Quoi de plus agréable le matin que d'arriver et de serrer la main de ses collègues? Moites ou rèches, rien n'égale cette main tendue qui vient juste de moucher un nez. Transit par le froid, j'arrive le matin de bonne heure - je travaille dans un bureau - et salue les collègues quand soudain, il me semble percevoir un barrissement : c'est le dernier du bureau qui se mouche. Le dernier qu'il me reste à saluer. Gloups. C'est ainsi que ma main se tend vers la sienne dans un contact collant, pas trop agréable, et nutritif pour les cellules de la peau. Je garde alors la main dans l'air, sans rien toucher, penant que nous échangeons quelques mots et arrive enfin un autre collègue que je n'ai pas encore vu ! Je lui serre les paluches frénétiquement pour me débarasser du... superflu.
Il est temps de bosser.
Je m'affaire à régler ce fameux dossier sur lequel je passe le plus clair de mon temps depuis quelques jours, un dossier que même les américains ils sauraient pas faire, et tout à coup, aïe, ça pique ! un objet volant non identifié vient de piquer mon coin d'oeil ! Je regarde autour de moi et je l'identifie : un bout d'ongle tout noir. Beurk. Sa provenance? Mon fameux collègue à la main mouchée est en train de se couper les ongles. Il les coupe tous les jours. Ils poussent à une de ces vitesse, dis donc ! Et en me retournant, j'aperçois des dizaines de petits morceaux d'ongle parsemés dans le service (on y fait pas le ménage souvent...). Un homme marque son territoire...
Retour sur mon dossier.
Des formules complexes à appliquer (?), une concentration à rendre un joueur d'échec perplexe, je me replonge dans une étude hyper compliquée quand... une douce musique funèbre atteind mes oreilles. Je vous le donne en mille : le collègue à la main entretenue mais gluante s'est mis à siffloter son album préféré des cent meilleures musiques d'enterrement bruitées à la bouche par Ziouziou le pétomane. Rien de plus gai, je vous assure. Ah, il s'arrête, le disque est-il rayé? Que dis-je, le pire arrive ! Il se met à tousser !!!!!
Des centaines de postillons sont progetés dans la pièce, j'ai à peine le temps de soulever une chemise de carton pour m'en servir comme bouclier ! Tel Ivanohé (ou yvan le noyé?) je remonte le courant pour m'abriter derrière un mur le temps que passe l'orage. Comme si de rien n'était.
Qui a dit que bosser dans un bureau était facile? De nos jours il ne s'agit plus de bosser, mais de survivre !!!!!!!!!!!
Il est temps de bosser.
Je m'affaire à régler ce fameux dossier sur lequel je passe le plus clair de mon temps depuis quelques jours, un dossier que même les américains ils sauraient pas faire, et tout à coup, aïe, ça pique ! un objet volant non identifié vient de piquer mon coin d'oeil ! Je regarde autour de moi et je l'identifie : un bout d'ongle tout noir. Beurk. Sa provenance? Mon fameux collègue à la main mouchée est en train de se couper les ongles. Il les coupe tous les jours. Ils poussent à une de ces vitesse, dis donc ! Et en me retournant, j'aperçois des dizaines de petits morceaux d'ongle parsemés dans le service (on y fait pas le ménage souvent...). Un homme marque son territoire...
Retour sur mon dossier.
Des formules complexes à appliquer (?), une concentration à rendre un joueur d'échec perplexe, je me replonge dans une étude hyper compliquée quand... une douce musique funèbre atteind mes oreilles. Je vous le donne en mille : le collègue à la main entretenue mais gluante s'est mis à siffloter son album préféré des cent meilleures musiques d'enterrement bruitées à la bouche par Ziouziou le pétomane. Rien de plus gai, je vous assure. Ah, il s'arrête, le disque est-il rayé? Que dis-je, le pire arrive ! Il se met à tousser !!!!!
Des centaines de postillons sont progetés dans la pièce, j'ai à peine le temps de soulever une chemise de carton pour m'en servir comme bouclier ! Tel Ivanohé (ou yvan le noyé?) je remonte le courant pour m'abriter derrière un mur le temps que passe l'orage. Comme si de rien n'était.
Qui a dit que bosser dans un bureau était facile? De nos jours il ne s'agit plus de bosser, mais de survivre !!!!!!!!!!!
Euh... C'est qui ce gros dégueulasse qui se coupe les ongles au boulot ??? Non sérieux là ça se fait pas, ça me dégoute...
RépondreSupprimerPerso, je suis un peu maniaque,je me lave les mains dès que j' ai fini de dire bonjour à tout le monde et quand je suis malade, je n' embrasse personne et ne sert pas les mains car il n' y a pas pire pour attraper tout les microbes qui passent comme une gastro ou grippe et je fais la mème chose à chaque fois que je touche une porte ou un cadis dans un magasin, le pire, c'est les salles d' attente des médecins, enfin bref je me lave les mains le plus souvent possible et je crois qu' une petite mise au point avec ton collègue s' impose, rapelle lui que pour l' harmonie du service il ferait bien de faire ses horreurs chez lui question de bienséance et de repect mutuel
RépondreSupprimerC'est vrai que c'est un peu un porc la ! Se curer les ongles au bureau c'est tout simplement repugnant !
RépondreSupprimerLa methode australienne : ne pas se serrer la main (se serrer la main tous les jours est typiquement francais) et vivre dans un open space avec des petites cloisons pour separer les bureaux...
Comme Edwood je suis assez interloque.
Surtout que c'est un supporter Lensois.
RépondreSupprimerAllez l'OL
MDDRRRR
Herk , j'ai horreur de serrer la main des mecs surtout ceux qui sortent des Wc sans se les laver : et il yen a une pagaille !
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