Yahia, Démont, et même le président Martel: tous poussent la gueulante, il faut se bouger, se faire mal. C'est pas tout de le dire. Lens est un club qui n'a pas un mauvais effectif, qui est capable de beau jeu. On l'a vu cette saison, à petite dose. Trop petite. La spirale des défaites entame le moral, et fait ressurgir les spectres.
Le staff est une surprise qui ne convainc pas les supporters: trois entraineurs déguisés, Santini, Leclerc et Wallemme. C'est confus, et loin d'être efficace. Peut-être leur faut-il un préparateur mental, un profiler?
Alors dans les tribunes, le moral n'y est plus, même si le soutien demeure sans faille. On a peur de revivre la Ligue 2, de jouer contre Tours... Sur le terrain, la tension monte, entre les joueurs. Et pourtant, si cette pression était bien exploitée, le club en sortirait avec la gniak suffisante et utiliserait sa fougue et son envie, solidaire, qui le définit par essence, pour gagner des matches et respecter le public qui les suit partout en France.
On a envie d'y croire.
A eux de jouer.
Et voilà comment, attirée par le couple sang et or, je me retrouve sur un billet de foot alors que je pensais lire un fan des Dragons Catalans.
RépondreSupprimerMerci les RT à la jegoun!
:)
je connais ça avec l'OL :)
RépondreSupprimerBon courage. C'est mauvais ce qu'il se passe en ce moment, avec des joueurs qui n'ont pas le niveau, qui plombent le club avec des contrats faramineux, et un effectif limité...
RépondreSupprimerBon courage !
Bon courage, je connais ça!
RépondreSupprimerJe suis vraiment surpris. Les lensois retombent-ils dans une mauvaise passe ?
RépondreSupprimerAllons, allons, gardez le moral, c'est simplement une affaire de crampons mal cirés.
RépondreSupprimerIci, le foot fait vivre tout un département, particulièrement pauvre de plus, le secteur minier autour de Lens. Le Racing, c'est du baume au coeur de ceux qui l'ont sur la main, malgré leur pauvreté.
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