Hier soir, en m'asseyant devant la télé pour regarder la finale de Pékin Express, j'avais l'impression satisfaisante d'une journée bien remplie. Dehors, il faisait lourd, et le ciel chargé n'a pas tardé à tourner à l'orage. Et alors que la pluie tombait, je pointais ma check-list: je n'avais pas oublié d'acheter des places de cinéma, de réserver du matériel pour travailler chez moi, d'aller faire mon Loto. En rentrant, j'étais allé rendre un outil au voisin qui me l'avais gentiment prêté. Je m'étais attablé à mon bureau, avait fait mes comptes, envoyé mon premier fax par Freebox, et réglé deux ou trois affaires en cours. Enfin, je rejoignais Marge à la cuisine, me versait un verre de rosé et appréciait le ciel zébré d'éclairs.
Et pourtant, j'avais oublié quelquechose, mais en l'instant, j'étais tellement satisfait que je ne m'en rendais pas compte. Et pour cause, ça faisait un moment que je laissais filer...
Oui, c'est chiant de commenter quand on part d'application sur smartphone...
RépondreSupprimerSur tablette c'est pas forcément mieux. On fait moins de fautes sur un vrai clavier, déjà.
SupprimerJe trouve aussi que c'est pas pratique de commenter depuis un smartphone. Ce qui fait que je commente beaucoup moins car je passe de plus en plus de temps sur mon téléphone !
RépondreSupprimerEt j'ai pris un retard de plus : je n'ai même pas encore testé d'autres lecteurs de flux !
Je pense que Feedly est un bon choix.
SupprimerCe qui m'inquiète plus, c'est ce que Nicols a pu constater: certains lecteurs de flux, gratuits, vont devenir payant avec une limitation; Ca, c'est pas bon...
J'ai de plus en plus de mal à lire quotidiennement aussi. Mais c'est bien dommage car, à mon avis, cela influe sur ma façon de bloguer. Bloguer et lire les autres en parallèle permet, bien souvent, d'enrichir mes propres billets, et de rebondir sur le billet des autres.
RépondreSupprimerMais bon, au delà des aspects techniques que tu évoques, c'est souvent le temps qui me manque.
Tu m'enlèves les mots de la bouche. Encore ce soir, 21:44 je rentre à peine de mon jardin où j'ai encore bossé...
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