Grève de la pause !

Bon, je fais une pause dans la pause, mais là, vraiment, c'est pour un gros coup de gueule ! Je viens de voir aux infos une dame qui, encore, se plaint des grèves SNCF, et prétexte qu'ils la prennent en otage ! Non mais ! C'est n'importe quoi! Depuis quand les preneurs d'otage préviennent qu'ils vont t'attraper??

Entre les médias et les syndicats, tout le monde savait que le 24 juin, il y aurait grève, et que la SNCF n'est pas la dernière à suivre - on sait pourquoi. Alors, la dame n'avait qu'à s'organiser ! Bus, voiture, vélo... ou grève, parce que ça la concerne aussi, boudiou ! Mais arrêtons d'utiliser de terme d'otage. Quand on est otage, on a pas le choix ! Et là, elle l'avait. Les Français ont encore le choix. Il suffit d'anticiper, et de faire le bon. Merde, tiens. Y'en a marre.

C'était l'info nulle du jour. Faites passer.


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Blog en pause

Un peu marre, ces temps-ci. Pas trop le temps de bloguer ou de faire ce que j'ai envie. Des choses à penser. Je prends une pause. On verra si je reviens.
Après tout, bientôt le Main Square Festival, y'aura des choses à dire... J'essaierai de vous lire aussi, dès que j'aurai quelques minutes. A bientôt?

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Fête de la musique 2010... à Arras

Mes t'is chouchous: Orange Buzz

La fête de la musique est toujours un événement attendu à Arras, et cette année encore, elle rassemble beaucoup de monde. Les gens défilent dans les rues du centre et les parcs alentours, à la découverte de genres musicaux qu'ils écoutent peu. Ainsi, dans les parcs, les kiosques font la part belle au classique, tandis qu'en centre ville, le rock prend le pouvoir. Derrière le beffroi, la techno est là avec des invités prestigieux comme le DJ Laurent Garnier et l'inattendu Edward Maya. C'est lui qui "chante" ça:

En live, c'est un peu différent quand même.
Les amateurs de raggae trouvèrent le genre sur la place Foch, où on pouvait assister aussi à une démo de step. D'autres photos ci-dessous...


Et pour finir, la vidéo que j'ai faite avec mon mobile :-( d'Orange Buzz, un petit groupe local qui déménage !

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Un petit tour...

Heureusement que la bière était bonne, elle. Parce que le match d'hier soir, c'est une imposture ! Nul à chier ! Honteux ! Il faut nécessairement changer en profondeur ces joueurs français imbus d'eux-mêmes et incapables de se motiver pour une compétition telle que la Coupe du Monde ! Dire qu'il y avait tant de joueurs plus modestes mais plus motivés... que le sélectionneur lui-même ! M'enfin, on ne sera pas surpris: on avait dit qu'ils étaient nuls, et sur ça, on ne s'était pas trompé.

On refera le match autant de fois qu'on voudra, sur Une/Deux ou ailleurs, ça ne changera rien. En fait, le gros point noir, c'est le manque évident d'envie. A cela s'ajoute une absurdité tactique et des querelles internes évidentes et mal dissimulées dans un environnement clos et loin des supporters. Tout était fait pour se prendre une branlée dans un confort certain...

J'aurais dù intituler ce billet "les chèvres de l'Hexagone', tiens !

Aujourd'hui, la France est en colère. Leur équipe est indigne. La France se retourne de l'Afrique et regarde désormais vers elle-même. Hélas, le tableau n'est guère plus glorieux.

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Croupe du monde

Pas tout à fait au goût du jour... mais ça, c'est fait, au moins...

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Un toit pour moi

Fatigué, aujourd'hui. Pas à cause de la Coupe du Monde, les matchs ne finissent pas tard. Je ne sais pas si c'est le climat, changeant mais principalement beau dans la région, ou si c'est le travail qui m'use (hi hi hi) mais je me sens plutôt las. Envie de ne rien faire. Un peu comme Falconhill, bien souvent.

Je suis peut-être fatigué parce que je me mets la pression à un moment où il ne faut pas, où je n'ai pas envie? En fait, c'est Marge qui me met la pression, surtout. C'est parce que je lui ai promis qu'à compter de Septembre, on chercherait à acquérir un bien immobilier, mais elle est super pressée et voudrait qu'on s'y mette de suite. Alors, je m'attarde sur internet, sur les sites de vente-achat de maisons, ou de terrains. En fait, j'y passe le plus clair de mon temps, délaissant même les matchs de foot! C'est grave.

On aurait envie d'une belle maison. Mais on n'est pas riches. On a pas d'sous. Snif. Acheter un bien, c'est cool mais la maison n'est jamais vraiment à ton image, ce n'est pas toi qui a fait les plans. Près d'Arras, en plus, c'est cher. Alors on se fixe sur un terrain. Là aussi, à proximité de la ville, les prix s'envolent. Alors on regarde du côté de la campagne profonde. En priant les dieux du numérique pour qu'il y ait internet dans la commune... (soupir) car sinon, ou si le débit est ancestral, je disparaitrais littéralement de la blogosphère. En attendant je dois prendre rendez-vous à la banque. Enfin, aux banques, pour comparer. Négocier. Obtenir. Projeter.

Comme je suis fatigué, las d'avance! Et en même temps, boudiou, je suis pressé !

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Le frénétique

J'ai toujours autant de mal avec Twitter. Je n'arrive pas à percevoir l'intérêt, au delà de poster ses mises à jour, effectuer quelques échanges (comme sur MSN?), s'interpeller quand on veut se contacter et qu'on a pas le numéro de mobile de l'autre et publier ses états d'âmes. D'autant que certains des utilisateurs sont de sacrés pollueurs en la matière, au point d'envoyer leurs 140 caractères au rythme d'un toutes les 30 secondes ! C'est bien simple, il n'y a qu'eux sur Twitter. Avec, évidemment, l'intérêt limité de certaines déclarations. Finalement, à moins de vouloir partager une info dégoté au fil de pérégrinations sur la toile – où il faut passer du temps et surtout, trouver le truc utile – Twitter révèle à mes yeux ses limites.

Trop de twitts tue le twitt, suivre une conversation devient une véritable gageure, et le gazouillis, s'il est constant, devient rapidement vuvuzela ! Alors, comment limiter l'utilisation du programme au profit d'un meilleur confort? D'abord, bien choisir ceux qu'on suit, à défaut se limiter à ceux qui vous suivent. Ensuite, se limiter, dans l'utilisation du logiciel, à n'en faire que ce qu'on a envie, de façon intelligente. Et c'est là que ça devient difficile, car il n'y a pas qu'une façon d'utiliser Twitter. Moi, je suis perdu là-dedans. D'autres sont frénétiques. Quelque-part, le calme d'un blog est cent fois préférable...

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On est tous médecins du monde

Ce sont les visuels qui m'ont le plus marqué. Les campagnes chocs, celles qui font réfléchir, sont efficaces. Je restais assis là. Et puis je me suis décidé à en parler. Médecins du monde aura 30 ans cette année, et force est de constater que peu d'entre nous, nés avec eux, sait ce que fait vraiment cette association.

Si j'en parle aujourd'hui, c'est que vraiment, Médecins du monde fait partie de l'actualité. Car l'association est présente partout dans le monde, où l'on a besoin d'elle. Mieux encore, elle est toute proche. Ainsi, savez-vous qu'en plus d'être présente en Haïti – oui, il y a encore des gens qui ont besoin de soins là-bas, ce n'est pas fini! -, on retrouve MdM sur le front de l'aide alimentaire au Sahel, et dans les pays d'Afrique en difficulté? Médecin du Monde, ce ne sont pas que des docteurs, ce sont aussi des gens comme nous qui, de leur qualités, œuvrent pour aider le Monde.

Dans le plus grand respect de la dignité humaine, ils nous rappellent ce que c'est que la solidarité et tentent, jour après jour, de construire un monde meilleur. Il est facile de vivre l'actualité avec le regard qu'on porte au travers son poste de télévision. Mais la réalité, sur le terrain, est tout autre.

Dans ma région, le Nord-Pas de Calais, il ne faut pas aller plus loin que sur la côte pour constater le bénéfice de leur action, au grand dam du gouvernement qui fait tout pour favoriser l'éviction des sans-papiers afghans. Les actions de Médecins du Monde font monter la pression sur les dirigeants, sont parfois assignés en justice car ils franchissent des limites qui pourtant sont légitimes au regard de la dignité de chacun. Soutenons Médecins du Monde.

Depuis le 7 juin est lancée une campagne d'alerte, vous retrouverez un peu partout les visuels de cet article. Ne soyez pas indifférent, n'ayez pas d'à priori. Nous savons tous ce que c'est que la solidarité. Nous la revendiquons. Il ne reste qu'à la mettre en œuvre.

Je crois que, pour vous comme pour moi, il est temps de faire un don. Cliquez sur www.medecinsdumonde.org

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Les voisins - la grosse glisse

Samedi. Minuit. Je dors.

Marge aussi. Sommeil reposant. Calme dans l'immeuble.

Et soudain.

Les voisins d'en dessous reçoivent. Ils font souvent la fête, en été, profitant du beau temps tardif pour faire un barbecue dans leur cour carrelée. Un endroit agréable, ce sont des voisins sympas qui ont tendance à oublier qu'il y a du monde qui dort au dessus. Il faut dire qu'ils lèvent le coude facilement et parfois, un peu pompettes, ils ont des idées... dingues.

Je fus réveillé par un cri, suivi de flashs. Marge sursauta, pensant que c'était un orage, mais je la rassurait en me levant pour aller voir: les cris devenaient rires, francs et imbibés, et je me demandais ce qu'avaient encore pu inventer mes voisins.

Discrètement, je relevais le rideau et...

Je voyais quatre mecs à moitié nus, le boxer rentrant dans les fesses, qui, du bout de la cour, s'élançaient sur le carrelage et se laissaient glisser jusqu'au mur ! Ils avaient arrosé la « piste » de Paic Citron, puis versé suffisamment d'eau pour en faire une patinoire où ils s'éclataient à glisser comme des gosses. C'était tout bonnement hilarant. Le spectacle de mecs bien en chair se lançant comme ça, le slip dans le cul, était insolite et inattendu !

Et ils ne s'arrêtèrent, les bougres, que lorsqu'il y eu un verre de cassé. Le truc qui plombe l'ambiance. Et qui permet d'aller se doucher pour certains, se coucher pour d'autres...

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140 caractères et c'est tout !

Inspiré par le Coucou, je me lance dans la rédaction d'un billet de 140 caractères pour faire passer mon idée, comme sur Twitter. Je vais do

Zut.

Loupé.

Edit: considérez ça comme un tag à qui veut !

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Les voisins - "Ce soir, je s'rai la poubelle..."

Ce n'était qu'un feu de paille. Un coup de chaleur. Mon voisin n'est pas plus pompier que vous et moi, à moins que vous ne le soyez. Je pense qu'il se contentait de faire une formation, pour pallier à l'ennui du chômage. Ou pour montrer à sa copine qu'il savait manier la lance. Mais les habitudes ont la vie dure...

La semaine dernière, c'était son tour de sortir les poubelles. Je le croisais hurlant à travers la rue, à mon retour du travail, pour saluer un de ses copains. J'appris, avec tout le quartier, qu'il partait l'après-midi même à Bruxelles avec sa dame. C'est pas loin. Mais, justement le jour où il est de corvée. Je m'attardais devant le local poubelle pour constater que les trois – deux ordures, une plastique – étaient pleines, ou presque.

Plus tard, dans la nuit, alors que le sommeil m'emportait, j'entendais un claquement: celui de la porte du sas, attestant qu'on sortait les poubelles.

Le lendemain matin, je partais travailler aux alentours de 7h15, juste après le passage des éboueurs. Et j'apercevais... deux poubelles. Seulement deux ! Et l'autre, la grande, d'où qu'elle est? Illico presto, je retournais voir dans le local, où je la trouvais pleine à ras-bord, mais toujours à sa place! Il ne l'avait pas sorti! Et qui dit, d'ailleurs, que c'est bien lui qui a fait l'effort, au milieu de la nuit, de sortir les deux autres? Trop tard, me direz-vous...

Ce lundi, c'était mon tour. Évidemment, je m'y attendais: les locataires ont bazardés leurs sacs poubelles en vrac dans le local, ça sentait... une horreur, vous n'imaginez pas ! Des bouteilles en plastiques jonchaient le sol, d'immondes immondices suintaient un liquide jaunâtre et malodorant. Courageusement, je tassais les sacs posés là dans les poubelles consacrées, et je me rendais compte qu'il y avait là suffisamment de place pour tout mettre. C'est donc qu'un ou deux de mes charmants voisins était faignant et ne savait pas ouvrir le couvercle d'une poubelle. Soit.

Par contre, pas moyen de mettre le plastique. Et puis, ma tâche était seulement de sortir les poubelles dans la rue, pas de mettre le surplus d'une manière ou d'une autre, ni de trimballer des sacs. Ils n'avaient qu'à attendre la semaine d'après pour sortir leurs plastiques, plutôt que de les bazarder là...

Je sortais donc les poubelles, laissant dans le local un sac que je ne pouvais y faire entrer et quelques bouteilles plastiques qui, pour ma défense, ne sont pas dans les poubelles !

Le lendemain, hier, donc, je rentrais les poubelles dans le local, les rangeait à côté du tas de plastiques resté là, et fermait la porte du local. J'avais accompli ma mission.

A chacun ses responsabilités. On vit en communauté.

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Original, il parait...

Y'a vraiment des jours comme ça où le temps parait long. Et là, on est à peine dans le midi, et déjà je m'ennuie. Je vous raconte pas ma matinée... Non pas que je n'ai rien à faire, j'ai du boulot. Un peu. Mais rien de folichon.

J'ai survolé les blogs ce matin. Ouep. Survolé. Pas envie d'en faire plus, ou de commenter. J'ai lu quelques articles et tests – comme celui pour l'acquisition d'un disque dur, et la copie parfaite de l'ancien – en travers, pour m'occuper. Apprendre un peu.

Comme on peut le constater, l'info est redondante. Je pense même qu'elle va s'arrêter pendant la Coupe du Monde. On ne parlera presque que Football. C'est déjà le cas à la télé. Ça va venir sur la toile. Et puis?

De toute façon, quand rien dans notre société n'inspire, on puise nos textes au sein de notre vie. Anecdotes, mini-aventures ou faits divers, tout est bon pour écrire quelques lignes. Et qui sait? Ça pourrait intéresser quelqu'un !?


En attendant, allez lire Blogexperience, et l'interview inédite de Pierre Chappaz – le patron de Wikio – qui répond à presque toutes les interrogations des blogueurs sur le classement. Sans pour autant me convaincre.

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La vie est un jeu !

Allez, arrêtons de parler des sujets qui fâchent la blogosphère: on saura agir en temps et en heure. Pour le moment, je vais vous raconter mon samedi... Un samedi passé sous le signe du jeu ! Si vous êtes amateur d'animations basées autour des jeux de société, vous n'aurez pas manqué l'annonce sur les forums de l'après-midi spéciale dans une petite bourgade du Pas-de-Calais: Fruges.

Au sein de l'association des Gardiens de l'Imaginaire, nous sommes une bande de potes qui proposent de temps en temps à chacun de découvrir de nouveaux jeux de société, pour sortir des sempiternelles rengaines du Monopoly ou de la belote. Mes lecteurs les plus anciens s'en souviendront.

Samedi, donc, nous avons pu faire une démonstration de dizaines de jeux originaux: de Gambit 7 en passant par Villa Paletti, pour terminer sur l'inévitable Loup-Garou de Tiercelieux... Des noms qui ne vous disent rien? Découvrez-les, ça vaut le coup ! Il existe des cafés-jeux dans les plus grandes villes françaises, idéal pour tester ! Des jeux de plateau stratégiques au jeu apéritif rapide, il y en a pour tous les gouts !

L'après-midi

En début d'après-midi, nous accueillions principalement des enfants. Les parents avaient tôt fait de comprendre qu'il suffisait de les laisser avec nous pour éviter les frais e garderie et gagner quelques heures de tranquillité. Problème: on est pas super équipés en jeux de petit-âge (5 ans !) et l'activité avait tôt fait d'être redondante !

Un peu plus tard, nous avons eu la visite de quelques personnes bien plus âgées... qui n'avaient que faire de nos jeux inédits: elles voulaient jouer à la Belote ! Grrr... On les a donc placés dans un coin avec une table et quelques cartes. On se contentait de servir les consos...

Arriva en fin d'après midi, un groupe 'de handicapés mentaux' – je n'aime pas ce terme - accompagnés. Nos jeux sont un divertissement idéal, aux règles simples mais pas simplistes, et le groupe pu s'épanouir d'un succès à des jeux consacrés. Concentrés et attentifs, ils semblèrent passer un bon moment.

Même si les nouveautés engendraient un succès flagrant auprès des enfants, séduire la cible des 20/50 ans n'était pas chose facile, et il fallut tout le talent de notre animateur vedette, Liam, pour entrainer les visiteurs passant là, au sein d'une Maison de la solidarité entièrement rénovée et magnifique, dans des délires de plateau.

Après la visite du maire de la ville, M.Hilmoine, nous avons entamé la soirée en partageant quelques fajitas, sandwiches et autres snacks bien mérités...

La soirée

C'est après que les choses sont devenues plus sérieuses: moins de visiteurs, un groupe plus restreint et où chacun se connaissait... il était temps de jouer à Black Stories. Le jeu consiste à deviner une situation précise ayant engendré un fait divers, en posant des questions au meneur, qui ne peut répondre que par oui, ou non. Un concentré de Sherlock Holmes, en somme.

Puis, nous nous sommes regroupés sur un tapis pour jouer aux Loup-Garous de Tiercelieux, classique de nos fins de soirées. Des loup-garous sévissent au village, et les habitants doivent débattre pour choisir qui, de l'un d'entre eux, dissimule des poils sous sa chemise. Mais attention, certains villageois possèdent des pouvoirs... C'est toujours un moment de folie. Liam est un pro pour animer ce jeu !

Nous avons enfin terminé la nuit sur deux nouveautés: le cadran de Kaplan, jeu de mot sur plateau auquel je suis nul... et un jeu dont le nom m'échappe, sorte d'Indiana Jones sur plateau où le but est de ramasser un max de trésor sans trop s'alourdir, ni se faire coincer dans un des nombreux pièges du temple maudit...

La nuit

La soirée s'est terminée vers 3h00 du mat', le temps de faire un peu de ménage et de se dire au revoir. Puis, à la sortie de la ville, chacun se sépara, à la manière d'un film. D'abord, l'un quitta la route principale pour rentrer chez lui. Puis, l'autre pris un autre chemin... il ne restait plus que deux voitures qui allaient se séparer dans le village de mes parents quand... après la descente, des Gendarmes ! Ils ont arrêtés les deux véhicules.

« Contrôle des papiers ! Vous avez bu ?

• Oui, m'ssieur, une demi coupe de mousseux vers 18h00.

• Soufflez.

• Humpf !

• C'est bon. Vous allez où..?

• On tourne à droite et on est arrivé. On dort chez mes parents...

• Ok, pouvez y aller...

• Ah, non. Pas sans mon copain ! »

J'ai donc attendu un peu que le collègue de ce gendarme en ait fini avec mon camarade pour finalement repartir. Ils ont dû se dire qu'ils venaient de perdre leur temps et deux « clients ». Bien fait. 100 mètres plus loin, nous nous arrêtions pour nous saluer une dernière fois, et partîmes chacun de notre côté pour aller embrasser Morphée.

C'était une journée bien remplie...

Pardon pour ce pavé, et merci à ceux ou celles qui auront eu le courage de tout lire !

A suivre, une vidéo... dès que je l'aurai uploadé...

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Non ! Je ne parlerai pas du Wikio !

Déjà, parce qu'en lisant un peu partout les avis et les exclusivités, je constate que Wikio a réussi son coup: faire parler de lui. Au delà d'un changement d'algorithme, il semble que le fameux classement des blogs, qui se voulait une saine compétition entre amateurs, se voit floué par la réapparition de certains professionnels qui foisonnent à la fois via les liens et les twitts. Or, vous le savez peut-être, le nouvel algo laisse la part belle à ces modes de fonctionnement simultanés. Bref.

Je peux comprendre le sentiment de frustration de certains blogueurs, la lassitude des autres et, pour moi, le désintérêt de la chose. Ce qui était un fabuleux vecteur de liens, participant à l'expansion du plus beau réseau social français, n'est plus ce qu'il était. Et je ne dis pas ça par jalousie ou autre sentiment d'injustice: je n'ai jamais rien compris à ce truc, je me plaisais donc seulement à me voir progresser ou pas, au fil de mes délires bloguesques, de quelques liens et billets à la con. Pour moi, un blog reste un loisir. Sinon, c'est un site web.

J'avais juste envie de me prononcer là-dessus. C'est fait.

Alors, bientôt, on nous annoncera un nouveau changement d'algorithme.

Cool.

Ouep.

Encore...

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Retraites: "La multiplicité des régimes est un fléau pour la solidarité"

« La multiplicité des régimes est un fléau pour la solidarité. Qu'on ne s'étonne pas de voir si peu de monde défiler dans les rues: si le Français ne se sent pas concerné, c'est peut-être parce qu'en effet, il ne l'est pas.

On nous indique que l'on ne pourra partir qu'à 63 ans à la retraite. Et alors? Comme la plupart de mes collègues, j'ai commencé à bosser vers 21/22. Avec la règle des 42 annuités nécessaires au départ en retraite -officielle !-, le moindre benêt à peine sorti de l'école ne pourra pas partir avant... 63 ans ! Alors, elle est où la révolution?

La révolution, elle existe pour les services publics, dits « privilégiés ». Dans le secteur privé, on cotise 42 ans, on part en retraite. Voilà. Dans le public, notamment la SNCF, il est possible de partir à 55 ans ! Et là, qu'on ne me fasse pas croire qu'on cotise 42 années ! Loin de là !

Pour faire appel à la solidarité, pour descendre dans la rue, il faudrait se reconnaître dans le même bateau. Mais la différence entre les régimes accentue le désintérêt d'une classe de population qui a bien compris que seule l'atteinte à un statut commun serait vécu comme agression. Au final, la réforme des retraites, c'est aligner tout le monde sur les mêmes critères de cotisations... »

(source: conversation entre collègues)

Et vous, qu'en pensez-vous?

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Leboeuf et le Dragon (c'est chaud !)

Quand j'ai vu cette pub chez une amie blogueuse, j'ai eu envie de participer au mouvement. déjà parce que Frank Leboeuf me fait marrer, mais surtout parce que, finalement, la cause est juste. Et puis, cette opération marketing a le mérite d'innover, dans le genre: notre ami Frank tente de draguer une bombe asiatique, le petit Dragon, mais le bellâtre ne sait pas vraiment par quel bout commencer. Il vous appelle donc en direct – ça c'est trop fun – pour vous demander comment agir avec la donzelle. De bon conseil, il tente une approche et... oh ! A vous d'essayer ! Ne serait-ce que pour rentrer au boulot et vous vanter d'avoir causé à Frank Leboeuf !

Cet instant super original est proposé par la Société Française de rhumatologie. Il utilise une technologie dite « Web Call back », et de toute franchise, est excellente. On se prend au jeu, on rappelle le héros comique champion du monde qui suit nos conseils pour se rapprocher de la mystérieuse jeune femme. La chute est plutôt drôle, le type a une bonne tête et on se rappelle alors que... oui, il a fait Koh Lanta, et il nous a bien fait rire de ses traits d'humour. Leboeuf possède un charisme, c'est indéniable. Et puis, m..., c'est Frank Leboeuf, quand même ! Et on se souvient qu'il a arrêté le jeu d'avenure parce qu'il avait mal au dos. Voilà où la vidéo veut, finalement, en venir.

La Société française de Rhumatologie veut, par le biais de cette vidéo marketing viral, nous alerter sur un problème grandissant spécifique au mal de dos des Français: la Spondylarthrite Ankylosante. Derrière ce nom barbare, des douleurs lancinantes et une inflammation en bas du dos qui peut s'étendre à un engourdissement des membres inférieurs. Le site http://www.dosaumur.com/ vous en apprendra plus. Si vous souffrez du dos, le matin, que certains des symptômes vous inquiètent et surtout, si la douleur est récurrente, ce site vous sera d'une précieuse aide. Il vous aiguillera vers un rhumatologue qui saura vous aider à soulager votre mal. Ainsi, j'ai parcouru les quelques pages qui le composent, moi qui souffre parfois du dos à cause de ma grande taille, et me rassurer. Extrêmement complet, Dosaumur vous aidera à soulager l'inflammation et vous pourrez vous remettre, comme Frank Leboeuf, à chasser le Dragon !

Avec plus de succès.

Ou pas.

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Salut Homer !

Après avoir écrit ce billet, fort difficile, je ne me sens pas le courage d'en faire beaucoup plus. L'actualité m'inspire peu, contrairement au Coucou qui s'exprime sur la position d'escroc de notre Président – un costume qu'il endosse depuis 2009...- ; et Corto74 qui prend place au cœur du débat sur le conflit israëlo-palestinien.

J'aurais pu parler de l'équipe de France, sujet à la mode un peu partout, et me révolter contre le sélectionneur... je ne comprends toujours pas ce que fait Gallas, blessé, au sein d'une équipe qui est censée être au top pour commencer la compétition, ou même Henry, simple remplaçant dans son club et « maillon fort » (sic!) en sélection. Sans parler d'Anelka, le touriste.

Finalement, je passe plutôt du temps sur les forums, à croiser mes idées sur Lost, et compléter le puzzle. Quoiqu'on en dise, la série est formidablement pensée, et il est clair que la complexité et l'interactivité qu'elle demande peut en perdre plus d'un, voire les décevoir. Mais avouons que le concept est unique, et qu'il aura fonctionné pour toute une communauté. Perso, j'adore, j'adhère...

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