vendredi 30 août 2013

Syrie: du pain sur la planche

 
Des rumeurs circulent dans les couloirs de l'Elysée. Cette fois-ci, l'intervention en Syrie pourrait avoir un impact direct sur le prix et la production des matières premières. Dans les Ardennes, principalement, on s'affole. Les femmes sont en pleurs, les enfants ne comprennent pas.
La société en charge des équipements a déjà commencé à revoir sa production, les chemises qui reprendront notre étendard seront des chemises à carreaux. Les fabricants d'armes blanches ont augmenté leur effectif, tant il faudra fournir de haches à ce nouveau type de commando.
« Nous ferons feu de tout bois » aura déclaré un porte-parole du Président. "il y a du pain sur la planche"
C'est parti.
Très bientôt, ils arriveront pour changer les choses.

Il y aura des bûcherons en Syrie.

Ok, je sors...

mardi 27 août 2013

Des couleuvres pour le peuple !

 

Le peuple a tellement avalé de couleuvres sous Sarkozy qu'il en est, je pense, à l'indigestion. Les suffrages s'étaient exprimés dans l'espoir de la franchise, de la mort de la langue de bois et pourtant, on a a oublié qu'en politique, il faut savoir dire ce que les gens veulent entendre et faire tout le contraire. J'ai espoir, néanmoins, que l'ère de la crédulité prenne fin. Que ces périodes de naïveté cessent, que les interventions des politicards de tout bord perdent tellement en crédibilité que le modèle change... je suis utopique, voilà.

Parce que j'en ai marre de ces gens qui nous gouvernent et qui mentent. Mais j'étais au courant, le gouverne...ment. Quel qu'il soit. Il déçoit toujours. En jouant sur les mots, taxes, impôts, contributions... tout cela revient au même, il faudra payer... payer... payer, et toujours les mêmes. Les salaires augmentent? Les contributions aussi, et bien souvent, dans l'ensemble et chez les plus pauvres, au delà de l'augmentation du salaire ! Donc, je suis peut-être idiot mais au final, le salaire baisse.

Ne nous étonnons pas que la relance n'arrive pas: perte de pouvoir d'achat, crainte du chômage et hausse de la précarité. Trois sujets qui n'ont qu'un point commun, l'emploi; Et hier, Marge reçoit un papier de Pôle Emploi disant qu'elle va bientôt se voir radiée des listes parce qu'elle est actuellement en CDD. Précaire. Et qui ne change rien pour elle car elle reste demandeur d'emploi. Mais quel meilleur moyen d'en faire baisser le nombre que d'en radier en masse? Ça marchait tellement bien à droite que la gauche fait pareil. Sauf qu'à la fin, attention au retour de bâton !

Et enfin, les retraites. J'en ai déjà parlé, je reste sur ma position: il s'agit d'une stratégie pour baisser les pensions, obliger les gens usés à partir en retraite sans leurs trimestres, et donc avec une retraite minorée qui coutera moins cher à l'État. Avec un peu de chance, de la maladie, du stress, ou de la pression, nombreux sont ceux qui mourront avant la quille. Top économie, hein? Avec l'encouragement à de longues études, nos jeunes vont vieillir avant l'heure, je vous le dis.

C'était un billet politique "coup de gueule". Long, mais qui soulage. Décousu, mais qui est écrit au fil de la pensée. Inutile, mais qui apaise. Et qui n'aborde pas tous les sujets qui me mettent en colère en ce moment, pourtant. Ça me laisse une réserve...

Senseo: résoudre le problème de la tasse à moitié pleine

 
Nombreux sont ceux qui constatent, après une période d'utilisation et malgré de fréquents nettoyages, qu'à la longue la Senseo distribue moins de café dans leurs tasses. En effet, alors qu'elle remplissait le récipient il y a quelques mois, désormais, vous n'obtenez plus que la moitié d'une tasse avec une dosette !
Pas de panique, la machine fonctionne encore très bien, et il est même inutile de procéder à un fastidieux détartrage: elle est juste encrassée.
« Mais je la nettoie complètement et c'est toujours pareil », me direz-vous. En effet, en la démontant, on peut nettoyer jusqu'au bec verseur (à faire en cas de dépôt de marc de café dans le fond des tasses). Mais pensez vous à décrasser le porte dosette? Car souvent, c'est de là que vient le problème de la tasse à moitié pleine...

Le conseil que je vous donne quand le cas se présente, est de prendre un cure-dent et un coton tige, et de nettoyer énergiquement la petite grille de fer au centre du porte dosette. Rincez avec une eau sous pression, recommencez autant que nécessaire. Enfin, faites un essai. Dans 9 cas sur 10, vous retrouverez une tasse de café bien remplie et aux saveurs que vous avez connues lors de votre première dégustation.
Comme on m'a posé la question plusieurs fois la semaine dernière, je me suis dit qu'un billet sur le sujet ne ferait pas de mal !
 
(Pareillement, si vous venez à détartrer votre machine, rincez bien le porte dosette, c'est souvent lui qui garde l'odeur et le goût du vinaigre blanc...)

lundi 26 août 2013

Je n'ai plus d'eau chaude !

 

Les fréquents déplacements de population nomade dans mon secteur sont généralement suivis de coïncidences concernant les câbles électriques. Ici, il s'agit de la détérioration d'un poste EDF, important puisqu'il régule le sud d'Arras, auquel on aura donc volé des câbles. Je ne m'attarderais pas sur qui a fait quoi mais au final, sans que les habitants ne soient impactés par des coupures, il s'est passé quelque chose de bien plus sournois:

D'après le communiqué de la Voix du Nord, les utilisateurs se seraient vus bloqués en position heure creuse. Sauf que. En réalité, c'est en m'apercevant que je n'avais plus d'eau chaude que je compris que la bascule ne se faisait plus. En effet, le cumulus est programmé pour chauffer la nuit sous des tarifs plus adaptés. La bascule n'ayant pas lieu, ce week-end, j'ai fini mon ballon d'eau chaude et... les douches sont devenues froides ! Et mon compteur EDF tourne exclusivement en heure pleine. Je vous laisse imaginer la facture si le dérangement continue. A priori, les réparations seront faites ce mercredi. Dans quelques jours, il faudra vérifier puis appeler EDF pour leur demander quels dispositions existent pour indemniser car le contrat que j'ai avec eux, qui prévoit heures pleines et heures creuses, n'a pas été respecté... Ça promet, et je suis loin d'être assuré d'obtenir un quelconque dédommagement...

Cette année, ça fait deux fois que je connais des désagréments consécutifs au vol de câbles. Un phénomène qui est connu partout. Avec le hasard des populations nomades qui, pas de bol, sont toujours dans le secteur quand ça arrive. Foutue stigmatisation !

mercredi 21 août 2013

Arras, une ville qui se meurt

 

A Arras, comme partout, l'été, innovations et plage se mêlent à la ville endormie: cette année, la mairie a décidé de mettre un petit train en place, pour que les touristes puissent, gratuitement, faire le tour de la ville. Partout, on croise aussi des calèches, certaines pour le transport de visiteurs, d'autres pour le ramassage des cartons comme celle que j'ai pu croiser hier en fin d'après-midi. Le cheval est donc à l'honneur.

Depuis que l'ancien maire (modem) a laissé sa place à son adjoint UMP, les décisions d'aménagement de la ville, de ses infrastructures et des animations laissent songeur, si ce n'est râleur: dans certains quartiers on a abattus des arbres centenaires, dans d'autres on a réalisé de nouvelles voies de circulation contraignantes, avec des bordures si hautes que les riverains ne peuvent plus stationner; à la Citadelle, on a détruit l'entrée du bois et on laisse pousser des mauvaises herbes...

Hier, je suis passé par le centre-ville. Et partout, dans les petits commerces, des panneaux « à louer » ou « à vendre ». L'installation du grand centre commercial Auchan à la périphérie est peut-être responsable d 'une partie de la désertification du centre ville, néanmoins ces dernières années j'avais pu constater que nombreux étaient les commerces à tenter de s'installer. Divers, conceptuels, variés: hélas, seuls ceux situés idéalement sur les places survivent, grâce à la fréquentation touristique et au cadre exceptionnel. Les autres, vivotent un an, le temps des exonérations de charges, victime à la fois des difficultés de stationnement en ville (pas de navette P+R à Arras et tous les parkings du centre sont payants !), et des charges étonnamment élevées – on parle d'une immense taxe en fonction de la taille des pancartes de nom du magasin. L'arrivée en masse d'agences immobilières (qui elles-même, ont du mal) et des banques, a dénaturé le paysage commercial du centre d'Arras, pour au final ne laisser que désuétude.

Aux prochaines municipales, une partie du programme des candidats devra viser à raviver la flamme du centre ville, en favorisant les commerces, l'accès à ceux-ci, et à la vie urbaine. A côté de ça, le projet d'aménagement de la Citadelle en quartier de vie semble bancal, on s'étonne même qu'avec une histoire aussi importante, et la proximité de nombreux sites (Carrière Wellington, mur des fusillés...) la municipalité n'aie pas profité du lieu pour y installer un musée de la Première Guerre Mondiale ! Ah, et le projet de grand complexe cinéma connait une attente folle auprès des habitants qui n'ont vu se créer que le complexe Aquarena, suite à une promesse de campagne ignorée après les dernières élections...
 
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Derrière ces murs, pourquoi pas un musée ?
Et avec le parking récemment créé à proximité, pourquoi pas... un ciné?
 
Loin de moi désormais, puisque j'ai fuit la ville et ses impôts exorbitants (si !) vers une campagne plus adaptée à mes finances et à mon bien être, je n'en demeure pas moins Arrageois de cœur et j'espère que les prochaines élections sauront faire la part belle à redorer le dynamisme d'une ville qui se meurt un peu plus chaque jour...

lundi 19 août 2013

Un air de Lolobobo?

L'original

La copie: Champignons farcis au Boursin, jambon, et gratinés au gruyère...

On vit plus vieux, on meurt plus jeune, encore.

 
Et de trois. Voilà que j'apprends ce matin le décès surprise d'un collègue, proche collaborateur, à l'âge de 59 ans. Cet homme était respecté, apprécié, pour sa personnalité et son intégrité. Un gars vraiment bien. Victime d'un malaise cardiaque, à ce qui se dit.
Je déprime complément, là. Trois décès de proches, âgés entre 59 et 62 ans, en un mois de temps. Je me retourne vers ce(s) gouvernement(s) qui nous répètent encore inlassablement qu'on vit plus longtemps, et qu'on peut donc bosser plus longtemps. La preuve que non. Dans ma société microcosmique, les statistiques effraient. On meurt, jeune, sous la pression de résultats et de responsabilités, bouffés par les soucis, le stress et la solitude, trop souvent. Bordel, politicards de tout bord, ouvrez les yeux: la retraite n'est pas un chemin doré, accessible à tous. La retraite est élitiste, comme vous.. Le peuple français qui travaille le sait bien, lui. A un moment, faut arrêter de pousser. Mais de là à ce que vous le compreniez, politicards, je serais sans doute, moi aussi, six pieds sous terre...

Repose en paix, Claude. Toi qui donnait tout ton être dans ton travail, qui le faisait parfaitement, et qui ne connaitra jamais la quille, celle que tu attendais impatiemment.

samedi 17 août 2013

Dans les mines

Pas eu le temps de bloguer hier, malgré l'envie: des obligations familiales m'auront tenu la journée. Malgré tout, ces obligations nous ont fait passer dans un coin que je ne vous ai jamais présenté, j'en ai profité pour prendre deux photos depuis la rocade minière... Nous sommes à l'entrée d'un coin de ma région qu'on appelle, sobrement, les mines.

Chevalet de Liévin

Terrils de Bruay

jeudi 15 août 2013

mardi 13 août 2013

Encore de quoi écoeurer de la politique...

 
On lit de ces choses... Alors voilà que certains députés (Henri Guaino, pour ne pas le citer) se plaignent de leurs conditions de travail, des rémunérations basses et du rythme imposé. Mais dans quel monde vivent-ils? 7000 euros bruts par mois hors indemnités, ça ne les motive pas à bosser un peu? Si vraiment il leur est insupportable de travailler comme ça, je leur rappelle leur droit à la retraite à partir de 60 ans: ils peuvent partir ! Laisser la place à d'autre, si c'est trop dur. Après tout, ils choisissent de se présenter aux élections, non? Allez, moi je veux bien participer aux séances à l'Assemblée en échange de 50% de leur salaire. Si ce n'est que ça. Rappelons leur qu'un ouvrir en usine payé au Smic ne passe pas son temps assis derrière un bureau, est usé physiquement par ses « 35 » heures officielles, et aurait plus de raison de se plaindre des 1000 euros qu'il touche que nos amis députés, qui m'écœurent de la politique de plus en plus: gros plaigneux, petit faiseux. Les ch'tis comprendront.
 

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Chut, siouplé...

 
Quelle horreur d'avoir un voisin de travail qui hurle constamment. Ce n'est même pas sa faute, il ne s'en rend pas compte. Mais systématiquement, outre le fait qu'il coupe tout le temps la parole, il s'énerve au téléphone en balbutiant trois mots, hésitant, répétant sans cesse la même chose... en criant. Il parle si fort qu'il agace surement les étages supérieurs. On a beau lui dire de la mettre en sourdine, avant, pendant et après ses communications, il le sait mais chassez le naturel...
C'est horrible. Une heure passe comme sept, je ne vous explique pas la fatigue qui s'ensuit...

vendredi 9 août 2013

Ces vieux jeux de foot qu'on aimait tant...

Séquence nostalgie à la reprise de la Ligue 1 ce soir, avec un tour d'horizon non exhaustif de quelques jeux qui ont marqué ma jeunesse...


L'inoubliable FIFA, sa vue en diagonale, ses internationaux et pour la première fois, les noms des vrais joueurs !

La simulation ultime, International Superstar Soccer, sans la licence FIFA mais avec une animation des joueurs exceptionnelle


L'incroyable Sensible Soccer, ses ligues à gogo, son jeu dynamique et son ambiance unique


Et Super Soccer, qui j'avoue, ne m'aura pas marqué plus que ça...

Et vous, vous jouiez à quoi???


La tête dans les étoiles

 

Si les nuages ne sont pas trop présents ce soir, je mettrais peut-être le bout du nez dehors pour observer le ciel. Car ce soir, c'est la nuit des étoiles, aussi bien à la télé où évolueront les nouvelles étoiles de la Ligue 1, que dehors où on devrait profiter un peu des beautés de l'espace. Je lèverai les yeux vers la voie lactée, au milieu de mon jardin perdu dans la campagne, et j'observerais pour distinguer d'un coin de l'œil le passage d'une étoile filante. Je regarderais Vénus briller de toute sa splendeur au nord, chercherai les constellations qui ont bercé ma jeunesse.

L'espace, le temps, la conquête de l'univers et de son infinité. Se sentir tout petit, et pourtant faire partie d'un tout, harmonieux, en perpétuel mouvement.

 
Quand j'étais gosse, au village, le fils de mon instit était féru de tout ça. Au stade de foot, dans le marais, il y avait un petit bâtiment en béton, qui servait d'observatoire. Le toit en acier coulissait, et les télescopes attendaient. Lors des premières éditions de la Nuit des étoiles, je me rendais là-bas et il me transmettait sa passion. Le calme d'une nuit d'été, les mystères que garde encore le ciel, tout ça m'est resté et me passionne: j'aime en apprendre là-dessus. Alors oui, ce soir, je suivrai d'un œil la Ligue 1, mais mon esprit sera, lui, là-haut, dans les étoiles.

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jeudi 8 août 2013

Google Map: Les jolis coins de mon coin

 

Dans l'impossibilité de partir en vacances, je vois partir tout le monde, copains comme collègues. Je les vois revenir aussi, et me demander « et toi, c'est pour quand tes congés ? ». Avec agacement, je réponds « le plus tard possible », puisque Marge n'en bénéficiant pas, nous n'avons pas d'impératif et ne partirons pas en vacances. Seuls, les travaux à réaliser à la maison pour améliorer encore notre confort de vie, nous occuperons pendant mes congés.

Et je profiterai désormais du nouveau Google Map pour m'offrir des sorties pas trop loin de chez moi, pas trop couteuses et surtout, pas trop moches: en effet, la nouvelle version permet de survoler un région avec son curseur, et propose, en bas de page, une galerie photos avec les jolis coins de mon coin ! Ainsi, il est facile d'organiser une sortie dans un rayon proche de chez nous pour découvrir des beautés naturelles insoupçonnées, qui feront baver d'envie nos amis. Pratique, la version propose même, en mettant le curseur sur l'image du bas, de la localiser sur la carte !

Dernièrement, vous aurez ainsi pu découvrir sur l'annexe mes sorties à Beaumont Hamel (à peine à 15 bornes) où on trouve un mémorial Terre-Neuvien, ou encore en Baie de Somme (un peu plus loin, 1h30 de route) où nous aurons vu des phoques à l'état sauvage.
Bien sur, tout ça n'enlève rien aux priorités de bosser à la maison, mais une coupure pour changer d'air de temps en temps, ça fait du bien et ça nous permet de se croire un tout petit peu en vacances...

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On aura de quoi suggérer de belles visites aux copains baroudeurs qui viendraient nous voir un jour dans le Pas-de-Calais !

lundi 5 août 2013

Début de semaine en bronzage "chaussette"

 

Après ma petite virée du week-end, dont vous trouverez des photos sur l'annexe, Marge et moi nous sommes motivés à bosser dehors. Résultat: de beaux coups de soleil. Et le plus typique du genre: la chaussette. Parce qu'on sort en short, c'est bien, mais mes chaussettes un peu trop remontées, c'est flop. Une fois enlevée, on distingue bien la marque de bronzage toute rouge, et ma cheville toute blanche. La honte. Je suis pas prêt de mettre des socquettes...

Avec tout ça on s'est éloigné de l'actu et des tracas de famille pendant deux jours: un, passé en Baie de Somme, l'autre, dans le jardin à creuser un décaissement de dalle. Du beau boulot, je suis content, un week-end bien plein. En soirée, j'ai pu regarder le RC Lens remporter sa première rencontre. Laborieux, le temps que la mayonnaise prenne, mais une équipe qui a imposé sa présence, c'est bien. Lens c'est du costaud cette année. Quand les milieux de terrain prendront plus de risques, ça va faire mal !

A présent, retour au train-train quotidien. Avec parfois de petites phrases, de petits gestes, qui tentent d'allumer l'incendie. Mais on reste zen, chacun sa vie, non?

jeudi 1 août 2013

La blague con

C'est un gars qui s'appelle Douyou. Il tombe dans un trou, au fond y'a un cactus.
Un autre type arrive et demande "Do you speak English?"
"Bah non, Doyou s'pique le cul".
 
C'est con.

Ce que j'ai compris du Sarkothon...

 

Dans les grandes lignes, le candidat UMP à la dernière présidentielle a dépensé plus que le montant autorisé pour sa campagne. Du coup, ses comptes ont été retoqués et voilà le parti dans l'obligation de rembourser 11 Millions d'euros dans les plus brefs délais, sous peine de faillite. Donc, on appelle ledit candidat retraité en veille, qui, accueillit en messie, demande aux gens d'ouvrir leur porte monnaie: ça tombe bien, les plus riches votent UMP. Ceux-ci déboursent donc, par chèque. D'autres, non cartés, paient en ligne et du coup, deviennent adhérents sans le savoir. Enfin, on se rapproche de la date butoir, on obtient une rallonge et on reste autour de 9 millions pour le moment.

J'en pige donc que les sympathisants UMP sortent des millions pour sauver leur parti mais râlent quand les impôts qui renflouent l'État augmentent. Et qu'ils sont invités à payer pour les erreurs de gestion de leur candidat. Et qu'ils le font, en plus. Ça me paraît un peu benêt...
Remarque, ils ont dû oublier les cinq dernières années... Je comprends mieux le combat mené par Nicolas Sarkozy contre Alzeihmer !

Alors qu'en y repensant d'autant plus, vu le déficit incroyable dans lequel la France a été laissée alors qu'elle était sous le règne UMPesque pendant cinq ans, on aurait pu se douter que l'argent et eux, ça faisait trois. Bah, j'dis ça... j'ai surement rien compris.