Car c'est ainsi que l'artiste s'est amusé à surnommer la salle de Spectacle de la ville, aux murs ornés de briques rougeâtres surement passés de mode.
Il est rare que je gagne quelque chose laissé au sort du hasard, et pourtant hier soir, j'ai été l'heureux gagnant de deux places pour le spectacle de Stéphane Guillon au Casino d'Arras (par le biais de l'excellent journal local, l'Observateur). C'est donc avec plaisir que j'ai pris part aux propos acerbes, morbides, critiques et pourtant si vrais du comique qui monte. L'humour noir, c'est mon dada, et le sien aussi semble t-il. Évidemment, je ne laisse que très peu transparaitre sur ce blog alors que lui en fait son métier. Au point que j'ai rit aux larmes lors de ce spectacle où, entre critique de la société, stéréotype de nous-même, mots durs et imitations se succédèrent pour notre plus grand plaisir.
La salle, comble, offrit à Stéphane Guillon deux standing ovations, ce qui peut paraitre exceptionnel dans une ville comme Arras, particulièrement bourgeoise. Bref, quand un artiste est capable de décrisper nos visages marqués par les événements de notre époque, on ne peut qu'aller le voir et encourager les siens à faire de même !
Il est rare que je gagne quelque chose laissé au sort du hasard, et pourtant hier soir, j'ai été l'heureux gagnant de deux places pour le spectacle de Stéphane Guillon au Casino d'Arras (par le biais de l'excellent journal local, l'Observateur). C'est donc avec plaisir que j'ai pris part aux propos acerbes, morbides, critiques et pourtant si vrais du comique qui monte. L'humour noir, c'est mon dada, et le sien aussi semble t-il. Évidemment, je ne laisse que très peu transparaitre sur ce blog alors que lui en fait son métier. Au point que j'ai rit aux larmes lors de ce spectacle où, entre critique de la société, stéréotype de nous-même, mots durs et imitations se succédèrent pour notre plus grand plaisir.
La salle, comble, offrit à Stéphane Guillon deux standing ovations, ce qui peut paraitre exceptionnel dans une ville comme Arras, particulièrement bourgeoise. Bref, quand un artiste est capable de décrisper nos visages marqués par les événements de notre époque, on ne peut qu'aller le voir et encourager les siens à faire de même !
c'est vrai que j'etais mort de rire. Moi je ne loupe pas ses chroniques du matin sur dailymotion, celle sur Besson etait excellente :)
RépondreSupprimerBravo ! tu as eu de la chance, Guillon est effectivement à mourir de rire !
RépondreSupprimerJ'ai en projet d'aller le voir à Bruxelles quand il y passera et que mes finances auront fini de faire de l'humour noir pas drole !
RépondreSupprimer:-))
[Anecdote du blogueur : j'ai regardé la video et mon Mac Mini qui surchauffe depuis quelques temps a décidé de se mettre en pause juste avant la conclusion du texte. C'est parce qu'il dépasse les 53° maxi qu'il se protège en se mettant en veille. Lassé du manège qui dure depuis trop longtemps, je me suis lancé dans le démontage intégral du Mac Mini ce qui ne semble pas une mince affaire quand on sait que l'engin n'est clos par aucune vis apparentes ! J'ai cherché sur internet (grâce au portable de ma copine absente) et trouvé un "pas à pas" sur un site. Finalement ce n'est pas si difficile avec les explications sous les yeux. Une spatule à droite, une spatule à gauche et le boîtier sort de ses gonds. Trois vis liliputiennes à oter, un cable à déscotcher et l'affaire est faite : effectivement, un gros tas de poussière entourait le ventilo et donc le microprocesseur. Un coup de pinceau, un nettoyage complet du ventilo et hop, remontage et tout fonctionne.
Incroyable ce silence quand le ventilo ne ventile plus !!! :-)))
Et me revoilou pour commenter. Tu te rends compte de l'effort pour arriver ici !?!].