Je ne loupe aucun épisode de Pékin Express, cette année. Déjà parce que j'adore la Chine, j'espère qu'ils y arriveront bientôt... et aussi parce que j'attend sans cesse ce moment où nous verrons l'homme face à son instinct animal, ce moment où la tension à son comble, il ne pourra pas faire autrement que d'aller faire caca dans les buissons !
Parce que ça doit pas être évident de traverser un marais infesté de caimans et d'avoir envie, soudainement, de laisser sortir le cigare. L'être humain normal a envie une fois par jour, c'est une moyenne certifiée par Attention à la Marche. Or, voilà des semaines que les candidats de Pékin Express parcourent le Brésil sans avoir jamais fait une pause "grosse commission". Et ça se comprend, ils passent des heures dans des voitures qui puent le bovin, traversent des régions infestées d'insectes en tout genre : je ne dévoilerai pas non plus la partie charnue de mon corps, au risque de me faire piquer là ! Alors les voilà, fiérement constipés, qui font du stop au soleil. Qui pataugent dans les marais. Qui s'amusent à y faire des pets, ça fait des bulles, c'est rigolo. Y'a pas, Pékin Express c'est la grande aventure !
Si j'étais un Brésilien qui choisit d'héberger un duo de ce jeu, je me méfierais qu'il ne refasse pas illico la déco de mes waters. Parce que c'est de l'instinct de survie : une oclusion intestinale et pas de proctologue à mille lieues à la ronde, c'est fatal ! Alors je les imagine qui avancent, la sueur collée au front ,le caleçon collé à... euh, leurs fesses - on va dire - à la recherche non pas d'un drapeau rouge mais d'un rouleau rose qui soulagera leur tension du moment. Et là, c'est le drame : au coeur de la jungle, pas de papier à l'horizon, les feuilles de palmier sont trop lisses et étalent tout, et le moindre pipi disgracieux entraine une piqûre de sumac vénéneux qui laissera des traces. Faut en vouloir de Pékin Express.
Au coeur du duo même, qu'il est agréable d'attendre sur le côté de la route que votre copine finisse de couler un bon vieux bronze. Ca change complétement votre vision d'elle. Désormais plus de tabous, vous pourrez péter ensemble, partager les petits coins et recoins, et vous serez peut-être même capable de "sentir le vent venir". Complicité et gros besoins ne sont pas incompatibles. Et peut-être aurez-vous la chance de marcher du pied gauche dans un de ces besoins parfaitement dissimulé sous une feuille de cactus qui irrite, et trainerez vous sous vos tongues le parfum de la victoire !? Qui sait, l'aventure est longue quand on fait PQ Express !!!
Parce que ça doit pas être évident de traverser un marais infesté de caimans et d'avoir envie, soudainement, de laisser sortir le cigare. L'être humain normal a envie une fois par jour, c'est une moyenne certifiée par Attention à la Marche. Or, voilà des semaines que les candidats de Pékin Express parcourent le Brésil sans avoir jamais fait une pause "grosse commission". Et ça se comprend, ils passent des heures dans des voitures qui puent le bovin, traversent des régions infestées d'insectes en tout genre : je ne dévoilerai pas non plus la partie charnue de mon corps, au risque de me faire piquer là ! Alors les voilà, fiérement constipés, qui font du stop au soleil. Qui pataugent dans les marais. Qui s'amusent à y faire des pets, ça fait des bulles, c'est rigolo. Y'a pas, Pékin Express c'est la grande aventure !
Si j'étais un Brésilien qui choisit d'héberger un duo de ce jeu, je me méfierais qu'il ne refasse pas illico la déco de mes waters. Parce que c'est de l'instinct de survie : une oclusion intestinale et pas de proctologue à mille lieues à la ronde, c'est fatal ! Alors je les imagine qui avancent, la sueur collée au front ,le caleçon collé à... euh, leurs fesses - on va dire - à la recherche non pas d'un drapeau rouge mais d'un rouleau rose qui soulagera leur tension du moment. Et là, c'est le drame : au coeur de la jungle, pas de papier à l'horizon, les feuilles de palmier sont trop lisses et étalent tout, et le moindre pipi disgracieux entraine une piqûre de sumac vénéneux qui laissera des traces. Faut en vouloir de Pékin Express.
Au coeur du duo même, qu'il est agréable d'attendre sur le côté de la route que votre copine finisse de couler un bon vieux bronze. Ca change complétement votre vision d'elle. Désormais plus de tabous, vous pourrez péter ensemble, partager les petits coins et recoins, et vous serez peut-être même capable de "sentir le vent venir". Complicité et gros besoins ne sont pas incompatibles. Et peut-être aurez-vous la chance de marcher du pied gauche dans un de ces besoins parfaitement dissimulé sous une feuille de cactus qui irrite, et trainerez vous sous vos tongues le parfum de la victoire !? Qui sait, l'aventure est longue quand on fait PQ Express !!!
Mort de rire !
RépondreSupprimerEn plus, ils n'ont jamais le temps avec PQ express !
:-)))
Très bon article Homer !
:-))
Homer et Balmeyer ce sont les mêmes non ? en tous les cas même genre et même humour : encore !j'en redemande ;-))
RépondreSupprimerC'est un aspect du jeu que... comment dire... je n'avais pas étudié.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerArticle très drôle
RépondreSupprimerOn pourrai taussi dire que l'émission a aussi énormement de succés en afghanistan, au magreb, en roumanie,au mali, en chine...
Chez eux ça s'appelle "Sangatte Express" et c'est plus dur et plus spectaculaire : saut d'immeuble, course poursuite, racket, maladie,...
Bref, l'emission française est assez dégoutante au regard de ce qui ce passe chez nous.