mardi 31 juillet 2012

Critique série: The Borgias

Tiens, je voulais publier une vidéo comme billet de blog, pour changer des derniers posts au titre sentant la fesse, mais comme je n'ai pas accès à Youtube d'où je suis, et que le sujet de la vidéo pourrait heurter les esprits sensibles et que je suis d'humeur joviale, je vais plutôt concentrer mon esprit affuté sur la série que je viens de terminer avec un peu de retard: The Borgias.

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Dans la veine des Tudors, la série reprend les mêmes techniques de réalisation et propose de suivre la famille Borgia au Xve siècle, lors de laquelle le père est devenu le Pape Alexandre VI... Complots, sexe, infamie, péchés mortels, tout se succède au rythme d'un scénario plutôt pas mal mais un poil en dessous de ce qu'on pouvait attendre. Les décors sont somptueux, les rebondissements nombreux et le jeu des acteurs plutôt juste, jusqu'au final de cette saison 2 où tout s'accélère. Prenant !

Novice en cette période de l'Histoire, je découvrais la série avec un œil vierge, croisant les événements relatés avec la page Wikipédia dédiée à la vraie Histoire. Et j'ai été déçu d'apprendre les libertés scénaristiques, anachronismes et autres déviances qui font de la série The Borgias une œuvre plus fictionnelle que les Tudors, même si dans les grandes lignes, elle reprend les faits avérés. Des détails, comme les âges des personnages, ou le peu de peuple dans Rome, peuvent être passés. Mais des idées dans le scénario, comme les canons de Rome, ouvrent la porte à trop d'incrédulités. Bof.

Néanmoins on passe un bon moment, on n'est pas déçu par cette famille mafieuse au sommet du Pouvoir. Je regrette un peu le manque d'implications politiques, plus présentes dans sa grande sœur, mais largement compensées par l'intrigue sur Cesare Borgia, qui se révèle être la pierre angulaire de la série.

Une fresque étonnante que je conseille. A comparer avec la version de Canal+ !

Une bonne érection, c'est ça qu'il faudrait !

L'ennui guette chez les blogueurs, pour ne citer que ceux qui restent actifs et le font ressentir: l'actualité n'est pas très riche en ce moment, entre jeux olympiques et faits divers, on n'a pas grand chose à croquer. C'est aussi l'été: le phénomène est marqué chaque année par une baisse de la fréquentation, et ce, même malgré le temps pourri qu'on a chez nous. L'effet vacances.

Seules, quelques chaines relancent un peu le truc, si tant est qu'on y donne suite.

L'occasion pour certains de lever le pied, de raconter leurs anecdotes, et parfois ,de mettre le blog en sommeil jusque la rentrée, pour recharger les batteries. Les irréductibles se sentent délaissés, les commentaires s'amenuisent chez moi comme les miens chez les autres.

Pour la première fois depuis la création de mon blog, je tiens le rythme et traverse l'été. D'habitude, je m'octroie une pause entre juin et juillet, parce qu'il devient difficile en été d'accorder le blog aux loisirs extérieurs. Mes billets cherchent un fond, n'intéressant surement personne...

Mais il faut créer du contenu, qu'il paraît. Et là, c'est un constat que je fais: en ce moment c'est tout mou sur la blogo!!!

lundi 30 juillet 2012

Twilight: Kristen Stewart suce à son tour

La saga de l'été, c'est dans la presse people qu'on la dévore: Kristen Stewart, la fille qui joue Bella dans Twilight, s'est tapé le réalisateur lors du tournage du film 'Blanche-Neige'. Lui était marié, elle sur le point de l'être, apprend t-on de source officielle. Un drame prévisible, puisque son conjoint n'est autre que Robert Pattinson, le vampire de Twilight. On se demande où ils se sont rencontrés.

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Alors que lui a déjà passé plusieurs films à sucer, la miss s'est surement dit qu'elle avait un peu le droit de faire de même? Son sang n'a fait qu'un tour, elle s'est chopé le réalisateur, croquant la vie à pleines dents. Et hop, voilà comment nait une saga de l'été, entre drames et passions.

Bon, perso je ne trouve ni Kristen, ni Robert, sexys. (Les roberts de Kristen, par contre...) Ce sont un peu des poux, quand même. Des poux vampires. On appelle ça des morpions. Il a du courage, ce réalisateur.

Message d'erreur ?

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THIS IS A WARNING MESSAGE ONLY.

YOU DO NOT NEED TO RESEND YOUR MESSAGE.

Delivery to the following recipient has been delayed:

    xxxxxxxxxx@blogger.com

Message will be retried for 2 more day(s)
C'est en substance le message que j'ai reçu il y a deux jours, m'indiquant que mon merveilleux billet prévu pour jeudi dernier ne serait pas publié par la méthode que j'emploie: le mail. En effet, je tape souvent mes billets sur traitement de texte, puis je les envoie par mail sur mon blog grâce à un service Blogger qui marchait plutôt pas mal depuis le début.
Et l'autre jour ,ce message qui vous a empêché de lire un des meilleurs billets de blog de tous les temps. Peut-être, le meilleur. On ne le saura jamais. Ou pas. On s'en fout.
J'ai laissé passer les deux jours, et je reçois à nouveau ce message avec un nouveau délai: il me reste encore un essai, à priori. Ce serait dommage que la panne perdure, je n'en serai que moins productif. Remarquez, en général, comme tout le monde, je m'octroie une « coupure blog » pendant les grandes vacances... Serait-ce le moment?

vendredi 27 juillet 2012

Un an, déjà.

Aujourd'hui, je tiens à rendre hommage à la mémoire d'un ami décédé trop tôt. Un an déjà.


Le Coucou, tu nous manques.

Bug chez Blogger

J'ai voulu publier deux billets hier. Et vous ne voyez rien apparaître? La cause: je tape et publie mes posts grâce à la fonction Email que propose Blogger.  Une fonctionnalité essentielle dans ma façon de bloguer. Une fois le billet tapé dans mon Gmail, je l'envoie vers une adresse que propose l'application et hop, le voilà instantanément publié ! Génial?
Ouais, sauf qu'hier, apparemment ça marchait pas. Pas de trace de mes billets. Pas glop.
Alors me voilà ce matin en train de taper de chez moi via l’interface Blogger. 
Ce truc est-il arrivé à d'autres? 
C'est gênant, quand même...

mercredi 25 juillet 2012

Fruit du hasard

Le hasard fait bien les choses: Nicolas me tague ainsi que Cyril, Thierry, CC, Elmone, MHF, Princesse à répondre à une question simple: « Et toi, quand tu as furieusement envie de faire un billet, comment choisis-tu un sujet plus ou moins au hasard ? »

Et je suis embêté parce qu'en y réfléchissant bien, la plupart des billets que je publie sont le fait du hasard ! Une humeur, une conversation, une pensée, et hop, on pose à l'écrit ! Quand je manque d'inspiration, en général je m'abstiens plutôt que de me forcer, ça ne donne jamais rien de potable. Quant à ma source d'inspiration, je la puise généralement dans les billets des copains – « billet commentaire »- mais aussi dans l'actu: je déroule mon Reader plusieurs fois dans la journée et si une petite phrase m'accroche, hop, je fais trois lignes sur Selena et Justin. Facile? Pas toujours. Parce que quand je n'ai pas de fond, généralement je cherche à raconter une connerie. Être fidèle à moi-même :-) Et puis, pour se marrer. Parce qu'il y a tant de blogs trop sérieux...

Alors, fait du hasard ou pas deux hazard? A vous de juger. A partir du moment où on cherche une idée en l'appuyant dans l'actualité, il ne s'agit pas d'une idée au hasard. Pour le reste, mes hobbies font le remplissage: je regarde forcément une série dont j'ai envie de vous parler...

Merde me voilà à philosopher. On dit souvent que le blogueur repère dans son quotidien le moindre détail susceptible de faire un billet: c'est vrai. Et ça, c'est l'expérience. Pas le hasard. Bizarre, comme question... du coup, je n'y répondrai pas.

Par contre j'invite aussi El Camino, Val, Guillaume,et Hielena à s'y intéresser. Au hasard.

mardi 24 juillet 2012

Selena Gomez aime où elle a bite

Images intégrées 2  "Selena suce (...)" J'allais écrire un billet people, pour une fois, sur One Direction: un sujet qui a l'air de passionner Nicolas. Eh bien, j'ai mieux, la belle affaire: Selena Gomez emmènage chez Justin Bieber ! Truc de ouf, non? C'est surement le genre d'info qui fera réagir toute la blogosphère...



Poêle dans la main

J'avais vraiment un poêle dans la main ce week-end prolongé d'un lundi. Et ce, sans faute quelconque: j'ai acheté un poêle à bois qu'il a fallu ramener et faire poser, ce qui a occupé une grosse partie de ces derniers jours. C'est aussi pourquoi je n'ai pas blogué, au détriment de mes nombreux lecteurs absents au mois de juillet.

Donc, ycépacékoi?

Eh bien depuis quelques jours c'est le branle-bas de combat à la maison. Les caissons de la cuisine étaient arrivés et ont été montés. D'un espace libre, nous voilà avec une cuisine tout équipée et bien pensée, avec un coin snack qui donne du cachet. Ça a de l'allure ! Et je reste avec pas mal de cartons sur les bras à amener à la déchetterie...

Et puis samedi fut le moment d'aller chercher un poêle à bois qu'on avait commandé. Et 200 kilos de fonte, c'est lourd. Très lourd ! Et heureusement qu'un collègue et voisin est passé par là au moment de décharger, ses bras ont été fort utiles ! Au final, ce n'est qu'hier que les professionnels sont venus l'installer, ce qui leur aura pris la journée, et le temps de faire les poussières qu'il était l'heure d'aller faire dodo...

Comprenez bien que là, j'ai des circonstances atténuantes.

Mais pour me rattraper, je vais pitêtre suivre les conseils de Gildan et vous publier un billet de fan sur le groupe du moment, les bogoss, les incroyables, les uniques : 1 D (comprenez One Direction... oui j'ai eu du mal aussi...). Mais ça, ce sera pour plus tard, j'ai été tagué aussi sur une chaine...

vendredi 20 juillet 2012

Pénis des Dieux !

Vous allez prendre l'avion. Vos bagages enregistrées, vous avancez vers le sas de contrôle quand soudain, les autorités portuaires vous demandent de reculer. Et de passez dans une pièce à côté. Ceux-ci pensent que vous cachez quelquechose, au regard de cette bosse dans votre pantalon... qui n'est autre que votre pénis !

C'est arrivé à « M. Big » le surnommé, et pour cause: l'engin de ce monsieur mesure 22,8 cm au repos, et déforme un peu la jambe de son futal. Pas étonnant. Pour le peu qu'il fût excité de prendre l'avion, il aurait déchiré le cock-pit ;-)

Et ouais, y'avait pas de faute de frappe dans le titre de ce billet... ^_^

J'ai testé Rapid'Auchan

Je voulais gagner du temps en grande surface, ce soir là. J'ai donc testé la zapette. Vous savez, c'est vous qui scannez vos courses !

Habituellement je fais mes courses en bannissant les nouveautés technologiques qui permettent aux magasins de supprimer des emplois, notamment d'hôtesses de caisse. Mais cette fois j'ai été curieux, et n'ayant qu'un petit appoint à faire, je me lançais dans l'expérience zapette chez Auchan.

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Première surprise: contrairement à Leclerc, une fois inscrit, on ne prend pas sa zapette en passant sa carte de fidélité. Chez Auchan, on doit passer sa carte bleue. Délicat, mais justifié par le fait que le groupe propose aussi une carte de paiement et que les gens qui en bénéficient la substitue à leur carte de fidélité. Bon, soit. Je déduis donc que si Marge vient faire ses courses, elle devra aussi ouvrir un compte à elle, puisqu'elle ne se balade pas avec ma carte bleu, Dieu merci ! Une fois l'inscription finie, zapette en main, j'entame mes courses.

Ça marche très bien. Vraiment. On se dit qu'on gagne du temps, on n'aura pas à tout déballer du chariot et tout rescanner en caisse. Parfois on oublie un produit, on revient dessus, c'est bien foutu.

J'ai quand même été informé qu'à la borne de paiement, un contrôle aléatoire pouvait me demander de vérifier 20% de mon caddie, histoire de voir que je n'aie pas scanné en double un paquet de chips, ou oublié de passer à la zapette la boite de foie gras la plus chère. Mais, bon, j'étais plutôt content du machin.

Je suis alors arrivé à la borne de paiement. Et là, j'ai perdu tout mon temps. Parce que comme c'était la première fois que j'utilisais le truc, pas de contrôle aléatoire, mais systématique. J'ai déballé tout mon chariot. Comme un passage en caisse ordinaire. NAC, quoi. Comprenez Nul à Chier. J'ai même défié l'hôtesse, menaçant de me sauver pour passer à une caisse traditionnelle ! Au final elle m'a tempéré et expliqué que la prochaine fois, je serais soumis aux règles prévues.

Après coup, j'étais bien content de n'avoir qu'un appoint à faire, et pas les grosses courses. J'ajoute un bémol, en tout cas bien pénible à Auchan Arras: on n'a pas de socle pour poser la zapette sur le caddie, on est donc obligé de la tenir constamment – ce qui est pénible en cas de caddie lourd – ou de la poser dans le chariot. Plutôt mal pensé quand on sait que chez le concurrent, un support existe.



mercredi 18 juillet 2012

My fat wallet !!!

Pour moi c'est toujours une petite révolution privée, quand un chanteur que j'adore sort un nouveau single. Son style n'intéressera surement pas El Camino, il pourrait toucher les oreilles de Gildan, et désintéresser la plupart des mélomanes, et pourtant, depuis que j'ai écouté son dernier titre, une fois seulement, je l'ai en tête constamment. C'est dire qu'il touche la corde sensible.

Je dois avouer que je l'attendais. Ses chansons rythment mes journées, il est dans l'autoradio à chacun de mes trajets, et bien souvent, il rompt le silence de mes lectures sur le net. Je chante ses titres à tue-tête.

Ladies and Gentlemen, je vous annonce la sortie et la disponibilité sur les réseaux dédiés du nouveau single de …

JOHN HAMPSON « My Fat Wallet » !!!! CLIQUEZ POUR ECOUTER !

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Je rappelle qui est John? C'est l'ancien leader et chanteur du groupe Nine Days, dont je suis fan et qui n'a malheureusement pas connu la carrière méritée à cause d'un conflit avec sa maison de production. John Hampson n'a pas arrêté la musique, qu'il couple avec son métier de professeur, pour nous fournir des chansons de qualité, entrainantes. Allez sur son site.

Avec la possibilité de se procurer ses anciens titres et parfois même, d'anciens albums dédicacés par le maitre...

mardi 17 juillet 2012

Bref, j'ai tout vu Bref et... ce que j'en pense

Ce matin, j'ai regardé le dernier épisode de la série phénomène Bref. J'ai rattrapé mon retard et visionné la saison 2 d'une traite, au rythme de ces cours épisodes, devenus cultes. Et arrive le dernier. Le dernier, qui laisse un putain de goût d'inachevé. Pas bâclé, je n'ai pas dit ça, juste inachevé. Parce que depuis le début on suit les aventures d'un mec, qui au final se retrouve au fond du gouffre, avec la possibilité d'un rebond et puis... et puis... on a une révélation... et puis et puis... c'est l'épisode final. Et c'est tout; Fin, comme ça.

Je crois que je suis déçu. La fin est parfaite, pourtant, elle est un hommage aux fans qui ont copié la série dans leurs délires sur Youtube, elle montre que chacun est acteur de sa vie en Bref. Et pourtant la transition entre les deux derniers épisodes marque un tranchant brutal, presque incohérent.

Alors, que devient le mec? Pourquoi ça se termine comme ça, sans happy end ou end tout court? Ch'ai pas. On peut tout imaginer.

Bref, je reste sur ma faim.

Alerte à Malibu

Il a quand même conduit une bagnole qui parle, le mec.

Il a quand même conduit la mode des grosses touffes de cheveux à sa fin, le mec.

Il a quand même couru et nagé avec des meufs aux seins énormes, le mec.

Il a quand même connu pas mal de problèmes d'alcool, le mec.

Mais au final...

Il a quand même couru et nagé avec des meufs aux seins énormes !!

Bon anniversaire à David Hasselhoff ! 60 piges.

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Je parie que je serais le seul blog à en parler, hein, hein !?

En même temps pour écrire un billet sur ça, faut vraiment avoir rien d'autre à raconter...

lundi 16 juillet 2012

A l'aventure !

J'ai envie de prendre mon sac à dos, et de partir en voiture, en train, à pied. De dormir en auberge de jeunesse, de gouter aux spécialités, de m'endormir exténué à l'autre bout de l'Europe, car oui, j'ai envie, un jour, de tenter l'aventure.

De partir sur un parcours organisé qui, en deux ou trois sessions de congés payés, me verrait parcourir les rues des capitales européennes. De découvrir autre chose. A moindre frais. C'est l'aventure.

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Prendre trois semaines et me lancer: Luxembourg, Berlin, Prague, Varsovie, Stockholm, Oslo et Copenhague. Visiter d'abord le Nord Européen, connaître une autre façon de vivre. Et pourquoi pas, l'année suivante, faire un parcours similaire dans le sud: Lisbonne, Madrid, Rome, Athènes... Ankara, Kiev ?!

Tous les ans, cette période de l'année est propice à ces envies. Reste à le faire. A convaincre Marge. Et à partir.

...

C'est pas gagné.


14 juillet, fin de la guerre?

Finalement, ce qui m'a le plus étonné en ce 14 juillet, c'est d'observer ces rassemblements autour des monuments aux morts, comme pour célébrer l'armistice... Je ne vois pas le rapport entre la Fête nationale et ce genre de réunion... Vraiment. Des fanfares, passe encore, mais un discours devant un monument « en mémoire de nos soldats morts pour la France », c'est oublier que la Fête Nationale célèbre un événement de révolte civile ! Alors qu'apparemment, tout le monde fais fi de son devoir de mémoire, cliquez là pour vous rappeler ce que représente le 14 juillet...

Il y a des moments de notre histoire qui doivent être rappelés, c'est dommage.

Et aujourd'hui, n'oublions pas la Rafle du Vel D'Hiv.


vendredi 13 juillet 2012

Trouver le Nord pour le Pôle !

On sait tous que Pôle Emploi est débordé. On sait qu'il a perdu le sens de sa mission première, trouver du travail à ceux qui n'en ont pas. On sait qu'il est victime du succès des agences de travail temporaire. Et pour remédier à cela, pour que l'emploi, la consommation et tout ce bordel soit relancé, il faut trouver des solutions. Et pour trouver des solutions, il n'est pas inutile de poser à plat le problème. Nous appuierons notamment le problème du manque évident d'effectif formé et compétent à Pôle Emploi. C'est ce que fait brillamment Hielena dans son dernier billet, au cœur d'un blog que j'ai découvert récemment et qui vaut vraiment le détour: Je suis de celles...

Excellent et très juste.


jeudi 12 juillet 2012

PSA se moque de nous

Un p'tit mot sur ce que je pense de la situation de PSA, qui, je vous rappelle, envisage des milliers de suppressions d'emploi et des fermetures d'usine avec l'effet boule de neige chez les sous-traitants.

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Je m'étonne vraiment que la société n'aie pas vu le coup venir depuis longtemps. Étrangement, on en parlait pas pendant la période à succès de la prime à la casse. Tout allait bien pour le marché de l'auto. Et du jour au lendemain, presque, c'est la cata.

Je pense qu'en fait cette annonce répond à une stratégie de développement: dans moins de 6 mois, on entendra parler d'une usine Peugeot qui ouvrira au Maroc. On parie?

Ce ne serait pas la première fois, et ce serait presque légitime au vu des couts de production et de la baisse es ventes. Sauf que les gens comme moi ne souhaitent pas avoir un vaisseau spatial. Les gens ont moins de moyens, il faut adapter l'offre à la demande.

Ainsi je me souviens que mon père avait acheté une des premières Xsara pour la somme de 88 000 Frs. Celle-ci était équipée: DCI, vitres électriques, abs, airbag et même antibrouillards avant. A t-on besoin de plus? Car avec les « options de série », désormais, le prix des bagnoles a flambé. Au final, pour 88 000 Frs, soit 13 000 Euros environ, difficile de trouver un véhicule comparable. Ou une entrée de gamme en 1,2 l essence?

Tout ça pour dire que PSA a surement vu le vent tourner mais dans sa stratégie commerciale, préfère délocaliser sans le dire et nous laisser la merde de milliers de familles en détresse. Super.

Je préconise un accord: l'Etat doit s'imposer. Si sous cinq à huit ans, la situation en France pour le constructeur ne s'est pas rétablie, assainie; si PSA ouvre une usine à l'étranger malgré tout... alors l'Etat doit sanctionner la société par une mise sous tutelle. Faut pas se foutre de la gueule des gens. Encore moins de ceux qui souffrent. Je ne pense pas qu'il s'agisse de protectionnisme, non? Mais de protection, tout court.

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Y'a du stock.

mercredi 11 juillet 2012

Ce soir, c'est Pékin !

Vous le savez, moi, j'aime bien Pékin Express. Ça me fait voyager, rêver, rire. Au point que la soirée Pékin, c'est sacré: on bloque le téléphone, on mange avant le début, on s'installe confortablement et on se tait (tant que possible). J'adore au point même qu'avec un collègue, on avait envisagé de participer. Je pense qu'on remplira une candidature pour l'an prochain. Ouep.

Cette année, le concept a un peu changé, on revoit d'anciens champions et on retrouve un peu de ce qui nous avait fait les apprécier les saisons précédentes, un capital sympathie.

Leur parcours traversait la Corée du Sud, les Philippines et – les chanceux – la NSW d'Australie. Mon rêve, quoi. Autant dire que si je participe l'an prochain, je me retrouverais surement au fin fond du Bangladesh... Mais bon, l'aventure, quoi !

Ah, vous avez remarqué que Marge ne serait peut-être pas ma coéquipière. A cela deux raisons: il faut un binôme original, et il faut parler un peu anglais... hein ;-) et puis je préfère m'engueuler avec un collègue (mais ami) plutôt qu'avec ma compagne...

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Tout ça pour dire que ce soir, c'est la finale. Ça va chier.

On a vu le teaser qui n'annonce rien de bon pour mes favoris, les frères belges comiques dans l'âme, qui d'après les images arriveraient deuxième alors qu'ils sont de façon indiscutable le meilleur binôme à jamais avoir participé à Pékin Express. Ils sont impressionnants. Mais ce n'est pas ça qui m'énerve. Ce qui m'énerve, si vous suivez mes billets, j'en ai déjà causé: les autres finalistes sont les hôtesses de l'air corses. Je ne dis pas qu'elles ne sont pas douées. Mais techniquement, elles ont été éliminées, puis repêchées par défaut parce qu'un autre binôme a abandonné. Donc elles ont déjà perdu. Mais elles peuvent gagner. Et ça, ça m'énerve.

Je vais écrire à Stéphane Rotenberg.

lundi 9 juillet 2012

Moi aussi, j'ai changé...

J'ai commencé à bloguer il y aura bientôt 6 ans. C'était pour faire comme un ami, qui a arrêté depuis. C'était aussi par envie de raconter des histoires, mes histoires, mes aventures de la vie, de façon romancée. Faire sourire. Le blog, c'était exposer, partager des moments à moi. Un journal pas intime.

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J'ai toujours vu ça comme ça. D'abord je parlais de mes passions, de mes activités. Je n'avais pas encore de profil bien défini, mais je restais cloisonné à mon entourage, ma ville, ma région. Je n'avais aucune connaissance des liens, du référencement, des classements. Pourtant, j'avais déjà un petit réseau de copains blogueurs, là aussi, qui ont abandonné la tâche.

Puis, un jour, je me suis attardé sur le référencement. Des sites qui promettait de pulvériser la fréquentation de votre blog, car rien n'est plus triste qu'un blog sans commentaire et avec un compteur qui stagne au nombre de connexions journalières que vous faites pour vérifier s'il y a du nouveau. Puis on apprend l'existence de communautés, de classements. On s'inscrit. On découvre des blogs au delà de notre région. On ose commenter. Une connerie. Puis deux. Et au final on adhère au style et au blog de l'autre.

Pendant ce temps, on s'adapte: d'abord intimiste, j'ai commencé à parler de la télé. Puis de l'actualité. D'événements. De politique. A partir de 2007, mon blog a radicalement changé. De nom, et de style. La ligne éditoriale s'est diversifiée, est devenue plus sérieuse. J'écrivais mes pensées. Mon avis. Je m'engageais. Je recevais des conseils et bientôt je fis parti du Top. Temporairement mais quand même, ils sont nombreux à connaître le Homer de la blogosphère. Tiens, blogosphère. Un mot parfait pour le dico des blogueurs. Le plus important peut-être.

Revenons à nos moutons.

Hier soir je me disais que ce blog avait bien changé. D'interface en contenu. J'avais même assez pour mettre mes divagations sur un deuxième site, et axer mes billets sur le tout et rien qui me passait par la tête. Du post court au plus argumenté. Désormais, Chez Homer, c'est moins intimiste, plus « sociétal ». Ça répond à un rythme simple, d'un billet ou deux par jour sauf le week-end à de rares exceptions.

En relisant les vieux billets, je me dis que j'ai bien changé. J'ai muri. En mieux? A vous de me le dire.


J'en profite pour taguer les anciens, tiens. A eux de me dire pourquoi ils ont commencé à bloguer, et en quoi au fil du temps leur style a évolué. Car en relisant certains au hasard de mes clics, on constate nettement une évolution. Une affirmation. Commençons par taguer Nicolas, Gaël et Falconhill. Ils en feront de même pour trois autres et et caetera.

Pas besoin de pondre une litanie, en quelques mots, du départ à l'arrivée. Sans toucher 20000Frs.

vendredi 6 juillet 2012

Je vous mets au parfum?

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Le matin, c'est la tradition au boulot, les femmes disent bonjour aux hommes en leur faisant la bise. Hors hiérarchie, sauf exception, bien sûr. L'occasion pour chacun de renifler les effluves de l'autre, pour le peu qu'il se donne le temps de se parfumer, ou pas.

Trois cas s'offrent alors à nous: la dame qui s'avance sans parfum. Là, soit elle pue la sueur parce qu'elle a dû courir pour venir bosser, soit elle sent encore le savon ce qui ne déplait pas vraiment. Dans le premier cas, ne pas hésiter à s'entrainer à l'apnée. Dans le second, cracher dessus ne fait pas mousser la personne. J'ai essayé.

D'autant que parfois, la dame se présente aspergée de parfum: soit ça sent très bon, trop bon, et trop tout court, au point qu'au final ça entête et on se rappelle de l'odeur comme un parfum qui pue. Le truc acheté au marché et fabriqué à base de graisse de phoque et de placenta humain. Soit ça pue direct, et on est au parfum. Je sens encore les effluves de cette dame pourtant très chic qui sent particulièrement bizarre. Impossible d'identifier l'odeur mais ça rappelle le vieux meuble bouffé par les termites... Elle dort peut-être dans une armoire? Ou... un cercueil !!!

Enfin, il y a les autres, de tout âge, qui se parfument discrètement. C'est souvent frais et fleuri, et très agréable. La majorité des cas. Au point qu'on peut aussi faire le parallèle avec la gente masculine... il y a celui qui pue le naturel, parfum musqué uniquement dû au fait que ses nombreux poils conservent la moindre goutte de sueur. L'autre qui se parfume trop, et remet en plus une dose de déo « Pouce » parfum sauvage tous les quarts d'heure. Et enfin, moi. Je sens bon. Je me parfume. Discrètement, élégamment. La perfection.


Jusqu'ici, je mets du Hugo Boss. Et vous? Et ces dames, que préfèrent-elles pour un homme?

jeudi 5 juillet 2012

Marée basse

C'est le calme plat sur le net aujourd'hui. C'est Nicolas qui le dit. Rien de spécial à commenter dans mon cas. Je navigue dans mes pensées, avec l'idée de faire d'autres billets au sujet de séries télé. Le net en est envahi mais j'ai toujours mon avis là-dessus. Mais ça demande du temps et... des illustrations. Or, comme je publie majoritairement par mail, je ne sais pas s'il est possible d'insérer des images. Un expert pour me répondre? Et puis, étant sérivore, est-il judicieux d'ouvrir un blog dédié ou dois-je continuer à publier en ces murs, qui cherchent parfois l'inspiration? En fait, le calme d'aujourd'hui est surement dû à tout ça: de quoi causer? Avec qui? Et demain?

Seul l'avenir nous le dira.

mercredi 4 juillet 2012

Sept séries à suivre cet été


Le temps variable nous promet de passer du temps chez soi, aussi je me propose de vous conseiller les sept séries à suivre cet été. Pas de surprise, que des séries du cable, donc une douzaine d'épisodes chacune tout au plus, de quoi aller à la plage tant que possible !

La nouveauté:

Girls – une comédie qui raconte le quotidien de quatre filles, entre soucis de jobs, de mecs et de sexe. Une sorte de Sex & the city version jeune, qui fait sourire. Un peu de fraicheur lorsque toutes les séries se ressemblent. Certaines scènes étant explicites, je vous invite à éloigner vos enfants de la télé quand même.




Les nouvelles saisons:

Episodes (saison 2) – Le retour de Matt LeBlanc dans son propre rôle, au sein d'une comédie qui raconte comment deux scénaristes sont appelés par Hollywood pour adapter une série britannique à succès. Rien ne se passe comme prévu, on rigole bien, c'est décalé, c'est à voir !




Burn Notice (saison 6) – Michael Westen est un ancien espion qui a été viré, et qui essaie de se réhabiliter. Dans cette saison, il tente de stopper un terroriste qui oeuvre comme une taupe au sein du gouvernement. Tout en gérant sa petite amie qui est dans la m..., et en réglant quelques soucis de famille... Toujours du rythme, du soleil, et des scénarios lisses et qui respectent les codes du genre.




True Blood (saison 5) – Les vampires et les humains cohabitent depuis la Révélation, et le bestiaire s'est étoffé de Loups Garous et de sorcières. 
On était restés sur notre faim, trop d'histories parallèles. Mais le show semble repartir sur la ligne droite, et c'est tant mieux !
On pourra donc retrouver cette ambiance de cambrousse américaine, ces personnages eccléctiques et une histoire mystique fait bien plaisir. Une valeur sure, un monde à part.




Falling Skies (saison 2) – C'est du Spielberg. Donc c'est familial. Le cadrage et la réalisation semblent même un peu vieillots. Pourtant, on espère que cette deuxième saison nous développera une intrigue complexe, dans ce show où les aliens prennent possession du monde et obligent les humains à la Résistance. Avec Noah Wyle, le Dr Carter de ER (Urgences).




The Borgias (saison 2) – Une série historique qui, vous l'aurez compris, romance l'existence de la famille Borgia, dont le père fut Pape et qui vécu dans la décadence la plus extrême. Complots politiques, amours incestueux, papauté mafieuse,  tout y est. Ca rappelle les Tudors. C'est avec Jeremy Irons et ce n'est pas la version produite par Canal+. C'est extrêmement bien réalisé, esthétique, passionnant... Nickel.



Wilfred (saison 2) – Le coup de coeur comique de l'an passé est de retour ! Elijah Wood (Lord of the Ring) incarne un avocat au chômage qui se retrouve à garder le chien de sa voisine... et il est le seul à l'entendre parler. D'ailleurs, il le voit comme un humain déguisé en clébard ! On se marre du début à la fin, et on retrouve avec plaisir la deuxième saison de cette comédie à succès !



Sept séries, dont 2 ont déjà été diffusées (Girls et the Borgias) et dont on peut voir les saisons complètes sur les services de VOD, bien sur. Quant aux autres, un épisode à la fois, un par semaine, et hop ! On se fait une idée au bout de trois épisodes, c'est la règle !
C'est mieux que ce qu'on verra à la télé...

Dédicace à M. Poireau. que vous pourrez croiser au prochain KdB.

lundi 2 juillet 2012

On ne demande qu'à en rire #ONDAR

L'autre jour j'ai zappé sur une émission que j'aime bien et qui passait en prime time: On ne demande qu'à en rire. J'apprécie le moment de détente qu'on a avec des sketches inédits et des humoristes frais, énergiques, délirants. J'apprécie les thèmes d'actualité, pour oser rire de tout. J'apprécie la variété des humours.

J'aime moins la volonté de faire des prime time une sorte de comédie musicale qui gâche le plaisir.J'aime moins les commentaires constants du jury, que ce soit dans l'émission de la journée ou l'autre. J'aime moins le jury par lui-même, ce sont toujours les mêmes: habitués, ils ont leurs chouchous et sont subjectifs au possible.

Enfin, je ne supporte plus le système de notes complètement à la ramasse: un humoriste fait un sketch passable, il obtient 15/20. Arrêtons un peu le délire ! Si ça vaut 10, faut mettre 10. Flatter les égo ne les rend pas meilleurs. Parfois le jury se targue d'un 20 ! Pour un 20 il faut rire aux larmes, non?

Rien en m'agace plus que ces notes dignes d'un Eurovision, disproportionnées et complètement farfelues... J'ai aussi mes chouchous dans l'émission, mais quand ils se plantent, ils se plantent. Si c'est mauvais ,c'est mauvais !

Revenons à l'essentiel, et amusons-nous. J'en suis au point où je regarde uniquement les sketches via Facebook, et je passe les notes tellement je m'en fous. Si c'est nul l'artiste dégage. Sinon, il revient. Et on rit.


Fusillade à Lille: soirée de merde et suspect fécal

En fait, voilà quelques jours que je n'ai pas regardé les infos. Ni lu les blogs d'ailleurs. Je me suis contenté de me concentrer sur mon quotidien, et voilà que ce matin j'apprends plein de trucs qui seraient tous dignes d'une brève en ces lignes. Allez hop !

Y'a un malade qui s'est vu refuser l'entrée en boîte à Lille. Il est revenu avec une kalachnikov et a tiré dans le tas. Pourquoi? Parce que c'est un cinglé. Connu des forces de police pour sa violence, il a franchi une limite. On sait qui c'est. Fécal. Ou Fayçal Quelquechose. Pas de faute à un nom propre. Je suis certain qu'il sera retrouvé, là n'est pas le problème. J'attends une décision de la justice. Un fait divers de plus qui prouve bien que ça n'arrive pas qu'à Marseille, sous un gouvernement de droite ou de gauche.... Certains sauront rebondir dessus... mais il faudra trouver un moyen d'empêcher que ce genre de trucs arrive. Qu'est ce qui mène à de telles extrémités, pour un simple refus? Comment prévenir plutôt que guérir? Enfin, les clubs privés ne manquent pas à Lille, pourquoi ce type n'a t-il pas passé son chemin?

Vous me direz, c'est un fait divers de plus. A une époque, un certain Président aurait pondu une loi (ou du moins, il aurait dit qu'il allait le faire), réagissant à l'excitation par l'excitation et au final, sans résultat autre qu'une perte de crédibilité. Aujourd'hui, on réfléchit. Et peut-être qu'on ne fera rien de spécial. Car c'est déjà arrivé avant. Car c'est un fait divers. Car... que peut-on y faire?