Complètement à la bourre dans
l'actualité ! Dans l'impossibilité ces temps-ci de regarder les
infos, je me contente de survoler à la fois Google Actu et les
blogs. Et pourtant mon temps n'est pas accaparé par l'achat d'un
nouveau jouet (que j'aimerais bien que le Père Noël m'apporte
mais...).
C'est avec stupeur que je découvre ce
matin les lignes de l'information nationale, me demandant si le monde
tourne encore rond.
J'apprends qu'il y a des failles
dans le dépistage du Sida et que 50 000 Français ignorent être
infectés par le virus. Si ma mémoire est bonne, son mode de
transmission est exponentiel, potentiellement, non? Et on envisage
quoi pour ces 50 000 là?
On espère qu'ils font partis des
chômeurs
d'octobre, histoire
de faire baisser les chiffres? Après tout, comme je disais hier
chez Val le Nain, le gouvernement n'a jamais vraiment fait de
l'emploi sa priorité. A peine parvient-il à laisser bosser ceux qui
travaillent déjà.
Les autres n'ont qu'à entrer dans les
ordres. Quoi qu'il n'y fait pas bon. Encore
une histoire de clergé catholique pédophile. Ça devient
traditionnel. Il faudrait peut-être essayer de remédier à cela. Je
ne comprendrais jamais les papes qui prêchent encore pour le célibat
des prêtres... Je ne sais pas si ce genre d'histoire arrive dans les
autres religions, mais en tout cas ça reste plus discret, mais pas
moins dégueulasse.
J'évite soigneusement de lire les
articles sur les
railleries constantes entre UMP et PS. Ces histoires de gamins
décrédibilisent la politique et lassent les français. Après on
s'étonne des scores des autres candidats ou du taux d'abstinence?
Bon j'arrête là sur la politique, d'autres en parlent déjà.
Je ne déborde pas plus sur l'économie.
Il se passe des choses graves dans une crise conjointement déclenchée
par la propension des États à dépenser à tort et à travers (avec
une mode du « faites ce que je dis, pas ce que je fais »)
et amplifiée par les agences
de notation qui contrôlent les tendances boursières.
Entre deux faits divers, le moral a des
raisons d'être en berne. C'est peut-être aussi pour ça
qu'inconsciemment, je m'éloigne de tout ça. Ailleurs, on peut
encore trouver des raisons d'être heureux, non? Par exemple, une
petite joie de découvrir le Doodle ce matin. Finalement, le soleilse lève encore, chaque jour.
Non, vous ne verrez pas mes fesses. Pas cette fois.
Tu as raison. Mieux vaut foutre le journal au feu et contempler les lueurs du soleil levant sur les brumes d'automne.
RépondreSupprimerUn peu de poésie, ventrebleu!
exact !
RépondreSupprimerPareil, je n'ai plus le temps de suivre l'actualité (et les blogs, d'ailleurs, puisque je constate que ce billet est d'hier).
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