
Particulièrement, celle de Nine Days – The Madding Crowd. Je ne connaissais pas le groupe et c'est la pochette qui m'a donné envie de découvrir. Avec une telle pochette, ça ne pouvait qu'être bien. Il n'aura fallu que quelques accords, dès le premier titre So Far Away, pour que je sache que ce groupe allait marquer mon expérience musicale.
Puis, Feeder – Yesterday went too soon. Pour la mélancolie, l'histoire qu'elle raconte. Le titre éponyme étant un fabuleux mélange de tout ce que j'ai ressenti à une époque charnière de ma vie. Feeder est rapidement devenu MA référence.
Je saurai citer le Black Album de Metallica. Sobre, simple: noir avec du texte dessus; c'est tout. Et ce serpent qui dégage une sensation de puissance et de maitrise qui force le respect. Et puis, il y a Nothing else matters...
Et à l'opposé, j'ai adoré la pochette artisanale du Sens du Poil. Les Blaireaux, groupe du Nord décalé dont les textes n'ont d'égal que leur incroyable talent sur scène, ont réalisé un concours auquel plusieurs dessinateurs ont participé, pour en sortir la pochette de l'album qui m'a fait les découvrir. Essayez l'Auberge du Chat qui pète !
Pour finir, au fil de mon inspiration, me revient à l'esprit la pochette du cd de Blur: Parklife. Allez savoir pourquoi, elle me fascine. Et c'est surement là qu'a commencé la grande carrière d'un groupe exceptionnel, avec le titre Girls & Boys, succès planétaire !
Avec tout ça, Gildan va devoir s'atteler à la tâche lui aussi !
Ça va être chaud mais je vais essayer !
RépondreSupprimer:)
C'est une expo fantastique ?
RépondreSupprimerThis is a nice post thanks for sharing with me.
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