Didier Goux réagit sur les trois ou quatre mots qui composent mon unique billet du week-end. Il m'informe de mes écarts de langage et me corrige. Et il fait bien, car nous sommes de plus en plus nombreux à hanter les pages web de la blogosphère en rédigeant des billets remplis de fautes d'expression. Ces erreurs viennent du fait que nous écrivons comme nous parlons et comme nous parlons bien la France, nous intégrons des mots patoisants, de l'argot ou des phrases inappropriées sans nous rendre compte des lourdeurs ou du sens même de ces mots.
Si c'est fait exprès, tant mieux ! Passons les mots en italique. Sinon, prenons le temps de faire attention.
Au boulot on m'appelle le Bescherelle. Une question conjugaison, grammaire ou orthographe, on appelle Homer à la rescousse. Devant mon clavier, trop soutenu, j'imagine que je pète plus haut que mon cul et en voulant utiliser des expressions courantes, je m'embrouille dans leur sens. Vous me direz, nous ne sommes pas écrivains (pas tous) et on blogue pour s'amuser.
Du coup, Didier, vous m'avez un peu vexé. Un petit peu.
Bien sûr, je ne suis pas le pire rédacteur de notre microcosme, je ne parle pas en langage sms ou entièrement en ch'ti mi, et trop souvent, les fautes de frappe polluent mes textes à cause d'une relecture peu rigoureuse. Un peu comme quand on les rédige sur une tablette, n'est-ce pas?
Tout ça pour dire que nous ne sommes pas tous de grandes plumes, excusez-nous...
ti, t'es ben de min coin
RépondreSupprimerhein cha, tizote !
SupprimerBah ! Ca l'occupe...
RépondreSupprimerMais en plus il a raison... :-/
Supprimerd'ailleurs on écrit: din ch'nord
RépondreSupprimercordialement
France
Evidemment, mais je tape mes billets avec des moufles alors soyons indulgent !
Supprimerévidemment !!!!
RépondreSupprimerFrance.