jeudi 23 décembre 2010

Trêve des confiseurs


Pour moi, c'est l'heure de la trêve des confiseurs... Je la débute un peu tôt, c'est vrai, mais j'ai vraiment besoin de repos. Je délaisse les blogs depuis un moment déjà, je suis moins assidu, et à l'instar de Yann, je prends quelques jours de recul et tant pis pour les classements de blogs et autres bêtises. Plus de télé, plus de radio, ni de journaux.

Noël et Nouvel an, cette année, auront un goût particulier: le premier sera passé en famille, le second en amoureux. Histoire d'aborder 2011 sous les meilleures auspices, mettre les choses à plat, car l'année prochaine sera très prenante, mais pour la bonne cause. Tout est en place, y'a plus qu'à.

Alors, amis lecteurs, je vous souhaite sincèrement de bonnes et heureuses fêtes de fin d'année. Ce blog s'arrête là pour 2010, mais je serai de retour dès janvier pour de nouvelles aventures, anecdotes, récits et autres billets variés et avariés. A l'année prochaine !

Joyeux Noël et Bonnes Fêtes à toutes et à tous !

Et je n'oublie pas les quelques liens qui font du bien aux copains:

Ça ne coute rien.

Du petit monde de Gildan
La Maison du Faucon
Carnet de notes de Yann Savidan
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Je n'ai rien à dire ! et alors ??
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mardi 21 décembre 2010

Camelot et la légende d'Arthur

C'est en zappant hier soir à la télé que je suis tombé sur Kaamelott, vous savez, la série d'Alexandre Astier. Outre le fait que je la trouve drôle et bien construite, j'ai toujours été attiré par ce qui est du mythe Arthurien. La légende des Chevaliers de la Table ronde, du Graal et d'Excalibur... une histoire d'honneur et de vertu, de courtoisie et de quête miraculeuse... Bref, un truc qui fait rêver. Et même si l'histoire et la légende doivent être distingués, j'aime à penser que la romance faisait partie intégrante des aventures d'Arthur et de ses Chevaliers. Car ils ont existé.

La lire en vieux français est franchement galère, les écrits de Chrétien de Troyes sont surement très beaux pour l'époque, mais je dois avouer que ça fait mal aux yeux. Alors je les décrypte en attendant de trouver une version modernisée, je dévore avec plaisir les différentes interprétations du mythe sur la toile, et me créer la mienne; je regarde séries, films et autres adaptations libres de la légende Bretonne. J'aime cette époque, que l'on situe à tort au Moyen-Age, j'aime ce mystère qui entoure le personnage d'Arthur, j'aime ces aventures fantastiques des premiers Croisés, à l'aube de la Chrétienté, j'aime à croire en Avalon, j'aime à rêver au retour mythique du Roi de Bretagne que unifiera les peuples. Parce que ce n'est qu'un rêve, non? Mais qu'il est bon de rêver à ces temps mémoriaux où l'honneur, la vérité et le courage guidaient les hommes...

dimanche 19 décembre 2010

Les amis de Lille

Tonton Alesque, Boubou, Mumule, Jenny, Flo, Claire, Liam, Yoan, Idem, Dudu, Jef... et les autres. Ce sont eux, les amis de Lille. Des gens que je connais depuis plus de dix ans, des potes que je revoie toujours avec plaisir, des camarades avec qui j'ai passé d'excellents moments. Des amis qui, à chaque fois, me font me sentir fier de les connaitre et qui me font regretter de ne pas faire plus d'effort pour partager des moments avec eux. Quand certains vont au ski, quand d'autres déménagent, quand d'autres encore changent de métier... je ne le sais pas toujours. Je ne suis pas partie intégrante de l'équipe, parce que je ne suis pas moi-même un ami de Lille. J'habite un peu plus loin, je leur consacre trop peu de temps et je les découvre encore aujourd'hui. Les gens changent, s'éloignent, se retrouvent. Je suis à blâmer: un coup de fil ou un mail, ça ne coute rien. L'amitié ça s'entretient. Je ne sais pas s'ils liront ce billet, mais je voulais leur dire à tous que je tiens à eux. Je les aime comme une famille.
Ce sont mes amis.

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samedi 18 décembre 2010

Neige et lumière

Monument canadien de Vimy
Bois de Vimy



Je rentre tout juste du son et lumière organisé pour l'inauguration de la nouvelle place des héros: le voir d'au-dessus, aux infos régionales France 3 Nord-Pas de Calais - (pour ceux qui en ont la chance, pour les autres: ici) - sera spectaculaiiiiiiiiire !

Wikio

mercredi 15 décembre 2010

A la Sainte Ninon

Ninon n'a pas le moral aujourd'hui. Il faut dire que sa rupture avec Cathy, l'ex de Robert, le policier, l'a profondément affectée. Celle-ci s'est révélée être un homme, ancien détenu, qui préparait un casse dans le quartier du Mistral. Robert lui-même ne s'en doutait pas. Il tenta de se suicider en avalant du maroilles, sans succès, et ce, fort heureusement, car il rencontra Debiah, l'infirmière sourde qui tombera enceinte de lui, par insémination artificielle car ne voulant plus procréer de façon naturelle après s'être prostituée si longtemps pour un dealer russe de 16 ans, Dimitri. Elle faisait le tapin de Noël. Dimitri qui ressurgit dans sa vie, d'ailleurs, accompagné de deux africaines qui lui servent d'esclaves sexuelles en cette trouble période où les ordures ne sont plus ramassées à Marseille. Nul doute que Serge, le policier, saura l'empêcher de faire du mal à Debiah, mais cela dépendra surement du rapport de force qui oppose le policier à Robert. En effet, un lourd secret pèse entre eux: lors d'un safari à Bruxelles, Robert a contracté une maladie terrible, un virus qui ne lui laisse que peu de temps à vivre sauf s'il s'amourache d'un homme, policier et qu'il suit un traitement à base de sperme de singe. Ils ignorent que Rudy, qui n'a l'air de rien malgré ses apparences de gigolo bas de gamme, est au courant du secret mais qu'il fait chanter Serge pour éviter qu'on le surprenne en train de télécharger illégalement les films récents au cinéma, via internet.

Cela erre dans les pensées de Ninon, car Rudy est son frère, et elle a dû s'adonner à des jeux sexuels étranges avec lui, ne sachant pas que cet enfant élevé par sa propre mère n'était pas adopté. Sa mère, Véronique, lui aura caché jusqu'à sa mort, fauchée par une automobile dans le quartier, conduite par l'infâme Monsieur Chamel, un abbé qui n'a rien d'un pasteur. Ancien agent immobilier, il fait partie d'une mafia véreuse qui veut prendre possession des commerces du Mistral. Gorgio, le tenancier de la friperie juive du coin, n'a rien à voir là-dedans.

A tout cela s'ajoute un gros doute: Ninon se pose des questions sur sa propre sexualité. Amoureuse de Cathy, qui était un homme, elle pensait être lesbienne mais en fait, ne l'était pas. Et les récentes avances faites par son patron, qui n'est autre que le frère de sa mère par alliance avec sa cousine Maud, la sœur de l'ex-beau frère de Jacques, cousin direct de l'abbé Chamel, oncle de Gorgio, qui n'a rien à voir là-dedans. Elle hésite: accepter lui permettrait de rembourser ses dettes de jeu. Surtout depuis que Maud l'a menacé d'un fusil de chasse, pensant qu'elle tentait de faire capoter le mariage blanc de son gendre avec une chinoise. Un peu à l'écart de sa famille, depuis l'événement, elle accuse le coup en dormant chaque soir dans un foyer. Mais ses sentiments pour Amélie, la serveuse du bistro du coin, à côté de la friperie, la perturbe. Elle a peur de s'attacher à elle par pitié, juste pour l'aider à assumer ses problèmes avec l'alcool. Alcool qui est d'ailleurs fourni par Dimitri.

Ninon n'a pas le moral aujourd'hui, non. Depuis qu'elle habite dans le quartier du Mistral, ça craint. Plus belle la vie, qu'ils disaient.


Sinon, y'a du bon à lire, tous les jours, chez les copains:
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mardi 14 décembre 2010

Free: J'ai tout compris

La Freebox V6, dite Révolution, est officiellement annoncée aujourd'hui pour une commercialisation début d'année. C'est une bête de courses, aux caractéristiques impressionnantes. Surement la meilleure Box du marché, un concentré de technologie à 29,99€ par mois, sans compter la taxe Sarkozy sur les FAI et le financement mensuel des couts du dégroupage total à venir. Mais c'est aussi le premier modèle de la série V6, donc avec son nombre de bugs à venir et à corriger, des plantades aux mauvais moment qui énerveront l'utilisateur et qui le priveront d'internet pendant quelques heures, au mieux.

Alors moi, Homer, fidèle de Free, j'ai décidé d'attendre que d'autres lascars se lancent avec cet engin, râlent, pestent et hurlent contre les bugs précités, avant de demander à mon FAI d'acquérir ce petit bijou. Comme ça, j'aurais une version 6.2 qui sera corrigée, améliorée, stabilisée. La patience est une vertu. Mais pinaise, elle a l'air trop cool cette Freebox !!



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lundi 13 décembre 2010

Footeux du dimanche, un samedi.

Je me suis mis minable à ce tournoi de foot. Vraiment minable. Le truc, c'était l'excitation de jouer dans le Dôme du centre d'entrainement du RC Lens. J'étais vraiment prêt. J'avais envie, même si je savais qu'après des années de retraite sportive, le plus dur serait de trouver le rythme. Je n'ai pas tardé à être ridicule.

Dans un tournoi où les matches s'enchainent toutes les 10 minutes, j'entrais en jeu à froid pour soutenir mon équipe en difficulté. On ne perdait pas, mais il fallait apporter du sang neuf. J'entrais, je faisais un grigri, une magnifique talonnade qui décalait mon coéquipier qui chutait, et transmettait le ballon à notre avant-centre et... Buuuut ! Il n'aura pas fallu longtemps pour que mon talent soit à l'action. Ce moment de gloire fut éphémère: une minute plus tard, à la poursuite d'un ballon que je venais de perdre et qui s'en allait gentiment en touche, mon corps devint soudain très lourd et je tombais, tout seul comme une pauvre patate, en avant. Sur un terrain synthétique, la chute en avant, sur les genoux, c'est fatal.

Je me suis niqué les genoux. Brûlé. Et ça fait mal. Deux grosses pizzas se dessinaient sur mes jambes, sanglantes, et je m'écrasais sous les brimades de mes camarades. Je venais de finir mon tournoi, à peine commencé. Je serais aussi, pour l'anecdote, le seul à voir la Croix Rouge pour désinfecter. Je me suis mis minable, je vous dis.


A part ça, je suis resté dans le froid, profitant de ma présence obligée pour faire un photo-vidéo-reportage. Bien m'en a pris puisque mon équipe marqua le plus beau but du tournoi, une reprise de volée acrobatique qui ferait pâlir Amara Simba. Nous avons néanmoins dû nous incliner parfois, et nous nous sommes classés dans le milieu de tableau final. C'était une belle après-midi, bien organisée et dans un bon esprit. Je repars avec de bons souvenirs et deux genoux qui me rappelleront ce tournoi pendant une bonne dizaine de jours.

Aïe.

vendredi 10 décembre 2010

Nescapote...

Alors qu'il neigeait à Paris, il faisait beau dans le Nord, et c'est tant pis puisque j'étais enfermé au boulot au lieu d'être au KdB organisé en l'honneur de l'absence de deux blogueurs extraordinaires.

Ce n'est que partie remise, et on ramènera le soleil.

Comme c'est vendredi, on va essayer d'être léger. C'est pas avec les soucis de début de semaine qu'on va entamer le week-end, quand même ! Je vais donc vous inviter à regarder cette petite vidéo, qui ne dure qu'une minute et demi mais qui va vous faire sourire.


Après, je fais un break pour le week-end... avec une visite prévue au marché de Noël, un rattrapage de séries US et un tournoi de sixte à La Gaillette, sous le dôme. Savez ce que c'est, la Gaillette? C'est le centre d'entrainement du RC Lens! Alors si vous croisez un gars qui se plaint du froid et d'avoir mal aux jambes, bah, c'est moi...



Wikio

mercredi 8 décembre 2010

Faut-il rétablir le Service National?

Romain tague tout le monde et s'interroge s'il ne faudrait pas réinstaurer le service national. J'apporte mon humble contribution à ce débat. Humble, en effet: je n'ai pas fait mon service militaire, ni même les trois jours d'appel à la défense. Je suis de la génération d'après, celle qui allait passer une journée en caserne pour un test de détection. Du coup, j'ai une vision simpliste de ce que c'était avant: je reste persuadé que le service national apprenait le respect aux jeunes, cadrait et donnait des limites à ceux qui en manquaient... et que son absence, en plus de démobiliser les forces militaires du pays, est une explication partielle du syndrome de la jeunesse délinquante.

Au lieu de ça, tous les mercredis, j'observe de chez moi le passage de jeunes, hommes et femmes, dans le bâtiment d'en face, où les attendent militaires de carrière qui leur feront un laïus basique sur les forces armées, avant de passer un test de français minable au cours duquel, stéréotype oblige, ils proposeront d'enrôler les analphabètes et jeunes en difficulté. Voilà comment ça se passe.

Terminé, les formations, les virées entre troufions et l'apprentissage à la dure. Dans une société où tout est considéré comme acquis, les jeunes manquent de limites et je pense que l'armée recadrait en son temps. Désormais, c'est pile ou face: soit l'éducation parentale suffit, soit c'est la bérezina. Cependant, je n'ai jamais aimé avoir une vision de l'armée comme machine de guerre. Alors, à la question de Romain, je répondrais « oui », mais comme une école de la vie.


mardi 7 décembre 2010

Le voisin - un caractère de chien !

Alors qu'il déménage dans trois semaines, j'imagine qu'il a longtemps réfléchi à la meilleure manière de me nuire avant de partir. Histoire de laisser un souvenir impérissable. Alors, comme on habite en appartement, sans cour ni jardin dans son cas, sur 35m² d'espace cloisonné: il a acheté un chien!

Un bébé labrador, ou un truc comme ça. Tout mignon, mais peu adapté en appartement. Soit ce chien est la cause de son déménagement en maison, soit c'est la maison qui est l'opportunité d'achat de ce clébard. Quoiqu'il en soit, l'animal reste dans l'appartement la plupart du temps, le temps de son éducation j'imagine.

Mais quand tu as un chien, tu as des responsabilités, autant vis à vis de l'animal que vis à vis du voisinage. Quand tu pars travailler, tu fais en sorte qu'il n'embête personne. Relativisons, dans la journée, ce n'est pas gênant d'entendre un petit chien aboyer. Surtout qu'on travaille nous aussi alors ce n'est pas « tout le temps ». Mais quand tu quittes ton appartement pour passer la nuit chez ta copine: tu emmènes le chien sinon...

CE CON A ABOYE TOUTE LA NUIT !

De 23h à ce matin, 7h, non stop ! A 4h, Marge étant réveillée, je tapais au mur pour un sursis de courte durée, bientôt imité par les voisines du dessus qui tapèrent du pied pour faire taire la bête... en vain.

Du coup, ce matin, tout l'immeuble avait la tête dans le cul – ce qui requiert une certaine souplesse - et était de mauvais poil. Évidemment, étant absent, ce cher voisin ne peut savoir que son si mignon petit animal est en fait un loup féroce. Je vais peut-être aller lui en parler. Je vais encore passer pour le gros râleur...

La Réforme de l'Assurance Maladie – Projection en cinq étapes

Le projet est simple à suivre, si vous le permettez:

Première étape: on dérembourse un max de médicaments. Soi-disant pour responsabiliser les gens, on passe à 25% les médocs remboursée 30%, pour faire quelques 330 Millions d'économies en 2011. Comme ça, ceux qui n'ont pas de mutuelle en ont pour leur poche. Je parle de la classe moyenne inférieure, celle qui va en payer les conséquences.

Deuxième étape: les mutuelles voient affluer la clientèle et, après tout, en profitent pour augmenter les tarifs. Il va falloir rembourser ceux qui utilisaient ces médicaments, le coût de l'un impacte le coût de l'autre. C'est la classe moyenne qui va voir ses cotisations augmenter, pour la répartition, vous voyez?

Troisième étape: Le futur. On insiste grossièrement sur les autres dépenses médicamenteuses, on étend ça aux soins médicaux et hospitaliers. On américanise tout, c'est normal. La santé ça coute cher. L'Etat Providence, la création de la Sécu en 1945, c'est désuet tout ça, il faut oublier. Les gens n'ont qu'à payer pour se soigner. Ceux qui en ont les moyens, du moins. Pas forcément la classe moyenne. Qu'importe.

Quatrième étape: Bienvenue aux USA, où la santé est privatisée à donf, où tu crèves dans les hôpitaux avant qu'un médecin aie pu te voir et où l'on refuse de te soigner si tu n'as pas d'assurance. La CPAM? Un lointain souvenir.

Cinquième étape: Pour renflouer les caisses de l'Etat, on invente un nouveau virus de la grippe, un truc bien pandémique comme il faut. Les gens paieront pour se soigner, dix fois ce que ça coute à produire. Et hop, dans les caisses de l'Etat et des lobbies mutualistes. Pas besoin de renflouer le trou de la Sécu, il n'y a plus de Sécu.


Tout ça n'est que fiction, bien sur. Ou pas. N'empêche qu'on ne s'y prendrait pas autrement pour détruire le plus bel acquis social jamais créé en France. L'Assurance Maladie, un droit pour tous?

Wikio

lundi 6 décembre 2010

Le Follow Friday est-il vraiment utile?

Le Follow Friday est une petite tradition sur Twitter, qui consiste à promouvoir ceux que vous suivez et avec qui vous échangez régulièrement. L'objectif est de partager leurs twitts et d'augmenter leur influence par leur nombre d'abonnés. Cette tradition est ainsi reprise un peu partout dans le monde. Mais quid de l'interêt du #FF? Personnellement, j'utilise très rarement cette journée pour ajouter des comptes à ma liste d'abonnement. En général, je suis ceux que je connais, et ceux qui me suivent. J'ajoute ceux que je découvre par le biais de leurs blogs, ou d'échanges marrants sur lesquels je tombe lors de mes rares connections sur le machin. Finalement, le #FF me sers peu, voire pas. Il est pourtant de notoriété de polluer les twitts du vendredi en ajoutant du monde à suivre...

Il existe aussi le site Followfriday.com. Le truc recense le nombre de fois où vous êtes cités dans un twitt #FF. Il établit ensuite un classement, à base de points. Ça ne sert à rien. Donc il faut s'y intéresser de plus près. Alors je compare le chiffre annoncé: 196 Follow Friday, avec le nombre de fois où mon pseudo apparaît dans la colonne «Replies » le vendredi: 14 fois. Y'aurait-il un bug dans le bouzin?

A part ça, je rappelle qu'il faut régulièrement faire un tri dans Twitter, supprimer les abonnés qui ne vous suivent pas, ceux qui manquent d'intérêt et filtrer les robots qui spamment à tout va... Twitter, c'est un joli jouet pour échanger et apprendre plein de trucs, et/mais c'est désormais mis à jour en quasi-temps réel: trop d'info tue l'info, soyons raisonnables !


vendredi 3 décembre 2010

Un classement, des liens et que du bonheur...


Alors que fleurissent partout des classements exclusifs qui n'ont d'exclusif que le nom puisqu'on les trouve partout, je serais bête de ne pas prendre le relais et communiquer ma place parmi l'élite au Wikio: j'ai gagné deux places au multithématique, et comme dirait l'autre "ça s'arrose!". Voici donc ce qu'on retrouve un peu partout, le top 20 par catégories, la mienne:


1

Virginie B

2

Topito

3

La Maison du Faucon

4

Le blog de Guy Birenbaum

5

De tout et de rien, surtout de rien d’ailleurs

6

Partageons nos agapes

7

Libelul

8

Au comptoir de la Comète

9

ChosesVues

10

Croque madame

11

Le blog de Nicolas Bordas

12

ElectronLibre

13

Chroniques d’une Chocoladdict

14

Saint-Pierre-des-Corps, c’est où ça

15

blogdujournaldechrys

16

BorisSchapira.com

17

Zeutch

18

Suchablog

19

La Boite Verte

20

Chez Homer





Classement réalisé par Wikio

Me revoilà dans le haut du classement, comme si je ne voulais plus en sortir, et pourtant je reste sceptique: le nouvel algoritheme qui prend en compte les twitts me laisse perplexe. Certains excellents blogueurs n'utilisent pas Twitter. C'est discriminatoire, non? Moi-même, j'y passe peu de temps. Bof bof. Au final, je dois ma place à ces liens, ceux des copains, qui ne se démontent pas et pensent à moi. C'est cool, les liens, ça crée des liens !

Alors je remercie:

Le carnet de notes de Yann Savidan, mon mentor pour les billets courts et percutants

La Maison du Faucon, le copaing du Sud nostalgique, et supporter de l'OM (on ne peut pas être parfait)

Au comptoir de la Comète, le bistro-blog de l'ami Nicolas, déjà au top

Partageons nos agapes, du même Nicolas

Le coucou de Claviers, spécialiste des rébus où je suis une grosse quiche

Je n'ai rien à dire ! et alors?, où il y a tout à dire en politique !

Chez El Camino, le blog rock'n roll

Du petit monde de Gildan, un monde où je vivrais bien, tiens.

Le Blog de Darcy, blogueur éclairé

Partageons mon avis, le grand Patron

A perdre la raison, dont les billets sont toujours très à propos.

Une Autre Vie, l'exilé d'min coin !

Philippe Méoule, horizon 2012 au rythme de l'actualité

Raaahaa, dont les saines colères nous font relativiser

Lyonnitude, du copain romain, élu lyonnais qui aime sa ville

De tout, de rien... surtout de rien d'ailleurs, de Gaël, l'écureuil qui blogue !

Les coulisses de Sarkofrance qu'on ne présente plus

Chroniques d'une Chocoladdict, un blog fondant à croquer !

Saint-Pierre-des-Corps, c'est où ça? un bazar comme chez moi

Les privilégiés parlent aux Français, où le point de vue d'un prof que je partage bien souvent

100 000 V, de Val le Nain, le fracassant

Monsieur Poireau, qui nous observe du côté belge

Les Peuples du Soleil... qui n'a toujours pas trouvé le chemin des Cités d'Or, tiens !

Trublyonne voit la vie en rouge et nous le fait savoir

A toi l'honneur, ou Corto râle souvent avec raison: j'aime bien, il s'emporte, mais ça soulage même le lecteur !

Engagée, qui parle de tout avec conviction

BlogExperience où SeeMee nous montre son point de vue sur la société, ce qui fait l'actu, un peu comme ici.

Traqueur Stellaire, spécialiste du futur proche de notre présent. Vive la SF !

Buzzz marketing, un lien au moment du classement

Mon Mulhouse, les Photos Montages, qui commence à se faire une sérieuse réputation, le bougre !

Le Solitaire de la Lune, plein d'idées, de billets légers mais qui impactent

Un boulet chez les geeks, pour apprendre des trucs indispensables pour faire tourner le blog. Si.

Creapage qui ne me lie que lors du classement aussi, tiens.

jeudi 2 décembre 2010

Ségo la torpille


Bon, j'avoue ne pas avoir tout suivi, mais dans les grandes lignes, j'ai compris qu'elle torpillait l'alliance fraternelle Aubry DSK en annonçant par avance sa candidature aux primaires du PS. Alors qu'on commençait à croire en un Parti socialise uni qui n'avait plus qu'à trouver un programme et un candidat, que celui-ci semblait retrouver une unité face au Sarkozysme, Ségolène arrive, lance son scud, prend sa place au dépourvu des autres têtes d'affiche, et plombe complètement l'ambiance. Pour un mal, pour un bien? Les déclarations parfois bancales de la candidate de 2007 jouent contre elle, elle a perdu pas mal de plumes dans la bataille électorale et sa crédibilité en a pris un coup. A moins qu'elle ne soit une espionne à la charge de l'UMP, une infiltrée? Sans aller jusque là, son comportement, vis à vis de l'image publique qu'essaie de donner le PS , est maladroit. Je me demande si le parti peut risquer de passer pour des branquignoles à 1 an et demi des Présidentielles...? C'est qui son chargé de comm?



Wikio

Qu'importe le flocon, pourvu qu'on aie l'ivresse

La neige tombe. Du moins, c'est tout ce dont on parle aux infos. Comme si c'était la première fois, l'actualité couvre les intempéries et met le voile sur ce qui se passe derrière les portes fermées. Il neige, c'est la catastrophe. Il fait chaud, ça l'est aussi. Au point qu'on en oublie ses soucis. Ou presque. Car même si c'est la galère, ce n'est pas le premier épisode neigeux qu'on connait, il y en a tous les ans et tous les ans c'est la même rengaine. Ils devraient se contenter de passer les reportages de l'hiver dernier en boucle.

Après, je plains quand même les gens bloqués, les gens qui n'ont plus de chauffage, et bien pire, ceux qui dorment dans la rue. Qui crèvent de froid. On devrait plutôt faire des reportages sur eux, tiens. La pauvreté, en 2010, ça existe encore. Il ne faut pas l'oublier.


Wikio

mardi 30 novembre 2010

Manu, wikio et moi

Sinon, y'a @eManu qui décroche de Wikio... Elle en a marre de cette pseudo-compétition qui ne lui apporte que peu de visites, et ne reflète selon elle rien de la réalité de la blogosphère. Ni de sa qualité, d'ailleurs. Je la rejoins sur plusieurs points, mais je me demande si quitter le wikio, dans mon cas, ce n'est pas me mettre en marge, m'isoler et me faire oublier. Je ne culmine pas à des sommets de visites journalières, je twitte trop peu par manque de temps: autant l'algorithme Wikio me pénalise, autant il m'est nécessaire. Va comprendre. Alors que chaque mois je descend un peu plus dans les limbes du classement, je m'interroge sur la nécessité, transversale, de continuer à bloguer. On aura beau dire, tout blogueur garde un œil sur son compteur de visites.

Putain, je suis coincé entre wikio et la liberté de disparaître.



Wikio

Les voisins - il s'en va !

Je l'avais rêvé. Non, vraiment. Il y a deux nuits, je me souviens, une scène où il était là, ouvrant la porte du hall et déménageant loin d'ici. Mon voisin nous quittait dans ce rêve magique, qui semblait si réel...

Et hier, en fin d'après-midi, j'entendais ma proprio qui faisait visiter son appartement, annonçant assez fort pour que je l'entende qu'il partait pour le début d'année. Une parole incroyable, qui fit jaillir en moi un sentiment contrasté... D'abord, la joie d'apprendre qu'il se barrait enfin. Pour de vrai, comme dans mon rêve prémonitoire! Fini les nuits blanches, les étranges sensations et les cris de jouissance ailleurs que dans mon plumard. Fini les soirées à râler contre lui, fini les billets sur ce blog pour vous raconter tout ça. Soulagement. Joie. Et pourtant, frustration.

Frustration de ne plus pouvoir se moquer de lui en ces lignes, en croisant les doigts pour avoir de nouveaux voisins moins chiants mais aussi inspirants. Frustration aussi parce qu'il quitte l'immeuble avant moi. Alors que je devrais encore patienter au moins un an, il aurait « acheté une maison mais s'il n'y arrive pas, il retournera chez sa maman », d'après la proprio.

Bah oui, mon voisin, il croit qu'acheter une maison, c'est comme acheter une baguette: il suffit d'aller au magasin. Connaissant le gaillard, il aura été chez le notaire ou dans une agence, pris une maison de résidence près d'une cité arrageoise pour continuer ses tags en ville à un prix qui ne reflète que la moitié du prix des travaux qu'il faudra y faire, et prié pour que sa femme, qui travaille, gagne suffisamment d'argent pour lui permettre d'acquérir ce bien. Il doit aussi se tromper sur les délais nécessaires à l'acquisition. Et sur le fait que le banquier regardera aussi ses propres revenus, qui se limitent à... pas grand chose de plus que ce que lui donne sa môman. A moins qu'il n'aie un CDD (qui le fasse commencer à 10h du mat et finir à 16 avec 2 heures de pause déjeuner?)! Bref, le fait qu'il ait dit qu'il « n'y arriverait pas » peut sous-entendre bien des choses, mais comme il a donné son préavis... Tout ça me laisse perplexe, et donc, partagé entre joie et frustration.

Mais quelquepart, je crois que c'est au Coucou qu'il manquera le plus! Et le plus bizarre, c'est que je l'avais rêvé...


Wikio

lundi 29 novembre 2010

Un anniversaire et des remerciements

Il aura fallu bien s'organiser pour que la surprise soit totale, mentir pour la bonne cause et dissiper les doutes, mais l'anniversaire de Marge fut une réussite. Alors qu'elle croyait dur comme fer aller au restaurant avec un couple d'amis, j'organisais dans l'ombre une surprise party où je réussis à réunir quelques amies de jeunesse avec lesquelles elle avait perdu le contact. A leur arrivée, alors que Marge croyait voir apparaitre d'autres personnes, l'émotion fut très intense au point qu'elle ne put retenir ses larmes. Accompagnées d'amis proches, Marge regrettait cependant que je n'aie pas fait venir sa meilleure amie, d'autant que celle-ci avouait sur Facebook passer dans la région ce week-end. Je feignais de n'en rien savoir, mais elle était dans le coup et après une petite diversion, elle apparut pour passer la soirée avec nous. Marge était, semble-t'il, comblée.

La soirée battit son plein jusque 4h00 du matin, heure à laquelle nous nous mettions finalement au lit.


Du coup, on a comaté tout le dimanche, errant comme des zombies dans l'appartement. Mais bon, ça valait le coup.

Marge m'a aussi demandé de remercier ces « inconnus du blog, mes potes virtuels », qui lui ont laissé un petit mot ici et sur Twitter. Merci à Corto74, Falconhill, Stef, Gildan, Nicolas, Isabelle, El Camino, Gaël et Melclalex... Très gentil de votre part.

samedi 27 novembre 2010

Happy Birthday

Aujourd'hui: pas de billet, mais j'ai une excellente raison. C'est l'anniversaire de Marge, et je compte bien lui consacrer l'essentiel de mon temps. D'autant que c'est un cap important, le quart de siècle! Du coup, j'ai un planning plutôt chargé, mais... je vous raconterai tout ça demain ;-)


Wikio

vendredi 26 novembre 2010

Je me rappelle des génériques de ma jeunesse...

« Bouba, Bouba, mon petit ourson... » Y'a pas à dire, il y avait du texte dans les génériques des dessins animés de ma jeunesse. Vous croyez que je plaisante, mais même si le niveau culturel des paroles était loin d'atteindre celles d'une chanson de Michel Sardouquoique?-, il y avait des paroles dont on se souvient parfaitement. Ce n'est pas le cas de celles des dessins animés d'aujourd'hui, que pourraient regarder les enfants de 10-12 ans, dont les génériques sont dépourvus de textes et dont on oubliera l'air rapidement.


De plus, chaque chanson a fait l'objet d'un 45 tours (pour les plus jeunes, le 45 tours est l'ancêtre du cd single), était chantée par les plus grands (Noam, Bernard Minet, Dorothée ou même Marie Myriam) et peut faire l'objet d'une comptine qui bercera nos propres enfants, les accompagnant dans un sommeil plein de rêves.

Nostalgie, quand tu nous tiens...

Et vous, vous vous rappelez de ces chansons? Vous fredonnez encore des génériques de vos plus beaux dessins animés?



Wikio

mercredi 24 novembre 2010

Les propriétaires immobiliers, responsables de la crise du logement?

Alors que Jean François Copé écume les radios pour justifier de l'annihilation de l'ISF et faire croire à qui veut l'entendre que « les propriétaires qui louent des biens immobiliers à autrui ne paient pas d'impôts, mais que ça va changer » * dixit le moustachu de mon travail, un collègue lançait l'idée de plafonner les loyers dans les villes, justifiant qu'il était anormal de trouver des montants si élevés dans des métropoles où le coût de la vie lui-même est plus cher.

Il expliquait qu'un individu devrait pouvoir se loger dignement et sans difficulté, en n'investissant qu'un tiers de ses revenus dans le loyer et que l'économie réalisée lui permettrait de consommer... et de relancer la machine, consommation-demande-production-emploi. Un tiers des revenus, c'est ce qu'imposent les banques lorsqu'un individu s'endette pour acheter ou bâtir. Cette limite n'existe pas, ou peu, pour les loyers, certains locataires s'endettant à plus de 50% pour enrichir des propriétaires peu scrupuleux et pouvoir bénéficier d'un toit sur la tête, dans un studio miteux, au cœur de la ville. Ils ne profiteront même pas des richesses de cette dernière, contraints de se restreindre pour payer le loyer. Sans oublier que lesdits propriétaires ont des critères de plus en plus stricts à la location: CDI indispensable !

L'idée du collègue a surement du chemin à faire: la plupart des nouveaux locataires paient des loyers fixés suivant les barèmes des villes, barèmes institués selon plusieurs critères de confort, emplacement géographique et services de proximité. Ces loyers sont souvent très élevés, et, à Arras comme ailleurs, il n'y a jamais autant eu de panneaux « à louer » et de files d'attentes aux logements HLM.

*la fameuse taxation des revenus du patrimoine: une annonce de réforme pour un impôt qui existe déjà, on nous l'avait jamais faite, celle-là ! Les propriétaires paient déjà des impôts sur les revenus de leur patrimoine, à déclarer comme les revenus professionnels chaque année !

Windows 7 et moi

Ca fait quelques semaines désormais que je tourne sous Seven. Contraint par un méchant virus attrapé surement sur un site peu recommandé – j'ai mes faiblesses – à reformater mon disque dur, j'en ai profité pour migrer vers le nouvel OS Windows, version Ultimate. Tout le monde ne peut pas avoir un Macintosh.

Après quelques dizaines de minutes d'installation, quelques autres de réglages systèmes et d'installation de logiciels indispensables, je pouvais pratiquer. Et je constatais que c'était fluide, rapide et instinctif. Pas besoin d'installer de pilotes périphériques, il reconnaît tout. Windows 7 est stable, convivial, esthétique. Depuis qu'il tourne sur ma bécane, j'ai même l'impression qu'il consomme moins de ressources que mon vieil XP trafiqué. Pour preuve, et ça va paraître bizarre, la ventilation de mon ordi est moins bruyante !

Je n'ai pour le moment trouvé qu'un bémol: la gestion du son par Microsoft, qui n'a toujours pas compris que certains pouvaient avoir une carte son gérant le dolby 5.1, et qui ne met pas à disposition de ceux-là un logiciel assez développé pour profiter du son ambiant. Du coup, mes enceintes arrières grésillent et ne transmettent rien de bon. Heureusement, j'ai trouvé un logiciel qui compense et fonctionne bien. Mais je galère pour des réglages optimum.

Bref, jusqu'ici, Windows 7 version Ultimate, ça me convient parfaitement. Fluide, réactif et bien pensé, il me permet de vaquer à mes occupations et s'adapte bien à mes besoins. Pour une fois, rien à dire, c'est le digne successeur de XP, et je pense qu'on peut dire qu'il surclasse un peu le Mac dans la mesure où il bénéficie d'une grande compatibilité logicielle et technologique. On n'a qu'à dire que c'est de l'OS Grand Public !

mardi 23 novembre 2010

Tenir plusieurs blogs...

Un grand homme, adepte de la pratique, me disait un jour que « l'essentiel, c'est d'avoir du contenu ». Dans l'optique de spécialiser mon blog, d'y voir plus clair, j'avais envie d'ouvrir un autre portail d'humeur, où j'aurais parlé de politique, de société et d'économie. Ça aurait laissé à ce blog, où vous lisez ces lignes, la possibilité de traiter encore de tout mais de paraître, peut-être, moins bordélique. Ce projet passe encore parfois dans ma tête. L'envie de faire du neuf, autre chose.

Hier encore, j'avais au moins une demi-douzaine d'idées de billets, traitant de l'actualité. J'avais envie de dire mon fond de pensée. J'avais du contenu. Mais pas de temps.

J'ai pensé à ça au boulot. Mais en rentrant le soir, force est de constater que le temps me manquait pour subvenir à mon désir. Entre le ménage, les loisirs et autres tâches du couple (je vous vois venir), je ne trouvais ni le temps, ni le calme nécessaire à taper un billet de plus. Et hier comme certains jours, aucun créneau pour twitter lire les blogs des copains, et maintenir leurs liens vers le mien et soutenir ma place au Wikio... Le blog est chronophage, et même si les envies et le fond sont là, l'essentiel, ce n'est pas que le contenu: c'est le temps qu'on peut y consacrer.

Alors, je garde le projet dans mes cartons. Je glisse Chez Homer un billet de société, parfois, parmi ceux qui racontent ma petite vie, mes coups de cœur, mes humeurs. J'ai de plus en plus l'impression que ce blog ressemble à un capharnaüm, une mosaïque désordonnée qui ne ressemble à rien si on ne la suit pas au quotidien.

Je ne sais pas si, un jour, j'ouvrirais un blog de société qui connaitra le succès. En attendant, je profite de celui-ci et de son annexe assumée, tant que toi, lecteur, tu t'y sens comme chez toi: dans un beau bordel.

lundi 22 novembre 2010

Décevant Racing

Je n'ai pas regardé le match du RC Lens. Et pourtant, je l'ai suivi, enthousiaste: l'enjeu était trop grand. Si le club de ma région l'emportait, une lueur d'espoir se confirmait et montrait la voie du maintien en Ligue 1.


Malgré un excellent début de match avec l'ouverture du score, et alors que d'habitude, les lensois font de bonnes secondes périodes, ils se sont cette fois effondrés. Face à Lyon, bordel. Ce changement radical de jeu, entre une mi-temps et une autre, me surprendra toujours dans l'élite du football. Transcendés par on ne sait quoi, les lyonnais ont inscrits trois buts et emporté le match, réduisant à néant le bond espéré au classement. Lens est à nouveau avant-dernier. Une descente en Ligue 2 est la mort annoncé du club, au rythme duquel vit toute une région. Un peu dégouté, quand on voit pas mal de potentiel parmi les jeunes joueurs du RC Lens, et que tout est gâché si tôt, par une gestion de club parfois incompréhensible, guidée par un Conseil d'Administration sans ambition déclarée. Wikio

samedi 20 novembre 2010

De l'art urbain?

Une sortie matinale sous un soleil qui se fait rare à présent, c'est toujours agréable. Poussé par un air frais et un recommandé à aller chercher à la Poste, je déambulais les mains dans les poches le long de ma rue quand soudain:


Des imbéciles ont passé une partie de la nuit à détériorer des bâtiments publics et d'habitations, réputés historiques, leur affligeant des tags dégueulasses comme une signature ingrate: P2C. Une dédicace qui fait honte à notre département, et qui rend l'acte en lui-même plus ignoble que jamais. Des tagueurs, des pirates, si je puis dire, qui se disent artistes urbains, que j'appelle vandales et voyous. C'est tout. Ça a gâché ma balade. J'espère qu'ils se feront prendre, et qu'on fera plus que leur taper sur les doigts. Les gens qui habitent là doivent penser la même chose.


Wikio

vendredi 19 novembre 2010

Au bout du rouleau

Voilà quatre jours que je me retiens, pour fêter comme il se doit la journée internationale des toilettes. Ça ne s'invente pas, c'est aujourd'hui, et d'autres ont préparé le terrain avant moi. Mais aucun ne peut se vanter d'avoir attendu 4 jours, le cigare au bout des lèvres, pour célébrer dignement l'événement.
Pour la peine, j'ai même préparé une pile de revues people bien chiantes à feuilleter dans la petite pièce. Mais je ne me retiens plus, la Taupe René pousse au trou, je m'en vais de ce pas la libérer. Je vous salue bien.

Prout.

Wikio