps.
J'aurais pu parler des faits d'actualité: la photo de la honte, les agriculteurs. Mais je vous avoue que ça me fout le moral en l'air et qu'aujourd'hui j'ai vraiment envie de me changer les idées. Du coup, je reviens sur une animation annuelle qui a lieu à Arras.



 Le dernier dimanche d'Août, c'est la fête de l’andouillette. Tradition oblige, nous nous y sommes rendus pour y manger de la AAAAA, gage de qualité qui garantie une belle dégustation ! 



Et à Arras, ce sont aussi des animations, du bruit, des coups de cœur: sur la Place des Héros, un marché local vous attend. Au centre, une scène où passent des groupes festifs, complétés par des animations de rue et des jeux anciens. Et avant le défilé des confréries, on s'attable pour manger en compagnie des Arrageois ! On peut aussi aller sur les quais de la Scarpe, pour admirer diverses compétitions nautiques.


La confrérie du chou-fleur

C'est donc l'occasion de passer un bon dimanche entre amis, d'admirer notre nouveau Géant (l'ami Bidasse), et de rentrer repu, dans sa tête et dans son ventre !








dimanche 30 août 2015

La carrière Wellington

En ce moment j'ai particulièrement envie de vous faire découvrir le patrimoine de ma région. Alors j'en profite aussi pour faire ce que je n'ai pas encore eu l'occasion de faire, à savoir visiter la carrière Wellington, à Arras. Cette carrière de craie se situe vingt mètres sous la ville, et recèle en son sein une page importante de l'Histoire. Ce faut un des haut-lieux stratégiques de la bataille d'Arras, pendant la première Guerre Mondiale.




Je ne vais pas, en ce billet, vous révéler le contenu de la visite. Sachez juste que dans les tunnels qui parcourent le sous-sol arrageois, entre deux carrières de craie, se déploie un réseau de galeries qui abrita 24 000 soldats du Commonwealth, qui en sortirent le 9 avril 1917 pour une bataille épique et mémorable. 

La visite des galeries, guidée, et interactive, est émouvante, autant qu’impressionnante. Là, à 20 mètres sous la route d'une ville actuelle, se terraient des hommes courageux, qui y vivaient dans des conditions spartiates mais organisées. Nous étions là, où eux avaient été, dans une ambiance fantastique. Plus qu'un musée, ce mémorial est un must-see de la ville.

Cet escalier remonte à la surface, et a été emprunté par des milliers de soldats qui combattaient pour un idéal de paix
Au sortir de la carrière, après avoir visité l'exposition permanente montrant des objets vieux de cent ans, je n'avais qu'une envie, celle de partager mes impressions avec mes lecteurs. A l'occasion, j'espère que certains d'entre vous se diront que finalement, il y a des choses à faire, à voir, à apprendre dans le Pas-de-Calais, et que je vous y verrais un jour en vacances, qui sait?
Le Sud-Est d'Arras est un secteur marqué par la Grande Guerre, de nombreux villages furent détruits, il y subsiste néanmoins un riche patrimoine de cette époque. Nos amis britanniques ne s'y trompent pas et viennent nombreux en pèlerinage. 

lundi 24 août 2015

Centre Historique Minier (La terre, c'était le charbon)

Ce week-end, profitant du soleil estival, Marge et moi décidions d'aller visiter un monument de notre patrimoine. Habitant à proximité du bassin minier, je n'étais jamais allé visiter le Centre Historique Minier de Lewarde. Le bâtiment, ancien puits de mine, se situe près de Douai. Et à l'occasion, cher lecteur, je t'invite à absolument y aller toi aussi !


La mine a, depuis le XIXème siècle, été le principal moteur de richesses de la région. De nombreux mineurs y ont passé leur carrière, y sacrifiant trop souvent leur santé, puis de fil en aiguille, leur famille. Des enfants y travaillaient dès leur plus jeune âge, dans des conditions spartiates et un inconfort certain. Loin de moi l'idée de faire de ce billet un résumé de la visite avec ses détails et ses anecdotes, je vous le dis, allez-y. En plus là-bas, vous aurez peut-être la chance de rencontrer un ancien mineur qui vous racontera, à demi en ch'timi, son histoire.
C'est plutôt bien foutu, là-bas. Un guide nous emmène visiter un puits de mine, nous dévalons les tunnels au fil de l'évolution des techniques pour en apprendre plus sur ce métier méconnu.



Le point de départ de la visite se fait après une partie exposition, qui nous apprend les rudiments sur le charbon. Puis, rendez-vous dans la salle de douche des mineurs, aussi connue comme la salle des pendus.
Le guide vous y attends et vous emmène pour une heure de visite dans la mine, de la salle de tri et ses galibots, aux galeries d'extraction quelques centaines de mètres plus bas où le coup de grisou est toujours possible...
Et là, encore, ce sont d'excellentes conditions de travail ! Vous n'avez pas vu le reste!
Enfin, à la sortie, le reste de l'exposition nous explique la vie des mineurs, de la création des corons au quotidien de ceux-ci. La symbolique minière gravée au sein du bassin, dans tout le Nord Pas de calais, la création du Racing Club de Lens, jusqu'à la fermeture des puits il y a quelques années.
Le bassin minier, inscrit au patrimoine de l'Unesco.
A découvrir absolument.


dimanche 23 août 2015

L'agresseur du Thalys ment

Il était 17h42. Je venais de récupérer Marge à la gare d'Arras ce vendredi, où elle rentrait en train. Encore une fois, ce dernier avait du retard, d'autres avaient déjà été annulés... En rentrant à la maison, nous commencions à passer un coup de tondeuse et à entretenir notre jardin, loin de se douter de ce qui s'était passé quelques minutes plus tard.
C'est donc vers 22h00 que j'appris la nouvelle de cette attaque à l'arme lourde dans le Thalys. Scotché devant la télé, à revoir en boucle les mêmes images et à récupérer des informations disséminées au fur et à mesure, pensant même que l'attaque avait eu lieu en gare d'Arras alors que celle-ci s'était déclenchée bien avant. L'actualité du direct comporte ses imprécisions qui font qu'elle en devient parfois ridicule.
Et puis, une fois la télé éteinte, je me disais que les héros américains méritaient bien la légion d'honneur, celle qu'on donne depuis quelques années à tout le monde pour pas grand chose de vraiment grandiose; là, ces mecs sont des couillus qui ont sauvé des vies humaines: redonnons à la légion le sens qu'elle est sensée avoir.

Enfin, au matin, j'apprends que l'assaillant d'origine Padamalgame se défend d'avoir voulu procéder à une attaque terroriste, préférant raconter une histoire de braquage qui a mal tourné. Moi, dans sa version du moment, je me demande quand même s'il est si facile de "trouver des armes dans un parc" en Belgique, d'apprendre à s'en servir avant de monter dans le train, de faire un braquage avec un fusil d'assaut plutôt qu'avec un simple pistolet pourtant bien plus maniable dans un wagon... Et enfin, faire un braquage avec neuf chargeurs, ça me parait un peu surchargé. Surtout que le mec, il aurait été attendu à la gare à l'arrivée. Mon avis qui n'engage que moi, c'est qu'il s'agit d'un terroriste amateur qui aurait fait un véritable carnage avant de se faire abattre à la gare comme un martyr religieux de mes deux. Lui, on l'a chopé vivant, faut pas le louper !


jeudi 6 août 2015

Fier

Le Racing Club de Lens embauche des joueurs au chômage, il est depuis le début du mercato l'entreprise qui embauche le plus du département, hi hi hi.
En tant que supporter, je ne serais malheureusement pas dans les tribunes du nouveau Bollaert ce samedi pour le premier match à domicile. Après les galères de la saison passée, qui n'enlèvent rien à l'héroïsme sportif des joueurs, le RC Lens sort la tête vers un renouveau. Ce renouveau commence par la création d'une nouvelle équipe, avec la contrainte de ne pas acheter de joueurs. Qu'à cela ne tienne.

Il faudra du temps aux Lensois pour trouver un rythme, et peut-être plus d'une saison pour monter en puissance. Mais on a tous conscience que le club est passé par une belle porte, au regard de ses problèmes extra sportifs.
Samedi, 32000 personnes s’agglutineront dans les travées de Bollaert. Il existe encore une passion à Lens. Celle des gens d'ici.

Si vous avez une vidéo à voir ce soir, une seule, c'est celle-ci. Elle me donne des frissons. Des larmes aux yeux. De la fierté.



mardi 4 août 2015

Ouverture facile

Je suis ici pour pousser un coup de gueule. Un coup de gueule contre le mec qui s’enrichit grâce à nous, le plus beau libéral de l'histoire, le mec qui nous entube plus que n'importe quel gouvernement, j'ai nommé: l'inventeur de l'ouverture facile !
Partout sur nos paquets, on voit cette mention. Soi-disant qu'il est désormais super facile, parce qu'un produit a moins de colle dans un de ses coins, d'ouvrir un paquet. Bah moi, j'ai testé, comme 60 millions d'autres gugusses qui enrichissent le Geo Trouvetou du siècle dernier. 
Eh bé, neuf fois sur dix, je fais appel à mes ciseaux !

Défi du jour: qui a déjà réussi à faire ça avec sa brique de lait?

Qui n'a jamais retrouvé le contenu de son paquet par terre à force d'avoir tiré trop fort, de s'être pincé les doigts devenus bleus pour tirer sur ces languettes, et au final, que l'emballage s'ouvre par miracle... de l'autre côté de l'ouverture facile !!!!! J'enrage quand je vois ces petits paquets.
Et vous allez me demander pourquoi je continue, pour autant, à tenter d'ouvrir par ce biais. J'ai deux réponses. La première c'est parce que je crois en ce progrès, qu'un jour il sera aisé d'ouvrir un paquet. Le futur commence maintenant.
L'autre raison, c'est surtout parce que je suis un tout petit peu con, quand même...

lundi 3 août 2015

Game of Thrones, le mash-up !

Aujourd'hui, je partage cette petite perle découverte sur Youtube: une parodie explicative chantée de Game of Thrones. L'occasion de découvrir les personnages et certaines de leurs motivations au travers de ce mash-up sympa !

vendredi 31 juillet 2015

Arras, pas capitale de région (quelle surprise...)

Moi, je ne comprends pas que Lille soit capitale de Région. Certes, la ville dispose d'une activité économique et administrative exceptionnelle. Elle a d'ailleurs déjà tout ce qu'on puisse y rêver. Du coup, n'aurait-il pas été plus judicieux, afin de redynamiser les coins en difficulté, de choisir une ville plus centrale géographiquement, et dans le besoin d'un nouveau souffle?
Lille, finalement, a tout gagné. Elle avait tout, et l'ogre en veut encore.

Arras et Amiens n'ont qu'à se taire. Demandeur d'emploi, tu sais où te mène ton chemin.

Bon.

A part ça, qui veut du gâteau?



lundi 27 juillet 2015

Footeux chanteurs

Quand je viens à penser que les jeunes de 17 piges aujourd'hui n'ont pas vu l'équipe de France devenir Championne du Monde, je me rappelle que je deviens vieux. Moi qui, adolescent, vibrait devant les performances de l'OM champion d'Europe, de dribbles de Waddle au but de Basile Boli, je ressens à présent ce que mes aïeuls ressentaient à la grande époque des Verts.

L'autre jour, j'ai retrouvé ceci:


Un disque vinyl, 45 tours, où chantaient les deux joueurs que j'ai nommé plus haut. Une relique qui vaut ce qu'elle vaut. Pas un hit. Mais des souvenirs...
Aujourd'hui, laquelle de ces stars du ballon rond oserait ce genre de frasque?

dimanche 26 juillet 2015

Sortie nature au Marquenterre

Une semaine après mon dernier billet, me revoilà sur le Ouebe pour vous parler d'une sortie que j'ai faite hier. Sur la côte d'Opale, dans la baie de Somme, existe un parc ornithologique où l'homme peut aller observer une multitude d'espèces d'oiseaux migrateurs, qui s'arrêtent là en toute saison.
L'endroit est sauvage, comme le sont ces oiseaux. 


En réalité, on est là sur un Polder. A l'origine, créé pour cultiver des tulipes, ce parc est désormais un lieu de passage obligé pour qui aime la nature.


Dès le début, on observe avec facilité des cigognes (18 nids sont présents dans le parc) et des oies sauvages (qui me font caca dessus)...


Au fond, des cigognes. Si si.

Pardonnez la qualité des photos, il fallait s'armer de jumelles pour voir les bêbêtes et je n'avais pas pris mon Réflex 24x. Du coup, ça ne donne pas grand chose. 



En fait, le visiteur parcourt un chemin - au choix trois sont proposés, de 2, 4 et 6 km - et s'abrite dans ces huttes aménagées pour laisser la tranquillité aux oiseaux. A l'intérieur, des meurtrières permettent de passer les jumelles, et un guide attend là pour nous montrer les espèces présentes et nous en parler.

On aura eu le plaisir d'observer une grosse dizaine d'espèces d'oiseaux parmi les 150 qui passent là dans l'année. Je suis incapable d'en retenir les noms, mais si vous m'en parlez je vous dirais si je les ai vues. 

En fait c'est beau la nature. Ce lieu est calme, sauvage. Si nous avons mis deux heures à en faire le tour, préférez prendre votre temps et arrivez l'après midi pour y flâner. Ce n'est pas un zoo, c'est une réserve de passage. On peut y être déçu, mais toujours, on aura à y apprendre en revenant une autre fois...
 Après ça nous sommes allés à Quend Plage les pins, le soleil revenant. Il y avait du vent et peu de monde en ce weekend de vacances. On y a mangé une moule frites. La routine...


samedi 18 juillet 2015

Billet d'excuses

Je vais vous dire ce qu'il en est: je n'ai pas regardé les infos à la télé depuis des semaines, la faute à un plan canicule déployé par le boulot de Marge, qui m'a fait commencer mon propre travail près d'une heure plus tôt. Et donc de me lever d'autant plus tôt. Et donc d'être encore plus fatigué le soir.

A cela, j'ajoute mes indisponibilités du week-end. On aide le frère de Madame à rénover s'baraque. Ça prend un temps considérable. Du coup c'est un tir dans le pied de ma motivation à relancer ce blog.

Et aujourd'hui, je bosse chez moi. Travaux de Salle de bain. Ça rappelle des souvenirs aux bricoleurs.

Et je loupe la radio de l'été des blogueurs, la tournée estival de Sir Jegou, qui passe pourtant par Arras pour aller à Douai, et j'augmente encore l'écart de mes sorties avec mes amis.

C'était un billet d'excuses, voyez vous. 
Signé des parents.




lundi 13 juillet 2015

Lisbonne, la der'

Allez, je poste aujourd'hui mon denier biller sur Lisbonne et on aura fait le tour. Désormais ce blog va reprendre une activité normale, avec ses anecdotes et ses faits de société. Je ne parlerai pas de la crise Grecque, le problème m'énerve au plus haut point. L'Europe d'aujourd'hui est un véritable désastre, mais ça, je l'avais vu venir.
Bref.

Dernier jour à Lisbonne, donc. Après un premier passage sur cette étroite colline où se dresse le Panthéon National, à l'architecture impressionnante, nous décidons de nous attarder sur une curiosité de la ville: la Casa dos Bicos.


Nous sommes passés devant cette maison au moins dix fois sans nous apercevoir de sa particularité: chaque brique est, en effet, posé en coin, ce que donne une impression de pique. La Casa dos Bicos deviendra bientôt une association culturelle. Elle témoigne par sa construction des vastiges de remparts de la ville.


Aujourd'hui, nous décidons de prendre le bateau jaune. Alors que l'équivalent en bus parcoure la ville, ce bateau nous permet d'avoir une vue des plus jolies sur Lisbonne, tout en passant devant les lieux les plus attractifs. Un peu comme une balade sur la Seine.


L'occasion de voir le Christ Roi de plus près. Dans ce pays historiquement catholique, ce monument est un symbole (et personne n'y trouve rien à redire).



Après cette balade, il était temps d'aller manger. Et de flâner le long des ruelles de cette ville qui, définitivement, aura été un coup de cœur ! Amis lecteurs, n'hésitez pas, cette destination est un point de chute à voir absolument. LA gentillesse des Portugais, les échanges faciles et leur capitale d'un riche culture sont des arguments de plus qui vous convaincront surement d'aller faire un tour à Lisbonne !

mercredi 8 juillet 2015

Arras: Tour de France 2015

Pas de long billet aujourd'hui pour causer du Tour de France. Je ne suis pas un grand amateur de cyclisme, aussi je me contente de quelques photos: arrivé après le départ de la caravane, je n'aurais pas eu de gadgets. Mais j'ai vu se produire sur le plateau de France Télévisions la chanteuse Shy'm. Allaient suivre Frederic François, le Collectif Métissé et Miss France (je me demande ce qu'elle allait chanter !).





Si l'ambiance était pluvieuse, la foule était présente et on a vite pu constater que l'épreuve était devenu un sacré business, et le village départ s'est transformé en Foire à tout, tout à vendre et pas peu cher ! Qu'importe. J'ai pu assister à l'interview de Christian Prudhomme, directeur de course; et au déplacement de l'ancien Ministre Xavier Bertrand, surement en RTT pour l'occasion...



mardi 7 juillet 2015

Et si on reparlait de Lisbonne? C'est bientôt fini, promis !

Le ciel est chargé, la canicule se termine et quelques gouttes arrosent désormais mon gazon fraîchement semé. Ça va faire du bien. Et ne pas pouvoir traîner dehors me permet aussi de m'asseoir derrière mon clavier (ou devant) et continuer de parler de notre escapade portugaise.


Après avoir visité Bélèm, nous voilà sur la place du Commerce. L'endroit rappelle Bordeaux: une place immense bordée de bâtiments, avec vue sur le fleuve. Ici, vous croisez des vendeurs de drogues qui vous abordent pour vous proposer de la plus douce à la plus dure, mais dont vous déclinez l'offre sans souci. A cet endroit, on se pose, on arrête, et on respire le centre ville. Derrière cette place, de nombreuses ruelles commerçantes et restaurants. 


A l'entrée du quartier Chiado/Baixa, impossible de ne pas s'arrête au café Brasileira pour boire un verre en compagnie de la statue de bronze du poète et écrivain Fernando Pessoa.


Pour descendre de là, utilisons l'ascenseur Santa Justa. La légende dit que son concepteur était un disciple d'Eiffel. Or, seule la conception rappelle l'oeuvre de Gustave, l'ascenseur possède une architecture gothique et un style bien lisboète. Ceci dit, l'intérieur est grandiose, on voyage dans le temps le temps d'une descente.



Vu d'en bas, l'édifice est sensationnel ! Du steampunk à l'état pur !


En remontant vers nos quartiers, nous sommes passés devant la conserverie. Devinez ce qu'ils vendent par milliers ! 


Le temps d'aller se doucher et d'avaler un morceau dans une Cantina locale typique, et nous sommes allés nous promener à Alfama pour faire la fête en musique avec les habitants !!!!