samedi 27 juin 2015

Dans la ville blanche, au pays bleu

Vous avez le droit de me reprocher mon irrégularité bloguesque, mon manque de commentaires chez les autres. Il n'empêche que je suis toujours là, je lis mes camarades et il n'est pas un jour sans que je pense à bloguer. Hélas, le manque de temps, l'inopportunité du moment, font que je délaisse souvent ces pages.
Mais aujourd'hui me voilà. Je disais donc jeudi que j'avais testé les taxis à Lisbonne. En effet, Marge et moi avons pris l'avion pour nous octroyer quelques jours de coupure dans la capitale portugaise.
Nous y avons découvert une culture riche, un peuple gentil, un patrimoine exceptionnel. Et en sus, on a eu du soleil !


La vue depuis notre logement nous a offert un joli spectacle le premier soir. On avait trouvé une chambre d'hôte exceptionnelle dans le vieux quartier d'Alfama, le plus pittoresque de la ville.


Encore un coup de chance, depuis deux jours avaient commencé les fêtes de Lisbonne. L'occasion pour nous de nous immerger dans l'ambiance locale et de partager des moments privilégiés avec les habitants.


Ce premier jour, nous avons marché un peu vers le centre ville, à la recherche de l'attraction locale, le mythique Tram 28. L'Electrico parcoure Lisbonne en passant dans les principaux sites touristiques. Ce vieux tramway promet une balade exceptionnelle... de deux heures !


Là encore, respecter les files d'attente. Souvent plein, je conseille de prendre le tram à sa station de départ à Martim Mormiz (Dans le Chinatown local). Il en passe un toutes les huit minutes.


Mais déjà nous rejoigons nos pénates car nous sommes arrivés vers midi, le temps passe vite. Demain matin, nous déjeunerons face au Panthéon. Décidément, ce logement jouit d'une situation exceptionnelle, c'est le bon plan de la semaine ;-)

Nous avons passé trois jours à Lisbonne. J'ai pu déguster la bière locale, les plats typiques portugais, j'en parlerai surement dans l'annexe... 


4 commentaires:

  1. Aqui e além em Lisboa – quando vamos
    Com pressa ou distraídos pelas ruas
    Ao virar da esquina de súbito avistamos
    Irisado o Tejo:
    Então se tornam
    Leve o nosso corpo e a alma alada


    Ici et ailleurs à Lisbonne — quand nous allons, pressés ou distraits de par les rues, en tournant à un coin nous voyons soudain le Tage irisé : alors notre corps devient léger, et notre âme ailée.

    C'est de Sophia de Mello Breyner Andresen.

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  2. Tu as un vrai don pour donner envie d'aller là où tu passes (Belgique, Alsace, Portugal...)
    Merci !

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  3. C'est magnifique.
    Elle a perçu l'âme de la ville

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  4. Merci ! Attends la suite !
    (non ,j'déconne, ça fait un trou dans le budget tout ça: je vais vous faire découvrir ma région !)

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