Quand le dernier plan est apparu,
enchainant sur un fond noir, je me suis senti rassasié. Comme si la
fin de cet épisode grandiose concluait toute une histoire, celle de
Walter White et Jesse Pinkman, embarqués dans une aventure bien
inattendue qui tourne au drame subitement, avec une montée en
tension phénoménale. Pas de réel cliffangher, cette fois. Juste un
plan. Et après ce soulagement, celui qui nous fait passer en tête
que la série aurait pu s'arrêter là... une question. Une seule.
Celle pour le spectateur intelligent. Et là, la révélation, le
doute, l'interrogation, qui mènent à une seule chose: l'envie d'en
voir plus, de savoir toute la vérité et ses conséquences.
Car dans Breaking Bad, tout
tourne autour d'une réalisation impeccable, d'un faux rythme
volontaire, d'un jeu d'acteur étonnant et d'un scénario de malade.
Et une fois qu'on est dedans, on est accroc. Ce qui est peu étonnant,
en conviendront les connaisseurs: Walter White est un prof de chimie
qui, pour subvenir aux besoin de sa famille lorsqu'il se découvre
atteint d'un cancer, se lance dans la création d'amphétamines
accompagné d'un junkie un peu perdu, ce qui l'entraine dans les
méandres d'un cartel qui vont vite le dépasser... et donner une
série absolument géniale, à voir absolument en VO !
Purée, je suis encore bluffé tandis
que j'écris ces lignes..
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