Le roi Merlin

Vous vous souvenez, au printemps, j'étais allé à Pierrefonds pour visiter le château, et suivre au possible une partie du tournage de Merlin, la série. Cette sortie s'était révélée riche en enseignements, au point que je me mette à dos une partie des fans étrangers. J'avais même dû me disculper auprès d'eux pour un spoiler inattendu. Bref, cette semaine, la diffusion des épisodes tournés à ce moment là a commencé, et j'ai pu redécouvrir avec plaisir l'univers de la série, et les points de repères parcourus au château. C'est marrant de voir ces escaliers et de se dire qu'on était là il n'y a pas si longtemps. D'observer les détails qui rappellent l'endroit... Ce qui est moins marrant c'est qu'à faire ça on passe un peu à côté de l'histoire! Ce premier épisode, pourtant, propose une excellente séquence dans un silence total. Bien amené, légèrement angoissant. Y'a du nouveau dans Merlin.

Bon, pas de surprise, le texte que j'avais pu lire ne concernait pas le premier épisode de cette saison. Mais chaque scène qui se rapproche du contexte de celle que j'ai aperçue tourner met mes sens en éveil: quand Arthur et ses compagnons avancent à cheval dans les bois, j'y reconnais le parc du château et je me dis que c'est peut-être le moment... et en fait, non, pas encore. J'y crois plutôt pour l'épisode 3 ou 4! Mais croyez moi, je le verrai, je le saurai et... je l'apprécierai.  

Sarkozy près du Bar

"

Pierre Sarkozy, le producteur de rap, fils de Nicolas Sarkozy et dont les initiales sont ironiquement PS, a été vu en charmante compagnie lors d'une soirée. Il fréquenteraitBar Refaeli, l'ex de Leonardo Di Caprio, et échangerait des fluides avec elle.

On peut le comprendre, c'est une bombe. Mais elle, on a du mal à la suivre...

"Salut, moi c'est Bar Rafaeli. J'ai un prénom de poisson. Je pensais que Pierre, c'était le copain de Jésus. Mais non. Il fait du rap, c'est cool, j'adore le gruyère. Mais il m'a montré sa carotte, qui, elle, n'était pas râpée"

Google+, Twitter, et temps de blogage

Gardant à l'esprit que ce blog est un loisir plaisant, y adjoindre les fonctionnalités Twitter et Google+ semblaient le faire devenir un peu trop sérieux. Certes, mon égo aime à savoir que la pub qu'il peut faire sur ces supports lui apporte quelques visiteurs, mais l'aspect chronophage de l'observation des tweets sur ces réseaux sociaux commence à me rebuter. Sérieusement.

Intrigué par la nouveauté, j'ai pu m'inscrire sur Google+ en espérant y trouver le quelquechose qui me ferait quitter ou compléter Facebook, et me permettrait de gérer tout mon « web-monde » au travers d'un seul réseau. Bien que j'apprécie l'interface et la rapidité du truc, j'avoue ne pas m'y connecter très souvent, un peu perdu dans le blanc des pages et à travers des fonctionnalités qui, si elle sont nombreuses, sont parfois difficiles à appliquer à ma façon de surfer. Ainsi, il y a là Google+, toujours accessible et d'autant plus depuis que j'utilise Chrome comme navigateur, qui commence à prendre la poussière. Ça me rappelle Friendfeed. Effet de nouveauté passé, le soufflé retombe. Je ne prends pas le temps de découvrir les fonctions, je n'ai pas le temps.

Et finalement on revient à l'aspect chronophage du truc.

Et puis il y a Twitter, qui s'est vite révélé comme le meilleur moyen d'avoir de l'information courte, des liens d'actualité et un « Tchat » intégré. Au début, j'étais enthousiaste, j'échangeais avec mes copains et copines blogueurs, je cliquais sur des liens pour m'enrichir culturellement et... à la longue, avec tant de monde à suivre, avec le temps que ça prenait... je me suis lassé. J'ai lâché un peu le truc – auquel je reviendrais, surement – pour retrouver la notion de loisir que compose le blogage. L'envie de partager une idée ne demande pas forcément à ce qu'on en devienne esclave, pour aller plus loin pour tel ou tel classement, pour se montrer et au final, se rendre compte que d'autres divertissements sont possibles sans qu'on s'acharne à Twitter toute la journée.

Moi je n'ai pas d'iPhone, d'accès constant au web ou de trucs de ce genre. Je blogue encore par plaisir, et je fais tout... pour que ça dure !

Petite question aux blogueurs, tiens. Savez-vous quel temps vous consacrez par jour dans ces activités, en moyenne, lecture des autres blogs/sites non incluse ?

Aujourd'hui, c'est l'anniv' de Falconhill, et il mérite bien un lien ! Bon anniv' l'ami !

Magie noire, voyance et tutti quanti

Évidemment il s'est passé des choses durant mes vacances, on aura pensé à me le mentionner. C'est pas parce que je blogue pas que je ne suis pas l'actualité. Et si j'avais prévu de vous parler de Google+ aujourd'hui, et d'aborder si possible un sujet politique, je reviens sur mon idée pour aborder l'effrayant sujet de Zone interdite hier soir: les médiums et guérisseurs.

J'ai commencé à regarder ça sans m'y intéresser vraiment. Les journalistes ont livré un reportage plutôt moyen, sans s'engager vraiment sur la piste des arnaques, et on ignorés des questions essentielles. Par exemple: un guérisseur exorciste soigne les gens par la prière. On est libre d'y croire. Les témoins, dans sa salle d'attente, affirment qu'il les a guéri! Miracle mais... alors messieurs dames, pourquoi revenez vous dans la salle d'attente? Une verrue inopportune, ou une foi en ce monsieur qui dépasse la raison? A aucun moment, on ne parle d'argent. Ou à peine. On effleure le sujet, digne de Capital.

On parle rapidement des arnaques téléphoniques, dont les hôtesses non médiums vivent au Sénégal. On aborde un peu le sujet de la voyante people, à mes yeux une manipulatrice peu douée, qui pose des questions pour apporter des réponses floues. Et on s'attarde sur l'exorciste qui conjure le mal dans une étable, enlève le mauvais œil sur ses patients sans aucunement s'intéresser à la cause de leur malheur. Un bon samaritain, digne du Christ ressuscité. Mouais. Et puis il y a l'exorcisme de fou, réalisé « sans trucage », digne du film: là, ça fait flipper. Bizarre.

C'est malheureusement le moment où j'ai été appelé à d'autres tâches et j'ai pas vu la fin. Mais moi, je reste convaincu qu'un vrai voyant, il décroche son téléphone sans qu'il sonne quand tu l'appelles et est censé savoir que c'est toi qui cherche à le joindre. Sinon, c'est pas marrant.

Néanmoins, le sujet, trop léger, aurait du aborder plus en détails l'aspect philosophique: à savoir, comment certaines personnes peuvent avoir une hypersensibilité au point de voir, éventuellement, le subconscient de leur interlocuteur. Et de remettre n cause les croyances aux vieux démons, aux envoutements et à la sorcellerie, pour enfin aborder la question du dessein: l'avenir est-il écrit et lisible par certains élus? Et au final, faut-il croire au mystique? Et vous, y croyez-vous?