J'ai passé la matinée d'hier sur Lille. Je passais un entretien d'embauche dans une société d'Assurances du nord de la Métropole. J'avais pris congé pour aller voir si l'herbe n'était pas plus verte ailleurs que dans mon pré. Déjà salarié, je ne risquais rien à y pointer mon nez. C'est ainsi qu'en touriste, j'arrivais de bonne heure devant la boite, constatant que la plupart des employés venaient en métro, habillés comme des papes en cérémonie. La grande classe. J'entrais dans le hall, me présentait et était invité à m'installer pour patienter, face aux autres candidats qui, a eux seuls, auraient pu faire fortune en envoyant une photo de groupe chez Benetton.
Après quelques minutes, nous étions sept à pénétrer dans une petite salle de réunion, face à trois personnes un peu "cucu" qui affirmaient être des DRH. Celles-ci nous présentèrent la société, puis le poste qui se rapproche un peu de ce que je fais déjà, avec les modalités d'usage que sont le salaire, les primes et les horaires de base.
Les gens des DRH font-ils de la psychologie? Je le pense. Ils entretiennent individuellement les candidats et posent des questions piège. "Pourquoi vous plutôt qu'un autre? - Bah, euh, j'sais pas, j'ai déjà un boulot alors, oui pourquoi moi?". "Quels sont vos qualités et défauts? - Je n'ai aucun défaut ! Ca se voit !" . "Qu'est-ce qui vous a donné envie de postuler à Chénou? - Finalement, je ne sais plus, vous ne proposez pas grand chose de mieux que là où je bosse !"
Bon évidemment je lui ai pas répondu ça. Mais faut avouer que l'offre n'était pas alléchante : pour le même salaire, je perdais ma sécurité d'emploi, deux heures et demi de trajet et des frais en plus. Le choix fut vite fait, face à ces 6 jeunes filles sans emploi malgré leurs impressionants diplômes ! Cependant, avant de me prononcer et face à l'interêt visible que me portait la DRH qui m'interrogeait, je décidais de passer les quelques tests prévus.
Les DRH font-ils de la psychologie, deuxième tour? Il faut croire car en rejoignant le groupe, j'eus la bonne surprise de me voir distribuer ces fameux tests de QI éliminatifs suédois, à partir des résultats desquels la société saura qui prendre et qui éliminer vraiment. J'ai horreur de ces trucs là, mais faut avouer que je me débrouille plutôt bien. Trouver la figure manquante, le nombre logique dans la suite, etc... Faudra que je pense à faire un test de QI, une fois. Ainsi, je trouve facilement les réponses aux deux tests proposés, et je sors de la boîte pleinement satisfait d'être en position favorable.
Parce que là, je n'ai rien à perdre. A moi de négocier mon salaire, mon poste, de manière à améliorer encore mon niveau de vie, tout en gardant le temps nécessaire pour en profiter pleinement... A présent, j'attends un appel de confirmation pour obtenir un entretien avec un manager de là-bas. C'est dingue ce que ça fait du bien de rien avoir à perdre. Ca donne de l'assurance ;-)
Après quelques minutes, nous étions sept à pénétrer dans une petite salle de réunion, face à trois personnes un peu "cucu" qui affirmaient être des DRH. Celles-ci nous présentèrent la société, puis le poste qui se rapproche un peu de ce que je fais déjà, avec les modalités d'usage que sont le salaire, les primes et les horaires de base.
Les gens des DRH font-ils de la psychologie? Je le pense. Ils entretiennent individuellement les candidats et posent des questions piège. "Pourquoi vous plutôt qu'un autre? - Bah, euh, j'sais pas, j'ai déjà un boulot alors, oui pourquoi moi?". "Quels sont vos qualités et défauts? - Je n'ai aucun défaut ! Ca se voit !" . "Qu'est-ce qui vous a donné envie de postuler à Chénou? - Finalement, je ne sais plus, vous ne proposez pas grand chose de mieux que là où je bosse !"
Bon évidemment je lui ai pas répondu ça. Mais faut avouer que l'offre n'était pas alléchante : pour le même salaire, je perdais ma sécurité d'emploi, deux heures et demi de trajet et des frais en plus. Le choix fut vite fait, face à ces 6 jeunes filles sans emploi malgré leurs impressionants diplômes ! Cependant, avant de me prononcer et face à l'interêt visible que me portait la DRH qui m'interrogeait, je décidais de passer les quelques tests prévus.
Les DRH font-ils de la psychologie, deuxième tour? Il faut croire car en rejoignant le groupe, j'eus la bonne surprise de me voir distribuer ces fameux tests de QI éliminatifs suédois, à partir des résultats desquels la société saura qui prendre et qui éliminer vraiment. J'ai horreur de ces trucs là, mais faut avouer que je me débrouille plutôt bien. Trouver la figure manquante, le nombre logique dans la suite, etc... Faudra que je pense à faire un test de QI, une fois. Ainsi, je trouve facilement les réponses aux deux tests proposés, et je sors de la boîte pleinement satisfait d'être en position favorable.
Parce que là, je n'ai rien à perdre. A moi de négocier mon salaire, mon poste, de manière à améliorer encore mon niveau de vie, tout en gardant le temps nécessaire pour en profiter pleinement... A présent, j'attends un appel de confirmation pour obtenir un entretien avec un manager de là-bas. C'est dingue ce que ça fait du bien de rien avoir à perdre. Ca donne de l'assurance ;-)
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