Quelle horreur d'avoir un voisin de travail qui hurle constamment. Ce n'est même pas sa faute, il ne s'en rend pas compte. Mais systématiquement, outre le fait qu'il coupe tout le temps la parole, il s'énerve au téléphone en balbutiant trois mots, hésitant, répétant sans cesse la même chose... en criant. Il parle si fort qu'il agace surement les étages supérieurs. On a beau lui dire de la mettre en sourdine, avant, pendant et après ses communications, il le sait mais chassez le naturel...
C'est horrible. Une heure passe comme sept, je ne vous explique pas la fatigue qui s'ensuit...
D’où l'immense plaisir de travailler en déplacement permanent. Changer de client tous les jours (ou presque), changer de copain de travail tous les jours (ou presque), changer de région très souvent (10 départements)...
RépondreSupprimerDans ma boite il existe des postes où les rencontres sont permanentes, nouvelles chaque jour, passionnantes... Mais ceux ci sont pour le moment pourvus...
SupprimerM'enfin, celui-là, il est terrible. C'est LE collègue avec des tics, des manies, ...
Alors bon courage pour la reprise.
SupprimerEn ce qui me concerne, c'était (je suis retraité) le cas le plus fréquent dans la boîte et les administratifs étaient aussi sympas que les copains.