mercredi 30 novembre 2011

Revue de presse (mes fesses !)


Complètement à la bourre dans l'actualité ! Dans l'impossibilité ces temps-ci de regarder les infos, je me contente de survoler à la fois Google Actu et les blogs. Et pourtant mon temps n'est pas accaparé par l'achat d'un nouveau jouet (que j'aimerais bien que le Père Noël m'apporte mais...).
C'est avec stupeur que je découvre ce matin les lignes de l'information nationale, me demandant si le monde tourne encore rond.
J'apprends qu'il y a des failles dans le dépistage du Sida et que 50 000 Français ignorent être infectés par le virus. Si ma mémoire est bonne, son mode de transmission est exponentiel, potentiellement, non? Et on envisage quoi pour ces 50 000 là?
On espère qu'ils font partis des chômeurs d'octobre, histoire de faire baisser les chiffres? Après tout, comme je disais hier chez Val le Nain, le gouvernement n'a jamais vraiment fait de l'emploi sa priorité. A peine parvient-il à laisser bosser ceux qui travaillent déjà.
Les autres n'ont qu'à entrer dans les ordres. Quoi qu'il n'y fait pas bon. Encore une histoire de clergé catholique pédophile. Ça devient traditionnel. Il faudrait peut-être essayer de remédier à cela. Je ne comprendrais jamais les papes qui prêchent encore pour le célibat des prêtres... Je ne sais pas si ce genre d'histoire arrive dans les autres religions, mais en tout cas ça reste plus discret, mais pas moins dégueulasse.
J'évite soigneusement de lire les articles sur les railleries constantes entre UMP et PS. Ces histoires de gamins décrédibilisent la politique et lassent les français. Après on s'étonne des scores des autres candidats ou du taux d'abstinence? Bon j'arrête là sur la politique, d'autres en parlent déjà.
Je ne déborde pas plus sur l'économie. Il se passe des choses graves dans une crise conjointement déclenchée par la propension des États à dépenser à tort et à travers (avec une mode du « faites ce que je dis, pas ce que je fais ») et amplifiée par les agences de notation qui contrôlent les tendances boursières.
Entre deux faits divers, le moral a des raisons d'être en berne. C'est peut-être aussi pour ça qu'inconsciemment, je m'éloigne de tout ça. Ailleurs, on peut encore trouver des raisons d'être heureux, non? Par exemple, une petite joie de découvrir le Doodle ce matin. Finalement, le soleilse lève encore, chaque jour.  

Non, vous ne verrez pas mes fesses. Pas cette fois.

3 commentaires:

  1. Tu as raison. Mieux vaut foutre le journal au feu et contempler les lueurs du soleil levant sur les brumes d'automne.
    Un peu de poésie, ventrebleu!

    RépondreSupprimer
  2. Pareil, je n'ai plus le temps de suivre l'actualité (et les blogs, d'ailleurs, puisque je constate que ce billet est d'hier).

    RépondreSupprimer

Hop, on met un p'tit mot pour suivre le débat ou encourager le mec qui passe son temps à taper ces lignes, mais surtout: on s'identifie ! Ici ne sera plus accepté de commentaire anonyme, alors la moindre des choses est de se trouver un pseudo rigolo.
Ne mettez rien de désobligeant, vulgaire ou irrespectueux et n'insultez pas les autres commentateurs. Merci !