"Nicolas Sarkozy s'est dit "prêt à aller à une crise en Europe plutôt que d'accepter le démantèlement de la Politique agricole commune (PAC), plutôt que d'accepter que soit laissée à la spéculation le soin de fixer de façon erratique des prix agricoles qui ne permettraient plus à nos agriculteurs de vivre décemment du fruit de leur travail". (source)
Pour une fois, je suis d'accord avec lui. Mais j'apporte un bémol: cette année, les difficultés de la filière laitière et élevage ont obligé le gouvernement à proposer un plan d'aide d'un milliard d'euros, pour permettre aux exploitants de vivre, simplement, sans mettre la clé sous la porte. Ces aides prenaient la forme, au final, d'une exonération des cotisations... qu'il faudra de toute façon rembourser, non pas à l'organisme qui les appelle habituellement (la MSA), mais à l'Etat ! En gros, on ne fait que reporter les difficultés financières des agriculteurs à plus tard, en espérant que tout s'arrange.
L'espoir. Le fil conducteur de la croissance.
Pour une fois, je suis d'accord avec lui. Mais j'apporte un bémol: cette année, les difficultés de la filière laitière et élevage ont obligé le gouvernement à proposer un plan d'aide d'un milliard d'euros, pour permettre aux exploitants de vivre, simplement, sans mettre la clé sous la porte. Ces aides prenaient la forme, au final, d'une exonération des cotisations... qu'il faudra de toute façon rembourser, non pas à l'organisme qui les appelle habituellement (la MSA), mais à l'Etat ! En gros, on ne fait que reporter les difficultés financières des agriculteurs à plus tard, en espérant que tout s'arrange.
L'espoir. Le fil conducteur de la croissance.
Vive l'agriculture! Qu'est-ce qu'elle fait la dame, elle masturbe un taureau?
RépondreSupprimerVive l'agriculture ! Vive la masturbation des taureaux.
RépondreSupprimerVive l'agriculture ! ...heu...vive l'agriculture !
RépondreSupprimer;^)
Vive tout ça !
RépondreSupprimerOuep.
Qui veut du lait?
C'est bien du lait?
Il me semble que le problème du lait, par exemple est l'émanation d'un problème dont on ne parle pas du tout ou qu'on feint d'ignorer : le poids trop important de la grande distribution dans le commerce. Ce sont les centrales d'achat qui imposent des prix trop bas aux agriculteurs et c'est là dessus qu'à mon sens il faut agir !
RépondreSupprimer:-))