Mais qu’étais-ce donc, vous demandez-vous ?
En fait, un lot de plage.
Ouep, exactement. Un tee-shirt, un bob, un frisbee et un set de raquettes de plage, tous à cette étrange effigie :
Je furetais sur Google et découvrais qu’en réalité, Bloggie, qui est un « ami » de twitter, est en fait une caméra HD portative. J’envoyais un mail rigolo à ce monsieur qui m’avait contacté, indiquant que je le remerciais pour le colis, mais qu’il y manquait l’essentiel : la caméra !
Sans tarder, il me répondait que c’était là toute l’astuce de l’offre. Je conservais les gadgets, et lui me prêtait un caméscope Bloggie pour filmer mes vacances. Je réfléchissais un peu, puis, j’acceptais…
Ce matin, vers 10h, le facteur-colis sonne à ma porte, m’apportant le précieux sésame. Dans une petite boite, je découvrais Bloggie, une camera HD de la taille d’un téléphone mobile, avec lentille rotative et le petit gadget qui la rend indispensable : l’œil 360°. Je vous en dirais plus après l’avoir testé durant les fêtes Arrageoises qui commencent demain.
Avec un marché des transferts qui se termine si tard - 31 août -, comment voulez-vous que les joueurs se sentent concernés par leur club en début de championnat? Dernier exemple en date, Yoann Gourcuff: non qualifié pour la ligue des Champions, le joueur a estimé qu'il fallait quitter Bordeaux pour Lyon. C'est bien, ça, sauf que pendant les trois premiers matchs du championnat, et alors que ce transfert devait lui occuper l'esprit, j'ai du mal à croire qu'il fut totalement impliqué dans les performances de son équipe. Equipe qui, d'ailleurs, doit être super contente de perdre un de ses meilleur joueurs. Ça en dit long sur les ambitions de Bordeaux cette année.
L'actualité me fait sourire, malgré ces expulsions que je ne cautionne pas. Aux nouvelles, récemment, on entendait une famille interrogée, et qui avait accepté le billet d'avion pour retourner en Roumanie. Elle expliquait calmement que c'était une opportunité. Celle de rentrer retrouver ses enfants, pour revenir avec. Donc, pour deux roms renvoyés, ce sont quatre qui reviennent au nom de la libre circulation dans le territoire européen. 
Imaginez.
Quand tu n'es pas dans les plans de ton entraineur, quand la rumeur te pèse et ce, malgré tes performances, il es difficile de sortir la tête de l'eau. Et pourtant, tes stats parlent pour toi: tu es le meilleur ratio but/temps joué de Ligue 1. Le public ne s'y trompe pas, tu es leur chouchou. Personnellement, j'utilise Echofon sur mon navigateur Firefox. La petite lucarne se place en bas à droite et m'avise des nouveaux messages instantanément, sans prendre toute la place sur mon écran. Ça me permet de naviguer sans être gêné, et de répondre aux messages rapidement puisqu'ils attirent le regard. Il dispose de trois onglets, pour gérer le flux de base, les messages direct et les privés. Rien de plus. Basique. Et petit bémol, difficile de suivre les conversations.
Parfois, quand je lis les blogs et que j'utilise pour cela Google Chrome, je me sers de l'extension Chromed Bird, qui possède les mêmes fonctions mais qui n'annonce les nouveaux messages que par un petit chiffre qui se cumule sur l'icône. Pas pratique pour moi. 
Alors, suivant le conseil de @jegoun, j'ai installé Tweetdeck, et, bon point, j'ai eu des conversations suivies plus facilement qu'avec Echofon. Avec @Shaya_Oh et @unnouveaucompte, notamment. Mais pendant ce temps là, je ne faisais rien d'autre, mon navigateur était fermé et le « deck » prenait tout l'écran...
Et vous, vous utilisez quoi, et pourquoi?
Je ne vous en ai jamais parlé, pensant l'aventure anecdotique, mais il est revenu à l'assaut hier et je ne peux m'empêcher de le dénigrer sans ce billet.
Le type est un petit vieux. Le stéréotype du petit vieux, même, qui porte un bob en été. Il habite une maison qu'il loue avec sa grincheuse et qui se situe au fond, à droite de mon jardin. Il bénéficie de mes cerises, car les branches de l'arbre passent au dessus du mur qui nous sépare, par delà un petit local où il stocke du matériel. L'avantage de ce local, pour lui, c'est qu'il peut y monter sur le toit et mater chez moi. Il est systématiquement en train de bricoler un truc dessus, chaque fois que je vais dehors.
Et depuis peu, il ose me parler et me sortir la même rengaine.
« Vous habitez là? C'est qui votre propriétaire?
- C'est Mme Untel. Pourquoi?
La dernière fois, il avait ajouté que les cerises pourries pouvaient attirer les rats, et que le sureau qui poussait derrière avait ses racines qui passaient sous sa maison et foutaient en l'air son mur. Amusant puisque ça fait 4 ans que j'ai déssouché cet arbre. Bref, le type est un vieux grincheux, un emmerdeur, qu'on se surprend à entendre s'engueuler avec sa mégère deux fois par semaine pour des broutilles. Et les mots volent bas, croyez moi. Autant que les noyaux de cerise qu'il balaie sur son toit dans les arbres de mon côté, qui bordent le mur. Manquerait plus qu'il me reproche la neige en hiver sous prétexte que le vent envoie mes flocons chez chez lui!
Il était temps de passer un coup de taille-haie dans le jardin. Les arbres envahissaient le peu d'espace derrière chez moi, et je risquais à tout moment de croiser un tigre dans les hautes herbes que je n'avais pas tondues depuis un moment.
Et toi, lecteur (ou blogueur), pars-tu en vacances cette année? Si oui, es-tu plutôt découverte de la France profonde, campeur sur la Côte d'Azur, touriste en club à l'étranger ou aventurier des contrées inexplorées?
Considérons cela comme une chaine, tiens. Demandons à Gildan, Falconhill, Gael et le Coucou. Et, pour équilibrer, à la gente féminine La Pingouine, Chrys, le Rocrocodile et Minijupe !
Il y a des choses qu'on assimile, mal, entre association d'idées et mauvaises informations. On garde ça en tête, dans un coin, et quand il s'agit de briller en société, on sort une grosse connerie, malgré le fait qu'on soit intimement convaincu de son exactitude. Et têtu, avec ça.
Quelquepart, c'est un peu cette maladresse qui m'empêche de m'exprimer pleinement en politique ou en société. Quand on sait pas, on se tait. Quand on croit qu'on sait... on se tape la honte. Parfois.
L'ami est baroudeur, aventurier. Après avoir vu les quatre coins du monde, il arrive dans l'enceinte du Fort, émerveillé. Mais pas le temps de s'attarder dessus, déjà, la première épreuve l'attend: il doit avancer, suspendu à une échelle horizontale, pour décrocher la clé. Et là, c'est le drame, il se blesse et se cherche une excuse « je laisse l'adversaire s'épuiser... » Grand bien lui fait puisqu'Olivier Minne, l'animateur idole du jeune, arrête le jeu pour préserver les candidats. Désigné par son équipe comme le plus « cérébral » du groupe, il monte à la vigie affronter le père Fouras...
«Pour les yeux, c'est un joli coloris... Ce café est légèrement adouci... On peut consommer ce fruit... ou ce morceau de beurre tout petit..."
Et notre Fabi qui répond « une noix ». Je t'en foutrais, des yeux noix ! La réponse fut immédiatement reprise par son adversaire, qui lança un « noisette » hésitant, mais couronné de succès. Fabi se justifia: « un cuisinier ou un pâtissier me corrigera peut-être, mais j'ai toujours dit un « noix » de beurre ». Je te rappelle, mon ami, que tu as un pâtissier dans ton entourage...
Pour finir, on retiendra l'épreuve des serpents. Pour sauver une prisonnière, une des membres de l'équipe Titane, celle de notre ami, s'engage dans le couloir des reptiles avec pour mission de récupérer un code. Subtil conseil de Fabien: « Parle-leur comme à des bébés ». Pardonnez le, il n'a pas d'enfants. Hum.
Bilan de cette aventure: une élimination directe qui ne souffre aucune contestation. Plus forts, leurs adversaires, dont un membre est aussi du Pas-de-Calais, s'offrira le luxe de faire tomber le champion en titre. Derrière ça, Fabien soufflera un rapide « c'est le jeu! » qui ne masquera pas sa déception... et la nôtre. Car même si on connaissait le résultat, on a toujours tendance à vibrer avec ses amis.
