Pardonnez l'expression, mais c'est ce qu'à pu découvrir cette nordiste quadragénaire après une nuit de sexe débridé avec un amant ramassé en boite de nuit. Elle aurait été violée puis consentante, ou l'inverse, aurait subi des humiliations scato, se serait fait introduire divers objets: c'est qu'il y a de la place là-dedans ! Et au matin, alors que l'homme était parti, elle ne retrouvait pas son mobile. Elle le soupçonna de lui avoir dérobé... mais en le faisant sonner, elle se rendit compte – à son grand étonnement - que le bruit venait de son bas-ventre. On imagine qu'elle aura sonné plusieurs fois avant de faire sortir la bête de son antre. Après avoir porté plainte au tribunal, avec des versions différentes de son histoire qui se finissent toujours avec son mobile dans le vagin, la plaignante s'est vue débouter et récolte une amende 500 euros avec sursis. Elle l'a eu dans l'cul.
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Faudrait donner la marque du téléphone. Un iPhone par exemple serait très rigolo, vu la forme.
RépondreSupprimerNon pas en mode curator mais vibrator;-) hummmmm oui appelle-moi !
RépondreSupprimerOui, j'ai vu la news passer sur Twitter ... Excellent ^^
RépondreSupprimerdans la chatte, d'accord, mais dans l'cul, non quand même pas... ou alors elle n'a vraiment aucun tabou...
RépondreSupprimerAh ça c'est une histoire con ou je ne m'y connais pas :)
RépondreSupprimerEh beh entre le caca chez FalconHill et cette brève ici... Ca va être difficile de vous dépasser les gars!
RépondreSupprimerL'histoire ne dit pas si le mode vibreur était actif...
RépondreSupprimerBizarre quand même qu'elle ne le "sentait" pas à l'intérieur...
N'empêche que tout ça c'est vrai, et ça se passe dans le Nord ! C'est Marc Vasseur qui va être content de le savoir !
RépondreSupprimerLa selle jeudi, le portable dans la chatte vendredi, il n'y a pas dire: tu fais fort…
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