vendredi 30 novembre 2012

Super Ted

Séquence nostalgie, aujourd'hui... à l'approche de Noël, mon esprit vagabonde dans les dessins animés de mon enfance et... je me demande si Falconhill, Gaël, Elooooody ou Hiéléna ont connu ça...
Remember...
1982...

SUPER TED !



#263 - Super Ted - générique par jpschuck

mercredi 28 novembre 2012

Un petit tour dans Arras?

Ce lundi, je suis allé me promener en ville en attendant Marge, et j'ai pu m'apercevoir que les décorations pour le marché de Noël commençaient à être disposée partout en ville...


Le Théâtre s'orne de bandeaux et de deux sapins pour l'hiver...

Au musée - abbaye, trône toujours un carosse design en l'honneur de ceux que Versailles prête pour une exposition

La place des héros se décore peu à peu

Le lieu possède vraiment un charme dont on ne se lasse pas !

Débat du gobelet: de la rancoeur durable face à un peuple, à travers les générations

 

Le débat du gobelet aujourd'hui, autour de la machine à café, portait sur la rancœur qu'on éprouve face à un peuple. L'exemple provient d'un collègue qui ne peut pas voir un Allemand en peinture, à cause d'une obscure histoire qu'il y a eu dans sa famille pendant la seconde Guerre mondiale. Même si celui-ci n'a même pas connu la guerre... On essayait de comprendre ce qui pouvait justifier cette haine, et de se mettre à sa place. De la haute psychologie qui nous a amené à des points de comparaison, entre le drame où un Turque, ce n'est qu'un exemple, tuerait un membre de notre famille, en voudrait-on à tous les turcs? Se priverait-on de kébab? L'un d'entre nous relativisait, prétextant une société civilisée: on tuerait son gosse, soi-disant, il ne serait pas pris d'un coup de sang et ne penserait pas à la vengeance. En extrapolant, on discutait du bagne, étant tous contre la peine de mort, mais nuançant face à la barbarie d'un tel traitement... On refaisait un peu le monde. Tout ça, pour comprendre la rancœur qu'éprouve une personne face à la perte d'un être cher qu'autrui lui aurait enlevé. C'est impossible, sauf de l'avoir malheureusement vécu. Compliqué tout ça.

Et tout a commencé, quelquepart, parce qu'on parlait d'une chanson. Les Ricains, de Michel Sardou.

mardi 27 novembre 2012

Le 27 Novembre, ça s'arrose !

  Journée exceptionnelle aujourd'hui, ne l'oublions pas. En plus d'être le jour du chou-fleur (si si), c'est aussi l'anniversaire de la découverte de Lucy, rappelez-vous, la première femme qui l'a été pendant longtemps, découverte en 1974. Un tas d'os extrêmement important pour l'histoire de notre espèce. Espèce qui s'est développée jusqu'à ce que... mais, oh, je m'éloigne de mon sujet de base, moi !
 
Je disais donc que c'était un jour particulier, entre autre grâce à Lucy, dans le ciel avec des diamants, mais aussi et surtout parce qu'en ce 27 novembre... c'est l'anniversaire de Marge ! Au travers de ce blog, comme traditionnellement, je lui souhaite à nouveau un
JOYEUX ANNIVERSAIRE !
 
(j'allais mettre une photo de Lucy mais quelquechose me dit que Marge l'aurait mal pris...)

lundi 26 novembre 2012

Merci l'UMP

 

Il FAUT remercier l'UMP de l'eau qu'ils amènent à notre moulin et au renfort de la crédibilité de toute opposition. La petite guerre Fillon-Copé en dit long sur leur carriérisme, au détriment des idées qu'ils souhaitent apporter à la France et aux citoyens du pays. C'est d'une tristesse... Même le Figaro le déplore, c'est dire !

On ne parle que d'eux. Normal puisque la Présidence continue d'appliquer son programme sans surprise si ce n'est d'anecdotiques anicroches (sic!), étincelles dont la presse ferait bien des incendies pour vendre un peu plus de leurs commentaires assoiffés... mais si cette débâcle de l'UMP, qui ne peut aboutir qu'à un nouveau mouvement de droite, n'est qu'un coup de pub, il rappelle surtout qu'on a été dirigé pendant 5 ans par des « élites » qui semblent incompétentes aujourd'hui... Et finalement, l'étaient-ils moins à l'époque?

mercredi 21 novembre 2012

Terrain vague...

 L'autre soir en rentrant du boulot, une ombre étrange a attiré mon regard dans mon jardin. Il faut dire que depuis le début de la semaine, la rue adjacente accueille des ouvriers puisque la commune fait installer, dans une parcelle proche, une cuve incendie immense. C'était prévu. Ce qui l'était moins, c'est le passage de la tuyauterie le long de mon terrain, et le dépôt de terre... sur ma parcelle ! Sans oublier, l'horreur, les godets de grue laissés sur ma propriété, planqués derrière les broussailles que je n'avais pas pu élaguer ! Inquiété par le fait qu'ils aient pu, pendant la journée où j'étais absent, rouler à l'endroit où sont enterrés mes drains – et donc les endommager -, j'ai pris ma journée hier pour les rencontrer.
 
Immédiatement, le chauffeur de grue est venu m'expliquer leurs travaux et m'a garanti remettre tout en ordre. De plus il m'a assuré ne pas avoir écrasé mes drains. Mouais. J'ai mentionné le fait que j'aurais souhaité être avisé et qu'on me demande l'autorisation de laisser le matériel tout le week-end sur mon terrain...
 
Finalement on a négocié: il laissera ses machines là mais en contrepartie, il retournera la terre proprement et finira mon débroussaillage. Hier soir encore, une grue a dormi au fond de mon jardin. C'est beau, de trouver un terrain d'entente...

mardi 20 novembre 2012

Pour Copé court à toute discussion...

 Copé a donc remporté les primaires bancales de l'UMP. Un clivage à droite qui, je saurais prédire, risque d'entrainer la création d'un nouveau parti avec à sa tête Fillon, suivi par les 50% de militants qui l'auraient préféré. La droite, comme le dit l'Hérétique, ne risque pas de trouver sa voix. Sans ajouter au fait que leurs élections ont été une véritable catastrophe qui laissera planer le doute sur la légitimité de l'aboyeur qui a finalement été élu...
Moi, ce que j'en pense, hein...

lundi 19 novembre 2012

L'allée des Tilleuls

Pour vous faire patienter jusqu'à mon retour au blogage "normal", avec ses liens et tout ça, je voulais vous faire découvrir un joli coin de chez moi: l'allée des Tilleuls. Comme son nom l'indique, il s'agit d'une allée de près d'un kilomètre, bordée d'immenses tilleuls, qui doit être magnifique arborée des couleurs de l'automne. Hélas, je n'ai pu m'y rendre que dimanche, au détour d'un trajet, et les feuilles étaient déjà tombées. Néanmoins, je vous livre quelques photos...

C'est pas ça ! Il s'agit d'un prolongement menant à une grande ferme :-) 
L'allée des Tilleuls de Givenchy le Noble 

On trouve en son centre un drôle de bâtiment: un château... d'eau ! 

Imaginez la beauté des lieux sous le soleil automnal... et avec des feuilles !

mercredi 14 novembre 2012

Citation du jour

"Dans la vie c'est bien simple, il y a les requins, et les petits poissons. C'est la loi de la jungle. Et dans la jungle, un requin, ça fait pas long feu."

St Homer, 1.14.11.

mardi 13 novembre 2012

L'eau de là-haut

Samedi, Marge et moi sommes allés au salon de l'habitat à Lille. L'endroit est immense et se compose de stands, rassemblés plus ou moins par thèmes, dans lesquels des commerciaux font le tapin pour attirer le client et vendre leur produit. Nous y étions plus par curiosité qu'autre chose, mais on s'est intéressé particulièrement aux adoucisseurs d'eau, celle-ci était fort dure dans notre campagne. Un artisan nous a expliqué le principe et donné une fourchette de prix, sachant qu'il n'interviendrait pas si loin du siège de son entreprise, j'étais sur qu'il était de bonne foi. Du coup, c'est armé d'infos intéressantes que j'arrivais près du stand de Culligan, grosse boite spécialisée dans les adoucisseurs. Là...

Deux types se jettent sur nous ,enthousiastes commerciaux qui ciblent une proie. Ils nous emmènent vers un lavabo double vasque et nous font une démonstration: celle que le savon mousse plus si l'eau est pure, et que le calcaire rend la peau dure. Top, j'étais convaincu. Mais pressé, parce que le parking était payant à l'heure et que ce commercial, mine de rien, ne m'inspirait pas. Trop gentil, trop enthousiaste, trop filou. Donc, alors qu'il propose de passer à côté pour prendre un rendez-vous, et pour étudier mon dossier, je lui réponds que je ne suis pas là pour ça mais pour estimer. Et je lui demande:

« J'ai pas le temps pour ça, donnez-moi plutôt le prix que ça va me couter...

  • Pour ça, me répond-t'il, il faut qu'on vienne chez vous, pour faire un devis, ça dépend, si y'a des réglages...

  • Bah non, ça dépend pas: vous posez votre truc et vous faites le réglage, y'a bien un prix fixe ou alors, c'est à la tête du client?

  • Euh.. oui, oui, euh, non... Euh...

  • Allez, donnez-moi une estimation.

  • 2000 euros. Mais finançable ! Nota: 600 euros plus cher que notre artisan précédent...

  • Pfff... ok, merci. Au revoir. »

Non mais il me prend pour un con, lui. Il refuse d'abord de me donner le prix de sa machine, c'est bizarre, non? Et ensuite il me baratine les solutions de financement, et insiste pour venir chez moi, prétextant les prix spéciaux « Salon » (mon cul). Monsieur, je ne me décide pas sur un coup de tête. 2000 euros, non mais !

jeudi 8 novembre 2012

La grosse fraiseuse

Une photo extraite du net
Le truc m'a passionné pendant la moitié de la journée (pendant mes pauses, s'entend): ils ont entamé la réfection d'une portion de route devant mon boulot. Alors qu'au matin tout était calme, sont arrivés d'immenses engins dont la fraiseuse de route, qui comporte un bras immense bien utile: la machine marche comme une grosse décapeuse thermique, et gratte ensuite la route pour la "racler" en profondeur, et la réduire en poussière qu'elle expulse via le bras, dans un camion benne. Ce truc, puissant, est magique. Ça m'a hypnotisé...
La fraiseuse en déplacement, depuis ma fenêtre

mercredi 7 novembre 2012

TVA sociale: à droite, toute !

Se creuser la tête pour autre chose!
Si on a pu voir dernièrement un soutien modéré face aux bidouillages de la gauche au pouvoir, que chacun des électeurs socialistes affirmés se défende des choix qu'il a fait, moi, j'admets que pour le coup, le gouvernement me déçoit: cette gauche n'est pas ma gauche !
Voilà que le projet le plus haï des dernières années du mandat sarkozyste est renégocié, et que là encore, les patrons ont le dernier mot au détriment des salariés et des gens sans emploi, qui, de plus en plus nombreux, devront encore payer plus cher leurs achats divers et variés ! La TVA sociale est de retour et bordel, c'est la gauche, qui s'y opposait, qui la met en place !
Avec un coup comme ça, les travailleurs pauvres, les pauvres sans travail et une grosse partie de la classe moyenne va se demander si les promesses de campagne, portant sur le pouvoir d'achat, seront respectées. Car de toute façon la règle est simple: sans travail, pas d'argent. Sans argent, pas d'achat. Sans achat, pas de commandes. Sans commandes, pas de travail. TVA ou pas. 
La compétitivité, car c'est le coeur du sujet, n'a pas été abordée sous le bon angle. Le vrai problème, c'est qu'on nous annonce créer une Europe unie et sous un même drapeau, mais qu'au sein même de cette union, s'appliquent des règles différentes qui sont à l'origine de cet effondrement. 
Je reste de gauche. Je l'affirme. Mais à force de décevoir, je lèverai mes réserves et pencherai encore un peu plus vers les extrêmes. Alors je reste réaliste: Rome ne s'est pas faite en un jour, mais lorsqu'à mi-mandat, il faudra faire un premier bilan, sachez qu'il faudra être intransigeant et ne pas oublier ce coup bas. Comme nous n'avons rien oublié de l'ère Sarko.

Un électeur frustré de la classe moyenne du bas.

vendredi 2 novembre 2012

La pathologie Dublog

 Je n'ai pas laissé tomber ce blog, n'ayez pas peur. Mais de récentes contraintes de temps m'empêchent de m'y consacrer en bonne et due forme, à savoir y publier un billet par jour tout en allant lire ceux des copains. La blogo tourne bien sans moi, c'est certain, je n'en suis qu'une infime partie.

Je survole à peine l'actualité, d'ailleurs. Et qu'y a t-il à commenter, entre polémiques politiques inintéressantes, faits divers et manifestations naturelles qui inondent, au sens propre, nos écrans, alors que dans mon département, l'eau monte aussi mais qu'on l'ignore pratiquement...? Bloguer présente une redondance pouvant amener lassitude, mais dans mon cas, c'est vraiment par manque de temps que je m'éloigne de mon clavier. Mes contacts FB en témoigneront, j'y suis tout autant moins actif.

Je me suis donc laissé fondre dans le paysage, au point de ne plus y être perçu. D'acteur du web, me revoilà observateur. Anonyme, ou presque. Je le déplore. Et j'en suis responsable. Alors je me pose la question de savoir si je dois continuer à bloguer? Une simple veille, aussi longue soit-elle, signifie t'elle la mort d'un blog? La plupart des pauses sont voulues, réfléchies, avec une date butoir, non?

Pendant toute la journée d'hier, au gré de mes activités, j'élaborais déjà plein de billets à publier. J'avais envie. Besoin. Mais voilà, le soir venu, un quart d'heure de libre devant moi, face à mon écran, pouf, plus envie. Des choses à dire mais la flemme de le faire. C'est grave, docteur?