Oser un court instant jeter un oeil sur ses bas nylons, plonger son regard dans ses yeux et s'y noyer, rougir à la vue d'un décolleté un peu trop osé : nous avons tous eu affaire un jour à une institutrice ou une prof un peu trop sexy pour enseigner. A l'opposé du dragon théatral maniant la règle aussi bien que le fouet, les jeunes profs de ma génération ont su jouer de leur charme pour attiser les fougues de leurs élèves - masculins. C'est ainsi que déjà au collège, je savais que j'allais poursuivre ma voie en Histoire, tant je prenais de plaisir en ce cours. Elle était jolie, mademoiselle, aux longs cheveux blonds, aux yeux bleu et au nez si fin qu'il lui dessinait un visage d'ange. Puis, mon regard se perdait dans son corsage aux deux vallées euphorisantes, pour laisser aller mon imagination au gré de ses formes généreuses... et de son petit cul si parfait ! C'était l'âge d'or où l'on se découvre un penchant pour les femmes, je n'avais pas été habitué à l'école primaire à tant de beauté ! On se laisse donc aller à rêver, à elle, à nous, à tout ce qui se cache là-dessous.
Cette année de sixième fut déterminante, je décidais que l'Histoire serait mon chemin. Je n'ai plus jamais eu cette prof, et quand je la recroisais au hasard d'une sortie, je n'osai l'aborder constatant qu'elle avait construit sa vie. Je n'étais qu'un gamin de 12 ans. Qui s'en souvient?
On change alors de registre : après un cursus qui ne m'amena plus jamais le plaisir partagé de la culture et du désir, j'atterrissais à la fac où ces vagues sensations se muèrent en désir sexuel, simplement. Devenu adulte, l'instinct prenait le dessus dans ce parc sauvage où la poulette était docile, mon charme en devint légendaire. Et là, je tombais sur l'opposé de ma prof du collège si timide : la prof allumeuse, l'institutice coquine, la chienne en chaleur (pour en devenir presque vulgaire). Un pâté de maquillage lui couvrait le visage, mais nous n'en avions que faire puisqu'elle avait l'habitude de s'asseoir sur les tables et de porter une mini-jupe ! Toujours premier devant la culture, je m'installais au premier rang des T.P. pour admirer sa facilité à écarter les jambes et à enseigner... euh, son anatomie. Des rumeurs circulaient sur sa facilité à donner des cours particuliers, et son corsage transparent semblait les confirmer. Mais méfiant, j'ai toujours préféré la suggestion à la démonstration, aussi je repense parfois, un sourire aux lèvres, à ma prof du collège si jeune, si jolie, dont le charme dépassait tout ce que le sexe montré pouvait suggérer...
Cette année de sixième fut déterminante, je décidais que l'Histoire serait mon chemin. Je n'ai plus jamais eu cette prof, et quand je la recroisais au hasard d'une sortie, je n'osai l'aborder constatant qu'elle avait construit sa vie. Je n'étais qu'un gamin de 12 ans. Qui s'en souvient?
On change alors de registre : après un cursus qui ne m'amena plus jamais le plaisir partagé de la culture et du désir, j'atterrissais à la fac où ces vagues sensations se muèrent en désir sexuel, simplement. Devenu adulte, l'instinct prenait le dessus dans ce parc sauvage où la poulette était docile, mon charme en devint légendaire. Et là, je tombais sur l'opposé de ma prof du collège si timide : la prof allumeuse, l'institutice coquine, la chienne en chaleur (pour en devenir presque vulgaire). Un pâté de maquillage lui couvrait le visage, mais nous n'en avions que faire puisqu'elle avait l'habitude de s'asseoir sur les tables et de porter une mini-jupe ! Toujours premier devant la culture, je m'installais au premier rang des T.P. pour admirer sa facilité à écarter les jambes et à enseigner... euh, son anatomie. Des rumeurs circulaient sur sa facilité à donner des cours particuliers, et son corsage transparent semblait les confirmer. Mais méfiant, j'ai toujours préféré la suggestion à la démonstration, aussi je repense parfois, un sourire aux lèvres, à ma prof du collège si jeune, si jolie, dont le charme dépassait tout ce que le sexe montré pouvait suggérer...
l'enseignement vu par un mec, mdrrr, quel mec n'a pas fantasmé sur sa prof et inversement ?
RépondreSupprimerPour ma part, je me rappelle avoir flashé sur mon prof d'économie... C'était en 3 secondaire je crois. Il était beau! Mais beau! Grand, brun, yeux bleus, percants, un grand classique quoi. Ceci dit, je n'ai jamais rien compris à son cours (avais-je la tête ailleurs????) et je me suis donc dirigée vers l'artistique. Fin de l'histoire... ;-)
RépondreSupprimer