Qu'il est agréable de se promener en soirée, quand il fait aussi beau et chaud que ces jours-ci. Le calme estival s'installe, les gens s'amusent et ont le sourire. Il aurait été dommage de ne pas sortir, ce lundi, dans les rues d'Arras que nous ne connaissons pas. Alors, Marge et moi sommes allés faire un tour dans une cité pas loin de l'appartement, cadre de verdure loti de belles demeures.
L'endroit est reposant, déstressant. Les bâtisses sont superbes, elles inspirent. Ce quartier est surement l'un des plus riches d'Arras, et sa situation proche du centre et des grands axes n'enlève rien à l'ambiance campagnarde qui s'en dégage. La balade y est agréable, mais la nuit tombant déjà, il était temps de rentrer. Pour cela, nous empruntâmes l'avenue Kennedy, grande rue bordée de maisons aux grandes façades qui amène directement au carrefour qui, une fois traversé, mène directement chez nous. Le trottoir est en ligne droite, jonché de quelques poubelles. Et c'est l'une d'entre elle qui le cachait. Un chien énorme et poilu, genre de Colley bien méchant, a surgi de nulle part et a parcouru en aboyant les 150 mètres qui le séparaient de nous. N'écoutant que... ma folie, je criais à Marge de fuir, et je restais toujours face à la bête. Ne tourne jamais le dos à l'ennemi. Alors que Marge s'éloignait, je tentai une prise de kung fu que m'a appris Jackie Chan dans un film, avec moins de succès puisque mon pied effleurait à peine les narines du monstre.
Se prendre une basket dans la tronche sembla néanmoins lui faire de l'effet (ou était-ce de m'entendre hurler "Arrête" d'une voix ferme de militaire averti, inspiré des meilleurs répliques de Stallone), puisque le chien cessa de tenter de mordre et battit en retraite. Il n'alla pas bien loin, juste le temps pour moi de blêmir complètement face à l'inconscience dont j'avais fait preuve, de rejoindre Marge et de lui conseiller de faire un grand tour pour rentrer chez nous. Non sans regarder par dessus nos épaules, pour être sur de ne pas être suivi. Et sans portable (cassé), pas moyen d'appeler qui que ce soit...
L'endroit est reposant, déstressant. Les bâtisses sont superbes, elles inspirent. Ce quartier est surement l'un des plus riches d'Arras, et sa situation proche du centre et des grands axes n'enlève rien à l'ambiance campagnarde qui s'en dégage. La balade y est agréable, mais la nuit tombant déjà, il était temps de rentrer. Pour cela, nous empruntâmes l'avenue Kennedy, grande rue bordée de maisons aux grandes façades qui amène directement au carrefour qui, une fois traversé, mène directement chez nous. Le trottoir est en ligne droite, jonché de quelques poubelles. Et c'est l'une d'entre elle qui le cachait. Un chien énorme et poilu, genre de Colley bien méchant, a surgi de nulle part et a parcouru en aboyant les 150 mètres qui le séparaient de nous. N'écoutant que... ma folie, je criais à Marge de fuir, et je restais toujours face à la bête. Ne tourne jamais le dos à l'ennemi. Alors que Marge s'éloignait, je tentai une prise de kung fu que m'a appris Jackie Chan dans un film, avec moins de succès puisque mon pied effleurait à peine les narines du monstre.
Se prendre une basket dans la tronche sembla néanmoins lui faire de l'effet (ou était-ce de m'entendre hurler "Arrête" d'une voix ferme de militaire averti, inspiré des meilleurs répliques de Stallone), puisque le chien cessa de tenter de mordre et battit en retraite. Il n'alla pas bien loin, juste le temps pour moi de blêmir complètement face à l'inconscience dont j'avais fait preuve, de rejoindre Marge et de lui conseiller de faire un grand tour pour rentrer chez nous. Non sans regarder par dessus nos épaules, pour être sur de ne pas être suivi. Et sans portable (cassé), pas moyen d'appeler qui que ce soit...
Je vois un scenario digne du genie ed wood !!!
RépondreSupprimerEn tout cas j'ai bien rigolé attaqué par un colley !!!!
Chez nous c'etait plutot un pit et la !!!!
Nico
Remarque, même avec un portable en état, si le chien est en train de t'égorger… ça capte plus!
RépondreSupprimerHomer qui se bat à baskets nues contre un terrible et féroce carnivore (du genre canidé !), c'est épique !
RépondreSupprimerElle a de la chance Marge, d'avoir un tel héros pour homme !!!
:-))
Il ne te draguerait pas le Monsieur Poireau?
RépondreSupprimerBref moi, en grande rédemptrice, je voulais dire que j'adooooooore quand tes posts parlent de ta vie et de tes petits (ou grands!!!) tracas!
Youpi : prendre un simple compliment pour de la drague ! Tu es de la vieille école toi ! Tu as du en vivre, des désillusions !!!
RépondreSupprimer:-)))
Piqué au vif le Monsieur! Ce n'était qu'une petite joke, vous n'avez pas bcp d'humour très cher! A moins que je n'ai touché une corde sensible... Hihihihi! A trop vouloir montrer son Poireau, on se fait griller!
RépondreSupprimer:-))))))))))))))))))))
@tous: c'était pas drôle, j'ai failli me faire bouffer !
RépondreSupprimer@Poireau et Youpi: ça suffit les enfants, allez jouer ailleurs. Ici c'est pour les grands.
Youpi : il y a des ":-))))" pour dire que je me marre !
RépondreSupprimer:-]
ben, dit-donc, quelle aventure !? Je préfère les chats !
RépondreSupprimerComme jeandelaxr, je préfère les chats, au moins, on ne risque pas trop ce genre d'aventures avec les minets mêmes les gros.
RépondreSupprimerC'est sûr qu'un colley, c'est réputé pour sa dangerosité, mdrrr !
RépondreSupprimer@Jeandelaxr et flèche: j'ai pas eu trop le choix ! Si un chat m'attaquait j'aurai vite faire de lui briser la nuque. Mais un gros chien...
RépondreSupprimer@Poison-social: on dit pareil des caniches et pourtant...
@ Jeandelaxr et Fleche
RépondreSupprimerJe me méfie bien plus d'un chat que d'un chien.
La réaction d'un chat traqué peut être redoutable.
@ Homer
Je te mets au défi d'arriver à le choper, déjà, sans qu'il aie le temps de t'agonir de coups de griffes...
:)
(en même temps, je reconnais qu'un chat, si on ne l'emmerde pas, on ne risque rien...)
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