Hier, lors d'une promenade qui se voulait fort agréable dans le centre-ville d'Arras, et alors que le soleil avait chauffé cette après-midi printanière, Marge et moi nous sommes arrêtés devant plusieurs agences immobilières. A la recherche passive d'une maison, on regarde depuis quelques jours ce qui correspondrait à notre budget. Il était 19h30, les agences étaient fermées, et même ce type chez Avis remballait ses cartons dans sa voiture après une journée de travail bien longue. Je constatais la sueur auréolant ses aisselles, me moquant un peu de lui au travers de la baie vitrée où il affichait ses offres. Alors qu'on regardait plus attentivement un éventuel futur château, il sortit et dit ce qu'on enseigne généralement dans toutes les écoles de commerce: "Je peux vous aideeeer?"
Difficile d'y échapper. Il nous fît alors rentrer dans le local d'où se dégageait une agréable odeur. Surement pour couvrir la sueur. Puis, il commença à poser quelques questions bateau, ce qu'on recherchait, notre budget... Moi, tout ce que je remarquais, c'est qu'il puait littéralement de la bouche. Pas moyen de me concentrer, je passais la majeure partie de l'entretien à fixer le sol et à respirer doucement - par la bouche. Normal qu'il mette un désodorisant d'intérieur, il doit couvrir ses remontées gastriques ! Il proposa tout type de maison dans l'agglomération, mais comme j'étais pas là pour acheter, je n'étais pas attentif. Je ne cherchais qu'à abréger ce faux rendez-vous qu'il prendrait sur ses heures perso pour vendre une maison à des jeunes qui n'étaient même pas prêts. Il nota deux trois trucs, s'engagea à faire des recherches pour nous... Je préférerais éviter les agences immobilières, trop chères. Tout content, il nous raccompagna enfin à la sortie pour qu'on puisse terminer notre balade, dehors.
A mon avis, ce vendeur là est peu concluant. Pour qu'il en soit au point d'attraper les promeneurs pour étudier leur cas, c'est qu'il connait vraiment la crise...
Difficile d'y échapper. Il nous fît alors rentrer dans le local d'où se dégageait une agréable odeur. Surement pour couvrir la sueur. Puis, il commença à poser quelques questions bateau, ce qu'on recherchait, notre budget... Moi, tout ce que je remarquais, c'est qu'il puait littéralement de la bouche. Pas moyen de me concentrer, je passais la majeure partie de l'entretien à fixer le sol et à respirer doucement - par la bouche. Normal qu'il mette un désodorisant d'intérieur, il doit couvrir ses remontées gastriques ! Il proposa tout type de maison dans l'agglomération, mais comme j'étais pas là pour acheter, je n'étais pas attentif. Je ne cherchais qu'à abréger ce faux rendez-vous qu'il prendrait sur ses heures perso pour vendre une maison à des jeunes qui n'étaient même pas prêts. Il nota deux trois trucs, s'engagea à faire des recherches pour nous... Je préférerais éviter les agences immobilières, trop chères. Tout content, il nous raccompagna enfin à la sortie pour qu'on puisse terminer notre balade, dehors.
A mon avis, ce vendeur là est peu concluant. Pour qu'il en soit au point d'attraper les promeneurs pour étudier leur cas, c'est qu'il connait vraiment la crise...
Peut-être qu'il t'avait pris pour un dentiste plein de pognon.
RépondreSupprimerOu pour un gastro-entérologue ...
RépondreSupprimerEt encore, il se tenait derrière son bureau (burp!)!
RépondreSupprimerLe pire, c'est que quand je cherchais une maison il y a un an, les vendeurs ne prenaient même pas la peine de nous appeler. C'était à nous de les démarcher.
RépondreSupprimerLes temps ont bien changé en moins d'un an...
Tizel
Tu devrais te munir de bonbons à la mente à l'avenir, pour offrir aux agents immobilier dans ces circonstances (en fait c'est simplement l'haleine des carnassiers).
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