Ce billet est écrit à l'attention de Philippe, qui s'inquiète de ne plus me voir commenter chez lui alors que j'argue qu'un commentaire est le souffle de vie des blogs. Moi le premier, suis fautif. Ce qui ne veut pas dire que je ne lis pas les articles de Philippe: il fait partie de la liste des billets que je reçois par mail dans un lieu où, normalement, j'ai mieux à faire que de lire les blogs des copains. Je le lis, donc, mais je ne peux commenter. Et rassasié de ma lecture, je ne pense pas à me connecter sur son blog ainsi que ceux des autres pour donner mon avis indispensable au contenu de ses billets.
Mea culpa. Je pratique le « faites c'que j'dis, pas c'que j'fais » et j'ai honte.
Malheureusement c'est le lot de tous les blogs de ma blogroll. Soit plus d'une centaine... au moins. Il me faut trouver le moyen de me réorganiser, mais vous le savez, en ce moment, je galère pas mal. Philippe, et les autres, je vous demande pardon. Je suis désolé de ne plus commenter - pour le moment - en vos lignes. Je vais faire un effort. Promis.
Au boulot, bordel !
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