mercredi 31 août 2011

Survivre à une attaque de requin


L'internaute nous explique comment réagir face à une attaque de requin. Un sujet qui nous concerne tous, et le webzine nous permet d'acquérir des réflexes de self défense en cas d'agression d'un Grand Requin blanc:
« la règle d'or est de ne pas paniquer » ce qui est évident. Tu vois un requin te tourner autour, tu le regardes avec admiration comme un poisson tropical. Et lui fait pareil avec toi; il te regarde comme un poisson tropical qu'il va bouffer. Grâce à ce calme maitrisé, tu observes s'il vient en ami ou pas. 

« Quelques signes indiquent qu'il est belliqueux : s'il nage de manière un peu aléatoire et que son corps est tordu en forme de S, s'il fait le gros dos, il faut à tout prix se méfier » Quarante visionnages des Dents de la mer t'auront appris à connaître par cœur le comportement du requin. Tu seras donc là, au milieu de son cercle, à étudier attentivement s'il est venu avec une boite de chocolats ou armé de ses grandes dents. Souvent, il oublie les chocolats, ce qui est particulièrement impoli, vous en conviendrez.

« Quoi qu'il en soit, il faut éviter de fuir en tournant le dos au requin, ce qui risque d'être interprété comme un comportement de proie. Il vaut mieux rester face à lui, et nager calmement et vivement sur le côté. Faire du bruit (en tapant du plat des mains sur l'eau ou en criant) peut l'effrayer. » Bon, déjà, s'il reste dans le coin, c'est surement qu'il t'a déjà repéré comme une proie. Il doit même sentir l'odeur de ton urine que t'as pas su retenir. Pour ceux qui pensaient disparaître derrière un nuage de mousse et se barrer en nageant, évitez. Appeler à l'aide est déconseillé, apparemment, mieux vaut mourir discrètement.

« Malgré tout, s'il s'approche, il faut le repousser, lui taper sur le museau, dans les yeux, les branchies, ou encore s'agripper à lui pour qu'il lâche prise. » Eh oui, c'est surprenant, mais on calme le requin agressif en l'accueillant pour un câlin, comme un petit chien de 4 mètres de long. Et en douce, hop, tu lui sors un coup de la fourchette dans les yeux, pan ! Un véritable conseil d'art martial. Après ça, le requin, c'est sur, meurt étouffé et aveugle. Ou il s'énerve vraiment et te croque une jambe. Justement:

«Enfin, il faut savoir que les requins se contentent souvent de mordre, le plus important est donc de faire soigner sa blessure très rapidement. » Si vous retrouvez votre jambe où le morceau qui manque à votre corps, et si vous êtes toujours en vie, ayez toujours un nécessaire à couture sur vous.
Il est quand même extrêmement rare de se faire attaquer par un requin quand on ne se baigne pas, les précautions à prendre sont donc évidentes, il suffit de ne pas aller dans l'eau. Pour un article de fond, c'est un article de fond !

mardi 30 août 2011

Pour aborder brièvement le sujet des niches fiscales...


Z'auriez pas vu une niche fiscale? Euh, non...
J'avais envie de rebondir sur le projet de suppression des niches fiscales, un moyen pour l'État d'augmenter les impôts de façon détournée et d'impacter encore un peu plus la classe moyenne – une nouvelle promesse non tenue par Nicolas Sarkozy - , mais l'actualité va très vite et mes confrères réagissent eux aussi. Je reste néanmoins très surpris qu'avec tant d'augmentations, de nouvelles taxes et mon pouvoir d'achat en berne, l'État parvienne encore à toucher le fond budgétairement... Ça laisse perplexe. Je ne saurai que vous inviter à cliquer sur les quelques liens contenus dans ce billet, non exhaustifs, pour éclairer votre lanterne.

lundi 29 août 2011

Ma précieuse


Tu es ma compagne depuis quelques années maintenant. Tu me soutiens dans mes coups de blues et mes délires, tes courbes généreuses à ton avantage lorsque je te tiens près de moi. Tu frémis, tu vibres. Mes doigts parcourent tes lignes. Tu ne restes pas insensible, je t'entends qui résonne, au rythme de mes caresses le long de ton corps. Depuis quelques temps je te touche moins. Je me souviens de ces moments passés ensemble, ces heures de travail l'un sur l'autre pour parvenir à cette parfaite harmonie. Dans la difficulté, bien souvent. Et à chaque étape, une satisfaction intense. L'envie est toujours là. Je te vois. Tu m'attends, sans un bruit. Un simple manque de temps, un objectif précis, une organisation chargée m'empêchent de profiter de toi. Tu es là, tu m'attends. J'arrive. Nous aurons des moments à nous, plus tard. Après. 

vendredi 26 août 2011

L'invitation


J'ai donc reçu une invitation officielle de la mairie, pour participer à un repas dansant, gratuitement. Pas d'autre mot que ce carton, accompagné d'un coupon-réponse. Le peu d'indication semble m'expliquer que c'est à l'occasion de mon passage dans la trentaine, trente-cinquaine (sic!) ou quarantaine*, et que d'autres convives du même âge étaient conviés. Vive les listes électorales. Sauf que je ne sais pas si je vais y aller. Certes, c'est gratos. Mais je ne connais pas grand monde en ville. Du moins, pas de cet âge précis. En plus, je ne vais plus rester longtemps à Arras, ce serait hypocrite de m'y rendre pour leur dire au revoir. Enfin, hypocrite aussi parce que je ne peux pas blairer notre maire-sénateur, et que j'aurais plutôt envie de le voir pour lui dire qu'Arras se meurt, qu'il ouvre les yeux, et que les impôts locaux sont trop chers. Et qu'on a du mal à stationner dans ma rue. Mais les réunions de quartier sont faites pour ça, alors je m'abstiendrais. J'irais peut-être pour manger... Ça me fera faire quelques rencontres et ça compensera un petit peu de mes impôts.

*cherchez l'intrus...

mercredi 24 août 2011

Libre d'être enchainé


Partout sur la blogosphère, en veille en ce mois d'aout, on voit fleurir des chaines. A l'aube des Primaires socialistes, celles-ci rivalisent de diversité et d'originalité, afin de confondre politique et divertissement. De la chanson socialiste ou anti-socialiste au choix du meilleur film, en passant par le « pourquoi on préfère tel candidat à un autre » auquel chacun aura de toute façon déjà répondu depuis un an de suppositions et de pronostics. En fait, les chaines sont surtout le prétexte de revitaliser une blogosphère endormie en été, par le biais d'échanges de liens à grande échelle. Par le passé, on lançait une chaine et on la passait à trois ou quatre comparses, et ainsi de suite. Aujourd'hui, on prend le Jegounotron et on bazarde une liste de 90 liens, et basta. Un peu impersonnel, je trouve. Un peu comme les bilans de liens massifs, que je refuse depuis quelques temps, les chaines à grande échelle m'indiffèrent un peu. On se sent moins privilégié. Ça a moins de charme. Et je m'en désintéresse un peu. Beaucoup. Complètement. Désolé.

mardi 23 août 2011

Face à l'écran


La pièce ne t'a jamais parue aussi étroite qu'aujourd'hui. Pourtant, elle t'accueille chaque jour, sur ce fauteuil confortable, où tu t'assieds bercé par le ronronnement doux de l'ordinateur, placé près du bureau où t'attends ton clavier. L'écran émet une lueur blafarde, ce fond d'écran commence à dater, il va falloir le changer. Par la fenêtre, tu observes le paysage. Le ciel chargé et les fines gouttes de pluie qui s'écrasent sur le carreau effacent cette mélancolie qui monte, et tu cliques sur ta souris pour t'évader sur la toile. La page Google s'ouvre, tu affiches ensuite l'actualité. Celle-ci, entre les déboires de DSK, les Primaires du PS qui se font attendre, les résultats sportifs et quelques anecdotes internationales, n'est que le reflet de celle d'hier. Toujours un peu la même chose. L'été, tout va plus lentement. Tu ouvres alors ton agrégateur de flux. Quelques dizaines de billets à lire. Rien ne t'inspire vraiment. Les gouttes de pluie s'intensifient, claquant brutalement sur la vitre. L'orage approche. Les titres défilent, tu souris. rapidement. Tu soupires. Il y a des moments où tu n'a simplement pas envie. Dans tes favoris, l'onglet Blogger t'attire. Tu cliques dessus, s'ouvre alors un écran familier: celui où tu taperas ces quelques mots montrant ton manque d'inspiration. L'angoisse de la page blanche, ça existe aussi chez le blogueur. Les lettres apparaissent à l'écran, tu devines les imperfections dans la tournure de tes phrases, qui, au fond, n'apporteront rien à personne. Mais qu'importe. Aujourd'hui, ce sera sans réel effort, sans réel entrain. La tête ailleurs. Tu finis par enregistrer ton billet. Tu le publieras plus tard, si rien n'est venu t'inspirer entre deux. Pour l'instant, tiens, tu vas aller te faire un café. Et regarder la pluie tomber.

lundi 22 août 2011

Prime de motivation

C'est alors que Marge grattait des lettres de motivation, qu'elle s'offusqua qu'on offre aux chômeurs de longue durée des primes comme celle de Noël. Elle voyait ça comme une récompense imméritée, qu'on offrait à ceux qui ne travaillaient pas, ce qui ne les encourageait pas à retrouver un travail immédiat. Elle proposa alors qu'on offre plutôt des primes de motivation à ceux qui cherchent et trouvent un travail, quel qu'il soit, dans la mesure où ceux-ci parvenaient au bout de leur effort à travailler au delà de six mois par an: une prime exceptionnelle qui féliciterait leur abnégation, et les encouragerait d'autant plus à trouver du travail.
Elle alla même plus loin, en s'attaquant à la prime pour l'emploi. Savez-vous qu'un travailleur qui bosse en CDD pendant 11 mois et demi, s'il n'a pas travaillé l'année complète, n'a pas le droit à la Prime pour l'emploi? Alors, ce sont ceux qui travaillent en CDD, finalement les plus précaires, qui ne bénéficient d'aucune aide fiscale; alors que celui qui a la chance d'être en CDI peut y prétendre. Je trouve personnellement qu'il y a un hic quelquepart. Des critères à revoir.
C'est donc face à l'augmentation du chômage de longue durée, face à la difficulté des jeunes à trouver un emploi, face à la sélectivité de certains travailleurs mieux indemnisés sans travail qu'avec, que devrait être conçu ce système de prime à la motivation. Je ne dis pas que l'idée est suffisamment précise pour être appliquée, mais que la réflexion mériterait d'être approfondie à l'aube de 2012.
François, si tu lis mon blog... fais passer !

vendredi 19 août 2011

Qui est "John le Rouge"?

Ceux qui suivent les saisons du Mentaliste, qui passe accessoirement sur TF1, en connaissent le fil directeur. Entre deux enquêtes, le héros, Patrick Jane, pourchasse le tueur qui a assassiné sa famille et qui se surnomme John le Rouge. Ce dernier signe ses crimes d'un smiley dessiné contre un mur avec le sang de ses victimes, et reste insaisissable, malgré les efforts du mentaliste pour le coincer. Toute la trame de la saison s'articule sur le jeu de dupe entre les protagonistes. Et concernant l'identité réelle de John le Rouge, dont le réseau semble être infiltré partout, le doute subsiste. Certains pensent qu'on n'a pas encore vu le personnage, que les scénaristes le révèleront un jour, comme ça, et que l'acteur n'a d'ailleurs pas encore été casté. La solution de facilité, selon moi.
Car rien de plus malin que de révéler au moment où la série s'essoufflera, que John le Rouge n'est autre qu'un personnage récurrent de la série: pourquoi pas l'impassible Cho? Intelligent, stoïque, il pourrait manipuler son monde... Ou alors, ce nouveau personnage constant dans la saison 3 – SPOILER MASQUE, surlignez le passage suivant si vous voulez le révéler...> l'agent fédéral O'Loughlin, nouveau fiancé de Van Pelt et bien trop clean pour être honnête...

Va savoir: je regarde le Mentaliste en même temps que vous, loin des diffusions américaines dont je m'épargne le visionnage, et je colle à cette série originale où l'enquête de police partage ses indices et permet au spectateur de chercher aussi le coupable... tout désigné qu'il sera après la mise en œuvre d'un plan génial de manipulation de l'incroyable Patrick Jane, héros charismatique à l'âme d'enfant.

mercredi 17 août 2011

Devant la porte, le vide


Rien de plus difficile que d'arriver à l'heure du repas du soir et de rester comme un idiot devant la porte ouverte du frigo, qui, bien qu'il soit plein, ne donne absolument aucune idée de plat à préparer pour sustenter sa faim. La solution? Demander à Marge de décider quoi manger. Elle ne manquera pas de suggérer le restaurant, ce que j'ignorerai d'un subtil changement de sujet -« oh! J'ai tué le chat du voisin en faisant marche arrière dans l'allée, mais t'inquiètes pas, il ne trouvera pas le corps » est une formule qui ne marche qu'une fois -, pour finalement revenir devant le problème: plus le frigo est plein, moins on est tenté. Quand il commence à se vider, tout devient évident: on fait avec ce qu'il reste. Mais là... On mange quoi ce soir?!

Justin Bieber, le prix qui déchire

L'actualité n'en finit pas en rebondissements insensés, incroyables et même peu crédibles, puisqu'on vient d'apprendre que Justin Bieber, le seul et unique, avait encore gagné un prix : le voilà élu comme « Plus mauvais chanteur de l'histoire de la pop »! Ce prix là, il ne l'avait pas vu venir, nous, si. Bon, ce qui m'intrigue le plus n'est pas qu'il le mérite ou non, mais que son armée de fans n'aie pas voté dans ce classement. A moins qu'ils n'aient été lucides sur ce coup? En tout cas les votes sont encore ouverts et la tendance pourrait s'inverser. Mais le fait qu'il soit proposé comme candidat laisse perplexe, car tout le monde sait que ce qu'il fait notre Justin, c'est de l'or en barre! Des tubes en puissance! Le reste est inconcevable. Non, non, n'insistez pas!
L'autre news incroyable, c'est sur Homer d'Alors !

mardi 16 août 2011

Vertige de la 3D


J'ai eu l'occasion, ce week-end, de regarder une partie du film L'inspecteur La Bavure sur un téléviseur qui gère la 3D sans lunettes. La première impression est celle d'une image lissée par le logiciel que contient la bête, et une gestion de la profondeur qui donne une sensation de relief qui n'en est pas une: en fait, l'image est traitée sous plusieurs couches, le premier plan, le second puis l'arrière plan. En mouvement, on a vraiment une sensation de profondeur, mais le personnage reste plat. Ce sont donc trois couches de « plat » superposées qui défilent le long du film. Et au bout de quelques minutes, une sensation de vertige m'envahit. Mon cerveau, aussi développé et intelligent soit-il – ce n'est pas un secret -, n'arrive pas à gérer cette image; elle le fatigue. A la recherche de nouvelles expériences cinématographiques, on dénature le film et surtout, on demande au téléspectateur de faire un effort supplémentaire pour suivre un film qui n'en demande vraiment pas...
Évidemment, on a tous ressenti cette sensation pour le peu qu'on soit allé au cinéma, porter ces agaçantes lunettes qui atténuent la luminosité du film pour rendre un effet 3D pas si saisissant que ça, mais particulièrement saoulant. On notera d’ailleurs que l'image, bien qu'en 3D, reste floue, bien loin du confort visuel apporté par la Haute Définition. Ça n'apporte rien de plus au film que cet effet d'annonce, telle une attraction dans un grand parc, et un coût d'exploitation plus élevé qui se répercute sur le prix des places. C'est d'ailleurs ce dont parle Custin dans son dernier billet.

vendredi 12 août 2011

Les seins d'Audrey Tautou sont-ils plus petits que ceux de Kristen Dunst?


Alors qu'Audrey Tautou annonce à tout-va qu'elle envisage de prendre sa retraite au cinéma – ce que je ne crois pas du tout Tautou – pour des motifs qui n'intéressent qu'elle ("Je ne suis pas attaché à ma carrière. J'ai plusieurs plans B : je me verrai bien marin; j'adore dessiner; j'aimerai apprendre des tas de choses, mais je n'ai pas le temps. C'est pour ça que je vais arrêter de jouer". Ouais, t'a du fric, tu vas t'amuser un peu avec, en gros. Si bien, tu me manqueras pas, je n'aime pas ton jeu.), moi je préfère les déclarations de Kristen Dunst, qui dévoile qu'elle a de gros seins. Je confirme en vidéo. Même si Audrey se défend.


mercredi 10 août 2011

1515


Je vais vous avouer un truc: je n'avais jamais regardé Secrets d'Histoire avant hier soir. Ça peut paraître surprenant, au vu de ma formation, et pourtant j'ai pris l'habitude de peu regarder la télévision, préférant me programmer un soirée « DVD » et maitriser ce que je regarde et quand je le regarde. Pourtant, hier, j'ai été happé par le programme. François1er, le Roi des rois. L'homme qui a implanté la Renaissance en France. Celui sans qui Chambord n'existerait pas. Le séduisant Roi des Français, qui a imposé la langue commune. Le vainqueur de Marignan, 1515. Le protecteur du grand Leonard de Vinci. Qui ne connait pas au moins l'un de ses actes? C'est toujours émerveillé que je regarde les reportages sur cette époque, si fastueuse. Et l'émission m'a scotché à mon fauteuil, me permettant d'éviter de somnoler devant le match du RC Lens qui passait sur une autre chaine.
Non seulement c'était bien réalisé mais en plus très enrichissant. Je ne sais pas si Secrets d'Histoire passe souvent, ni si les sujets abordés vont m'intéresser à chaque fois. Mais hier soir, j'ai passé un bon moment devant une émission du service public, ça a le mérite d'être dit.
Petit bémol, néanmoins: j'ai trouvé que le sujet sur Leonard de Vinci était de trop dans un magazine consacré à François 1er. Autant les autres sujets abordaient les actes du Roi, autant celui-ci, concentré sur le Génie, n'apportait pas grand chose à l'ensemble. Il aurait fallut aborder cela autrement.
Ceci dit, ça m'a littéralement donné envie de revoir les Tudors, dont étaient extraites certaines images illustrant le reportage. Même époque, mais mœurs bien différentes !

mardi 9 août 2011

Le rebond


Avec tout ce qui m'arrive en ce moment, l'annexe trouve une nouvelle jeunesse !
Par contre, un peu plus de mal pour le blog sportif coopératif...

lundi 8 août 2011

@jegoun a pris une cuite dans le Nord

Sur un banc de Douai. L'heure de la sieste avant et après l'apéro. Il ne supporterait donc pas la Ch'ti ???

L'OVNI ne voyageait pas dans le temps


Les amateurs de science-fiction ont pu en découdre dans les forums avec les événements des dernières semaines: une météorite qui s'écrase en Bretagne, bientôt suivie d'un OVNI signalé dans le Sud de la France... peut-être lui-même en provenance d'un astéroïde placé dans le même axe de rotation que la Terre autour du Soleil. Les suppositions allaient bon train. Eh bien, les autorités ont décidés d'entériner tout ça en expliquant que l'OVNI n'était qu'un caillou. Snif. Une désillusion de plus après avoir appris qu'on ne voyagerait jamais dans le temps. Putain, j'y croyais, moi. Nom de Zeus.

Heureusement, il reste la réalité. On vient de péter le ressort d'amortisseur. 200 euros de plus à la facture. Chouette.
Et Homer d'Alors s'actualise.

vendredi 5 août 2011

Au contrôle technique

Tous les deux ans, impossible d'y échapper: le contrôle technique. Arrivé à l'heure au rendez-vous, le doute m'a vite assailli. Depuis quelques temps, les routes cabossées et les trottoirs surélevés d'Arras me font craindre un problème d'amortisseurs. Eh bien ça n'a pas loupé: la voiture est refusée au contrôle technique pour fuite au niveau de l'amortisseur avant gauche. Et on veut me revoir en contre-visite d'ici deux mois.
Ce que je constate, c'est que les tests du CT sont de plus en plus stricts au fur et à mesure que les pièces de véhicules sont de plus en plus fragiles. On a voulu de la sophistication et maintenant, on se plaint que l'auto ne passe plus au CT. D'autant que ça va encore se compliquer puisque le type m'a dit qu'en 2012, il y aurait des anomalies qu'on laissait passer sans contre-visite qui allaient devenir bloquantes. Génial.
Bon, on va pas se plaindre, la voiture ne coute pas si cher: elle consomme peu, l'assurance est raisonnable et les pièces peu onéreuses. Malgré tout, devoir changer les amortisseurs ce mois-ci, c'est un peu galère. Un devis effectué me remet les idées en place: 250 euros. Je précise le prix d'un jeu de deux amortisseurs? 70 euros. Le garage a de la marge. Et il a le matos, sinon, je le ferais bien moi-même :-(
Ah ouais, et y'a aussi trop de fumée noire qui s'échappe du pot. Pas de miracle dans ce cas-là: changer le filtre à air et décrasser le moteur avant la contre-visite...

Google+ et moi

Ça y est, me voilà dans la cour des Grands ! Surpris par un mail de Gildan, et malgré la proposition de Camo à laquelle j'avais préféré ne pas donner suite immédiate, je me suis inscrit sur Google+ ce matin. Après un clic, le machin a reconnu mon compte et hop, je suis arrivé sur la page d'accueil. Ni une ni deux, j'ai vite compris le système de cercles et j'ai créé une communauté blogosphèrique en y ajoutant 25 de mes camarades pour commencer. Ensuite, j'ai farfouillé dans le truc: pas question de trop développer mon profil pour le moment. Le simple fait d'être connu sous mon identité réelle et de ne pouvoir la masquer dans les requêtes me gêne un peu. Les gens verront vite que je ne suis pas le vrai Homer Simpson. Cela risque d'entrainer une vague de suicides.
La plupart des fonctions primaires sont identiques à celles de Facebook. J'avoue être séduit par l'aspect privé des cercles, qui permettent de partager ses humeurs avec un groupe ciblé. A première vue, c'est le principal atout de Google+. Mais pour le moment, si 25 Millions d'utilisateurs ont apprivoisé la bête, c'est loin d'être le cas de tous mes amis en France. Dès lors, ma communauté se voit bien limitée. Ce n'est pas plus mal, ça va me permettre de me familiariser avec les différentes fonctions. 

Mon avis pour le moment: semblable à Facebook. Clair et instinctif dans ses fonctions de base. Va falloir que je lise les tests de mes camarades blogueurs pour en apprendre un peu plus. Par exemple il serait bien qu'il soit possible d'ajouter un ami à ses cercles en cliquant via son profil google (notamment pour les comptes Blogger)... j'ai pas trouvé la fonction encore. Je reste sceptique sur le degré final d'utilisation: je doute que les gens habitués à FB quittent leur réseau social pour plutôt utiliser G+. Une fois bien installé et à l'aise avec celui qui regroupe tous ses amis, pourquoi en changer? La conquête de Google est toujours possible, mais je la vois mal se faire dans des délais records.

lundi 1 août 2011

Jean-Louis



Tu vas vraiment me manquer. Salutations à toi, mon ami à la plume légère, qui veille sur nous de là-haut. Une page se tourne.

La culotte de cheval, en selle pour la rigolade !


Besoin de se changer les idées, ce week-end. Ça tombait bien, le soleil était au rendez-vous d'une nouvelle activité que j'allais découvrir. Au cœur d'une jolie fermette arborée et fleurie, se dressait un centre équestre bien aménagé. Un cadre idyllique pour apprendre l'équitation, en compagnie d'un couple d'amis habitués. Marge et moi décidions d'essayer.
C'est donc avec un peu d'appréhension que nous avons tenté l'expérience. Mon cheval s'appelait Hachich, et son nom correspondait avec son irrésistible envie d'aller bouffer de l'herbe. Un peu mal à l'aise au début, nous commencions à brosser l'animal avant qu'il ne fut sellé. Puis, nous emmenions nos chevaux à la carrière pour notre première leçon d'équitation. Nous nous exerçâmes à le conduire, par de petits jeux, et passions rapidement du pas au petit trot. Autant dire qu'il m'aura fallu du temps pour trouver le rythme auquel se lever en cadence, afin d'éviter que ne soient brutalisées mes petites fesses. J'étais surement ridicule. Je rebondissais, bêtement, sur le cul. Et même une fois le coup pris, je restais ridicule. Que voulez-vous? C'est tout moi!


Et bien que je fus crispé, à dada sur mon bidet, j'ai pris goût à la chose et j'y retournerais très bientôt. J'ai envie de progresser, et l'ambiance au centre équestre est très familiale. C'est ça, la campagne d'inch Nord. Oui, je vais y retourner. Mais laissez-moi le temps de me remettre de mes courbatures!