#263 - Super Ted - générique par jpschuck
vendredi 30 novembre 2012
Super Ted
#263 - Super Ted - générique par jpschuck
mercredi 28 novembre 2012
Un petit tour dans Arras?
Le Théâtre s'orne de bandeaux et de deux sapins pour l'hiver... |
Au musée - abbaye, trône toujours un carosse design en l'honneur de ceux que Versailles prête pour une exposition |
La place des héros se décore peu à peu |
Le lieu possède vraiment un charme dont on ne se lasse pas ! |
Débat du gobelet: de la rancoeur durable face à un peuple, à travers les générations
Le débat du gobelet aujourd'hui, autour de la machine à café, portait sur la rancœur qu'on éprouve face à un peuple. L'exemple provient d'un collègue qui ne peut pas voir un Allemand en peinture, à cause d'une obscure histoire qu'il y a eu dans sa famille pendant la seconde Guerre mondiale. Même si celui-ci n'a même pas connu la guerre... On essayait de comprendre ce qui pouvait justifier cette haine, et de se mettre à sa place. De la haute psychologie qui nous a amené à des points de comparaison, entre le drame où un Turque, ce n'est qu'un exemple, tuerait un membre de notre famille, en voudrait-on à tous les turcs? Se priverait-on de kébab? L'un d'entre nous relativisait, prétextant une société civilisée: on tuerait son gosse, soi-disant, il ne serait pas pris d'un coup de sang et ne penserait pas à la vengeance. En extrapolant, on discutait du bagne, étant tous contre la peine de mort, mais nuançant face à la barbarie d'un tel traitement... On refaisait un peu le monde. Tout ça, pour comprendre la rancœur qu'éprouve une personne face à la perte d'un être cher qu'autrui lui aurait enlevé. C'est impossible, sauf de l'avoir malheureusement vécu. Compliqué tout ça.
Et tout a commencé, quelquepart, parce qu'on parlait d'une chanson. Les Ricains, de Michel Sardou.
mardi 27 novembre 2012
Le 27 Novembre, ça s'arrose !
lundi 26 novembre 2012
Merci l'UMP
Il FAUT remercier l'UMP de l'eau qu'ils amènent à notre moulin et au renfort de la crédibilité de toute opposition. La petite guerre Fillon-Copé en dit long sur leur carriérisme, au détriment des idées qu'ils souhaitent apporter à la France et aux citoyens du pays. C'est d'une tristesse... Même le Figaro le déplore, c'est dire !
On ne parle que d'eux. Normal puisque la Présidence continue d'appliquer son programme sans surprise si ce n'est d'anecdotiques anicroches (sic!), étincelles dont la presse ferait bien des incendies pour vendre un peu plus de leurs commentaires assoiffés... mais si cette débâcle de l'UMP, qui ne peut aboutir qu'à un nouveau mouvement de droite, n'est qu'un coup de pub, il rappelle surtout qu'on a été dirigé pendant 5 ans par des « élites » qui semblent incompétentes aujourd'hui... Et finalement, l'étaient-ils moins à l'époque?
mercredi 21 novembre 2012
Terrain vague...
mardi 20 novembre 2012
Pour Copé court à toute discussion...
lundi 19 novembre 2012
L'allée des Tilleuls
C'est pas ça ! Il s'agit d'un prolongement menant à une grande ferme :-) |
L'allée des Tilleuls de Givenchy le Noble |
On trouve en son centre un drôle de bâtiment: un château... d'eau ! |
Imaginez la beauté des lieux sous le soleil automnal... et avec des feuilles ! |
mercredi 14 novembre 2012
Citation du jour
St Homer, 1.14.11.
mardi 13 novembre 2012
L'eau de là-haut
Deux types se jettent sur nous ,enthousiastes commerciaux qui ciblent une proie. Ils nous emmènent vers un lavabo double vasque et nous font une démonstration: celle que le savon mousse plus si l'eau est pure, et que le calcaire rend la peau dure. Top, j'étais convaincu. Mais pressé, parce que le parking était payant à l'heure et que ce commercial, mine de rien, ne m'inspirait pas. Trop gentil, trop enthousiaste, trop filou. Donc, alors qu'il propose de passer à côté pour prendre un rendez-vous, et pour étudier mon dossier, je lui réponds que je ne suis pas là pour ça mais pour estimer. Et je lui demande:
« J'ai pas le temps pour ça, donnez-moi plutôt le prix que ça va me couter...
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Pour ça, me répond-t'il, il faut qu'on vienne chez vous, pour faire un devis, ça dépend, si y'a des réglages...
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Bah non, ça dépend pas: vous posez votre truc et vous faites le réglage, y'a bien un prix fixe ou alors, c'est à la tête du client?
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Euh.. oui, oui, euh, non... Euh...
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Allez, donnez-moi une estimation.
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2000 euros. Mais finançable ! Nota: 600 euros plus cher que notre artisan précédent...
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Pfff... ok, merci. Au revoir. »
Non mais il me prend pour un con, lui. Il refuse d'abord de me donner le prix de sa machine, c'est bizarre, non? Et ensuite il me baratine les solutions de financement, et insiste pour venir chez moi, prétextant les prix spéciaux « Salon » (mon cul). Monsieur, je ne me décide pas sur un coup de tête. 2000 euros, non mais !
jeudi 8 novembre 2012
La grosse fraiseuse
Une photo extraite du net |
La fraiseuse en déplacement, depuis ma fenêtre |
mercredi 7 novembre 2012
TVA sociale: à droite, toute !
Se creuser la tête pour autre chose! |
vendredi 2 novembre 2012
La pathologie Dublog
Je n'ai pas laissé tomber ce blog, n'ayez pas peur. Mais de récentes contraintes de temps m'empêchent de m'y consacrer en bonne et due forme, à savoir y publier un billet par jour tout en allant lire ceux des copains. La blogo tourne bien sans moi, c'est certain, je n'en suis qu'une infime partie.
Je survole à peine l'actualité, d'ailleurs. Et qu'y a t-il à commenter, entre polémiques politiques inintéressantes, faits divers et manifestations naturelles qui inondent, au sens propre, nos écrans, alors que dans mon département, l'eau monte aussi mais qu'on l'ignore pratiquement...? Bloguer présente une redondance pouvant amener lassitude, mais dans mon cas, c'est vraiment par manque de temps que je m'éloigne de mon clavier. Mes contacts FB en témoigneront, j'y suis tout autant moins actif.
Je me suis donc laissé fondre dans le paysage, au point de ne plus y être perçu. D'acteur du web, me revoilà observateur. Anonyme, ou presque. Je le déplore. Et j'en suis responsable. Alors je me pose la question de savoir si je dois continuer à bloguer? Une simple veille, aussi longue soit-elle, signifie t'elle la mort d'un blog? La plupart des pauses sont voulues, réfléchies, avec une date butoir, non?
Pendant toute la journée d'hier, au gré de mes activités, j'élaborais déjà plein de billets à publier. J'avais envie. Besoin. Mais voilà, le soir venu, un quart d'heure de libre devant moi, face à mon écran, pouf, plus envie. Des choses à dire mais la flemme de le faire. C'est grave, docteur?