jeudi 30 octobre 2008

A Portée d'Art : comme son nom l'indique

Il y a cet épisode d'un Gars, une Fille qui me fait délirer complètement: Jean et Alex écrivent une dédicace insultante sur un livre d'or dans une expo de peinture, quand l'artiste arrive et leur demande ce qu'ils font. Jean sort alors une phrase mêlant Aristote, dogmatique, et autres termes complexes qui arrivent à dire que les toiles sont à chier, reflet de l'expulsion physique soulageant l'âme. Bref, un pur moment d'observation artistique que j'ai toujours eu envie de replacer quelque part. La culture, c'est comme la confiture. Autant avoir un pot plein. Aujourd'hui, on vous propose à vous, qui n'y comprenez que peu en art, des cours simples et dynamiques pour augmenter vos connaissances sans vous prendre la tête. L'art ne vous intéresse pas? Eh, mon gars, la musique, c'est de l'art aussi! Ah. Ça vous intéresse maintenant, n'est-ce pas?

A Portée d'Art


C'est là qu'intervient le nouveau concept d'A Portée d'Art . Rien que le nom est subtil. L'idée principale est de vous faire comprendre une perception de l'art, en maintenant les choses à leur plus simple degré. Pas besoin de connaitre le solfège pour apprécier le jazz, pas besoin de lire des documentations complexes pour accéder à la connaissance ou à l'histoire de la musique: lors des stages proposés, vous pouvez explorer le rock comme la musique classique, la peinture, le cinéma (eh oui!) ou la photographie. Je suis particulièrement intéressé par une étude du cinéma, c'est désormais accessible suivant deux formules : cours "magistral" en une après-midi, ou week-end d'initiation à Paris. La première formule est à 69 euros, mais la possibilité de faire intervenir les Comités d'Entreprises ou d'obtenir un chèque cadeau sur le site officiel rend accessible cette mini-formation à tous. D'autant qu'il est inutile d'aller bien loin: A Portée d'Art propose des cours dans 12 villes: Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Metz, Montpellier, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse, la ville rose.

Je me vois déjà en train d'explorer mon moi artistique, retranscrire quelques notes sur ma guitare, briller dans les soirées mondaines en discutant du dernier accord en Fa mineur d'ACDC, ou de Van Gogh qui n'était pas sourd d'une oreille, ou encore de Spielberg qui ne s'est pas inspiré d'E.T en allant aux toilettes un soir de cuite, contrairement aux croyances. C'est aussi l'occasion de partager ses connaissances avec d'autres, plus ou moins au fait de la chose. Une opportunité à ne pas manquer. Aussi, au final, je vous invite à visiter le site officiel d'A Portée d'Art en cliquant sur le lien !




Article sponsorisé

mercredi 29 octobre 2008

L'institutrice en chaleur a du succès !


L'institutrice coquine entra dans la classe, ses talons pointus martelant ses pas. Ses cheveux étaient attachés en chignon, qui laissait passer une mèche jusque ses lunettes épaisses qu'elle ne porterait plus longtemps. Les élèves avaient tous le regard figé sur elle. Elle ne portait pour simple vêtement qu'un tailleur gris qui laissait entrevoir le galbe de sa poitrine, il me semblait même que parfois, un téton cherchait à s'échapper. L'institutrice s'assit à son bureau, laissant entrevoir son triangle secret, et commença à nous parler d'animaux. Le chien, la chienne, en chaleur, le chat, sa chatte, en rut. L'imagination de tous les élèves était en ébullition. Déjà, on la voyait ôter sa veste et révéler à tous les secrets de son anatomie, ses seins bien fermes à peine cachés par un soutien-gorge en dentelle très suggestif. Elle approcherait alors du premier de la classe, son odeur sucrée éveillant tous ses sens, et détacherait ses cheveux blonds qui tomberaient alors sur ses épaules. On le valait bien. Elle aimait ses élèves. Déjà certains d'entre eux gigotaient. Un zip se fit entendre, la fermeture éclair de sa jupe. Cette dernière glissa le long de ses reins, exposant ses formes généreuses aux yeux de tous. Elle portait une culotte transparente. Tout était à notre vue et pourtant rien ne se voyait. Certains d'entre nous s'approchèrent. Elle les tint à l'écart: aujourd'hui, elle donnait son cours, un cours très particulier...

Voilà. Ce récit - sans suite à priori ;-) - était juste une petite suggestion aux 16% de visiteurs qui arrivent ici en tapant "institutrice en chaleur" sur Google.
Super requête!

Bien à vous,
Homer

mardi 28 octobre 2008

Feeder - Just a day

J'avais une petite envie de vous faire connaitre ce groupe. On en reparlera bientôt, leur nouvel album vient de sortir... Have some fun!



Blogger évolue, j'avais pas vu.

Ça faisait un bail que je n'étais pas allé fouiner sur les gadgets de Blogger, me contentant souvent de taper un article, de me mettre en page et de le publier. Mais ce matin, je me promenais sur l'interface de gestion quand j'ai constaté que de nombreux gadgets étaient apparus: suivi d'actualité, outils de bureau, jeux, technologie, j'en passe et des meilleurs: la liste est longue ! Utilisateurs de Blogger, votre blog devient une véritable station vidéo ludique. Déjà qu'on y passe du temps, c'est pas près de s'arrêter ! Pour exemple, allez zyeuter tout en bas de la page, j'ai rajouté là un vieux classique - il n'y sera que quelques jours - et amusez-vous bien. A pluche !

lundi 27 octobre 2008

La chronique des voisins: le Bonjour

Dans l'immeuble, c'est comme dans la jungle: on craint les prédateurs. Ceux-ci, vicieux, sortent de chez eux armés d'une chose qui fait fuit tout un chacun qui les croiserait : le Bonjour. Nous sommes sept appartements. Tous habités par des gens dans la même tranche d'âge. Et pourtant quand on sort de chez soi, et qu'on entend qu'un autre locataire fait de même, il est rare qu'on le croise. Ce locataire attend près de sa porte, hésite, et finalement patiente jusqu'à ce qu'on soit sorti. Par peur de devoir nous croiser et dire un simple Bonjour. Vous vous rendez compte de la société dans laquelle on vit? Il y a encore quelques mois, aucun d'entre nous n'hésitait et on se disait poliment Bonjour en se croisant dans les couloirs ou dans la rue. Depuis quelques temps, les locataires ont changé et c'est terminé. A part mon voisin du dessous qui me salue volontiers et qui est très sympathique. Pour le reste, c'est la jungle. Et je suis le lion. Car moi je n'hésite pas à sortir même si j'entends du bruit dans le couloir, pour les obliger à me croiser. Rendez vous compte, il y a au moins deux locataires que je n 'ai jamais vu depuis leur installation il y a 3 mois ! Pathétique, si c'est ça la mentalité de la ville... je réfléchirais sérieusement à m'installer à la campagne. Et on peut pas mettre ça sur le compte de la baisse du pouvoir d'achat, un Bonjour ne coute rien....

vendredi 24 octobre 2008

De l'importance d'un bon titre

L'apprenti bloggeur n'a qu'à bien se tenir: le plus important quand on veut faire passer un article, c'est d'abord le titre! Autant l'article peut être riche, bien conçu, drôle ou pétillant d'idées, si le titre n'accroche pas, il restreint considérablement l'envie du lecteur à dévorer les lignes. En cette période où tout un chacun s'essaie à l'optimisation du bloggage, j'ajoute ma pierre à l'édifice en vous parlant donc... du titre.
Le titre, c'est essentiel, il est l'accroche principale pour tout lecteur. C'est d'autant plus vrai depuis l'explosion des agrégateurs de flux comme Netvibes, où l'indexation de vos articles s'organise autour du titre. Du coup, un lecteur fidèle ira lire plus facilement un article si le titre l'interpelle. Un exemple bateau qui n'engage que moi: si le titre comporte des mots complexes ou parle d'un sujet qui ne m'intéresse pas, trop banal ou trop commun sur la toile (notamment en ce qui concerne l'actualité), j'ai tendance à zapper. En revanche, si l'approche est originale, fun ou subtile, ou qu'elle révèle l'intérêt de l'article, alors ça titille ma curiosité et je me lance dans la lecture de celui-ci. Sélectionner par le titre est le seul moyen d'optimiser ses lectures, surtout quand on aime ça mais qu'on manque de temps. Le matin, je lis une demi-douzaine d'articles en m'appuyant d'abord sur l'intitulé. Le reste c'est pour le soir, si j'ai du temps. Obligé, pas le temps. Et pourtant je commence de bonne heure, Nicolas J en témoignera.
Le titre importe aussi pour le référencement du blog ! En effet, l'utilisation de mots-clés ou de termes fréquemment recherchés haussera votre fréquentation et votre référencement dans les moteurs de recherche. Attention à la saturation, utiliser le mot sexe ne vous apportera rien vu la pléthore de sites qui l'utilisent déjà. Il faut donc être subtil et précis. Néanmoins, pour le lecteur fidèle, seule l'accroche bien faite importe, pas le référencement.

Le titre doit être une ouverture claire vers le sujet. Marquer un truc du genre "Ergonomie des monastères" et parler du dernier fabricant de sabots en Lozère, c'est trop décalé. Même si de temps en temps, un intitulé loufoque et complètement hors de propos pourra vous amener de sympathiques visiteurs ou vous positionner dans les classements - pour ceux que ça interesse - plus facilement quand même. Une pointe d'humour, un titre précis et "racé", parfois suivi d'un sous-titre plus clair, un jeu de mots... plein de solutions faciles s'offrent au bloggeur pour optimiser son en-tête.

Mais bien sur, l'article en lui-même est le plus important, c'est pourquoi la plupart des bloggeurs développent leur post avant d'y trouver un titre.Trouver un bon titre ne dispense donc pas d'un bon article. Car tous les bloggeurs vous le diront: ce qui importe, ce sont les lecteurs fidèles, pas les visiteurs d'un jour.

jeudi 23 octobre 2008

Au pif !

Je me suis pris une porte hier soir. Paf, dans le nez. On peut être con, des fois. Ça m'apprendra à me balader dans le noir. Pourtant j'étais sur que cette porte était grande ouverte.
Bah non.

mercredi 22 octobre 2008

Christine Albanel et Internet : un combat pour le retour du minitel?


Le 29 Octobre sera présentée devant le Parlement le projet de loi Hadopi "Internet et Création" (souvenez vous ici) en dépit de son bide devant Bruxelles. Mme Albanel a décidé de se taper la honte jusqu'au bout et de foncer droit dans le mur, persuadée qu'envoyer 3000 lettres recommandées par jour pour en arriver à couper les connexions internet de la ménagère endigueront un piratage qui semble incontrôlable. Mieux encore, rien n'a été pensé dans cette loi, pour sanctionner le pirate utilisant la connexion wi-fi d'un autre individu : c'est donc ce dernier qui se verra couper internet. On en rajoute une couche: si l'individu possède une offre Triple Play, il perd internet, télé et téléphone d'un coup ! Je me demande même, si cette loi venait à passer et à sanctionner des personnes, si elle ne serait pas contrée par les lois visant les libertés informatiques et individuelles, sans compter le droit à la copie privée. Et pour extrapoler, même avec plusieurs procès, je me demande si la Cour Européenne ne donnerait pas raison à l'individu attaqué par l'Etat (vu que le projet de loi a été rejeté par le Conseil Européen à la majorité). Un tel procès pourrait amener une jurisprudence qui changerait pour de bon la face "cachée " de l'internet, celle qui fait peur aux maisons de disques et studios de production incapables de se moderniser et de trouver des solutions abordables, viables et originales qui répondraient aux attentes de l'internaute. La situation peut sembler ironique après l'annonce officielle du développement numérique en France, visant à équiper tous les foyers et individus d'une offre internet ADSL, qui elle-même est la porte ouverte à une utilisation ponctuelle ou massive d'un nouveau modèle multimédia dont les failles sont connues. Pour parler d'autre chose tout en restant dans le domaine, des solutions avaient été proposées via la VOD, qui mettait à disposition rapidement et légalement - pour une petite contribution - les fichiers vidéos que les internautes pirates téléchargeaient habituellement. On parle ici de version originale sous-titrée, disponible dès le lendemain de sa diffusion outre-atlantique. Malgré le succès avéré de l'offre, son catalogue manque d'ampleur et d'anticipation, et l'offre va devoir s'étoffer pour réellement concurrencer un piratage qui s'avère, lui, complet et gratuit.

mardi 21 octobre 2008

Billeterie Auchan [la galère]


Oasis est en concert à Lille fin janvier 2009 et je serai de la partie ! 10 ans de fidélité au groupe de mes années lycée, et enfin, le rêve se réalise: assister à un concert dans une folle ambiance où les frères Gallagher expédieront leurs chansons au public, qui reprendra les refrains... Bref, que du bonheur à prévoir. Et ce serait mérité, vu qu'il est dur d'acheter ces billets: Madame Auchan s'est mise sur ma route et je lui en veux encore... Récit d'une aventure de Marge: Ce matin, ouverture de la billeterie à 10h. Je ne tardais pas à demander à Marge d'aller acheter des places, étant donné que je suis au boulot et donc dans l'impossibilité de me déplacer là-bas moi-même. Ici, le fournisseur, c'est la billeterie Auchan. Alors, Marge passe par mon boulot pour obtenir le chéquier, une pièce d'identité et tout ça, et se rend là-bas. Madame Auchan l'accueille, édite les billets, et refuse tout bonnement le paiement. Et oui, je ne suis pas là pour témoigner que c'est bien mon chéquier et ma volonté d'acheter ces billets; pourtant j'avais déjà appellé Auchan deux fois ce matin ! Alors on se retrouve dans une situation ubuesque: les billets sont sortis mais on ne peut pas les réserver (sic!), la vendeuse refuse de les donner ou de me parler, et Marge ne peut pas vraiment avancer l'argent. Et la caissière de lui dire: "Vous n'avez qu'à ouvrir un compte chèque commun" Non mais, elle veut pas que je fasse un don de sperme non plus? Et mes billets je les aurais quand? Dans l'impossibilité de réserver (même en laissant une pièce d'identité), et moi de me déplacer, et vu que les billets étaient sortis à mon nom, on était bloqué. Je suivais la scène au téléphone. Inutile de vous dire que j'étais un ch'ti peu énervé, hein. Je n'arrêtais pas de dire à Marge: "elle veut pas te laisser les payer, bein casse-toi alors. Mais moi je vais y aller ce soir et j'te jure je vais lui péter la gueule". Ouais, c'est à peu près ça.
En finalité, Marge céda à la méchante guichetière, et avança l'argent par ses propres moyens (ce qui m'horripile vu qu'elle n'avais pas à avancer l'argent pour moi). Mais une chose est sure: à la Fnac sur internet, ils ne vérifient pas si c'est bien toi qui paie en ligne. Alors la prochaine fois, je sais ce que je ferais.
J'agresserais une mamie (ou une caissière Auchan, tiens !) pour acheter des places, avec ses sous à elle...

lundi 20 octobre 2008

Se sentir plus fort

Mon absence sur ce blog, ces derniers jours, trouve son explication dans une quête introspective personnelle que j'ai débuté au détour du Népal, en l'an de grâce 1458. A l'époque, je rencontrais Ho, moine bouddhiste qui avait la faculté de savoir voler. Le moine Ho, fier de ses pouvoir, battait des bras et explorait le monde. C'est en son honneur que je me présentait, vêtu d'une toge trop courte, à la soirée spéciale InQuest Black Night, organisée près de Lille ce vendredi. D'un simple regard, j'évaluais rapidement la situation: groupe de rock, petits fours, bar, population et (cinquième élément), les WC. J'allais me soulager en attendant le reste de mon équipe qui ne tarda pas à arriver. Ainsi, les Quatre fantastiques, élevés dans la plus pure tradition en fût de chêne, allaient affronter danger et inconnu pendant deux heures de folie au cours desquelles toute leur connaissance du Shaolin allait leur être inutile.
Après un long moment de concentration anti-constipation, au rythme d'une étrange mélodie accompagnée de chants rituels des droits amérindiens (Get Up - Han !), l'équipe se rassembla et entra par le sas en direction de sa destinée... diverses épreuves nous attendaient. Comme dans Fort Boyard mais sans Passe-Partout ou la Boule: labyrinthe sans Minotaure, épreuve de vitesse et physique, culture générale... le tout dans le noir le plus total, seulement éclairé par un laser qui tourne dans les salles. Et enfin, le Monde des Airs. Moine Ho, je pense à toi. Suivant le parcours difficile, dans l'obscurité à 40 mètres du sol, l'enseignement bouddhiste me servit surtout à retenir ma vessie, et je passais les étapes une à une avec à chaque fois plus d'assurance. Suivant Fabi One, Tonton Alesque et Marge, l'équipe survit à l'épreuve et s'enorgueillit d'un succès supplémentaire.
Las, je récupérais mes forces en méditant sur un siège, voyant peu à peu notre performance passer de la 8ème place à son effacement du top 10. Je retenais alors la pulsion d'énergie qui montait en moi, veillant à ne pas déclencher de Kame Hame Ha au beau milieu d'une foule nombreuse. Il faut savoir rester humble. La mission a été un succès. C'est là l'essentiel.

Plus d'infos sur InQuest ici !

vendredi 17 octobre 2008

La chronique des voisins: l'homme qui ne respire pas

2 heures du matin. Je suis réveillé par des paroles. Je m'étais endormi avec. Le voisin d'à côté, Antoine Ducon, reçoit ses amis le soir. Ils sont arrivés vers 22h cette fois-ci. Et encore une fois, ils parlent fort. Enfin, IL parle fort. Car ce n'est pas Antoine Ducon qui fait du bruit. Ni ses autres abrutis d'amis. Et encore moins la pétasse qui les accompagne souvent. Non, ce soir, comme presque tous les soirs, c'est Rodrigue. Bla bla bla... Blal bla bla. Blalbla blaaaa... Après un quart d'heure, un étrange phénomène me parvient. Cette homme parle sans cesse, le débit est continu et il ne s'arrête jamais. Cette homme ne respire pas. C'est pas possible. Et en plus, il monologue. Personne d'autre ne cause. Un truc de fou. Ou alors il a trois poumons?
Sans compter qu'il semble que je ne sois pas le seul à être agacé: j'entends un des leurs partir, furax. Antoine Ducon le rattrape et lui demande ce qu'il a. Celui-ci répond qu'il en a "assez de l'entendre parler, qu'il croit qu'il sait tout et qu'on peux pas en placer une". Pas moyen de le retenir, cet ami s'en va. Et pendant ce temps, Rodrigue continue de blablater. Encore et toujours. Sans respirer. Jusqu'au bout de la nuit.
Tant et si bien que moi aussi j'en ai eu assez. Incapable de me rendormir sous ce flot de paroles débiles, j'allais me coucher... dans le canapé!

Non à la fermeture

Ce message sera bref.
M6 a décidé de fermer ses locales au profit d'un journal de 20H national qui nous répétera ce que l'on peut déjà voir ailleurs. Terminé l'info local en 6 minutes. Terminé l'originalité du support. Terminé certains emplois sur le secteur. C'est nul. Je pousse un coup de gueule.
Voilà. C'est fait.
Soutenons les salariés et pigistes de M6 Lille et locales.

mardi 14 octobre 2008

Un pot local


Allez, on repart avec de la bonne humeur et on va parler des pots. Pas des pots de fleurs, non, mais des apéritifs festifs organisés par les collègues ou les amis. Aller boire un pot, par exemple. Toute occasion est bonne ! Ça ne tiendrait qu'à moi, la vie ne serait qu'un pot perpétuel. Cette fois-ci, c'est à l'occasion d'une naissance que nous nous sommes tous réunis. Une trentaine de personnes, collègues de surcroit, à discuter et se marrer autour d'un verre de mousseux et quelques biscuits. On a beau dire qu'il s'agit d'une pratique de tire-au-flanc, ces réceptions improvisées sont nécessaires à la bonne humeur d'une entreprise ou d'un service, car ils renforcent les rapports entre des individus qui ne se seraient pas parlés au détour d'un couloir, sans raison.
Cette année, entre naissances, retraites et célébrations de toute sortes, les excuses sont toutes trouvées pour se rassembler, et à l'approche d'un changement fondamental dans l'entreprise, renforcer les rapports entre les gens est de bonne augure. L'union fait la force, hein! Alors, nous nous sommes retrouvés dans une petite salle dédiée, la flute à la main, les sourires aux lèvres, à fêter tout ça, parce que finalement, la vie n'est jamais si triste qu'on le dit. On se rappelle simplement trop des mauvaises choses et on ignore ces petits instants où le temps s'arrête pour laisser à nos pensées le temps de souffler un peu.
En attendant que les dirigeants divisent pour mieux régner, il ne faut pas louper ces occasions de festoyer avec des collègues ou des amis, parce que même si ça n'éclaircit pas tout, c'est un ensemble de petites choses qui révèlent le sens de la vie ;-)

lundi 13 octobre 2008

La guerre des commentaires


Cette fois-ci, je modère ! J'ai longtemps pensé que ce blog pourrait être un endroit de libre expression où chacun pourrait donner son avis sur les sujets abordés dans le respect et la politesse envers autrui. Histoire de faire avancer le débat qui a secoué mon petit univers récemment, confronté que je fus à la querelle inapproprié de deux mecs qui peuvent pas se piffer pour des raisons qui leur sont propres. A cela je n'ai qu'une chose à dire: pourquoi ne pas, simplement, s'ignorer? C'est surement la solution la plus sage et la plus intelligente. Au moins, civilisée. Alors que j'aimais à lire les commentaires et les réactions de mes lecteurs chéris, leurs conversations vont désormais se voir tronquées, pour un temps. Je vais modérer les comms, et je les validerais le midi et le soir. C'est dommage. Ça entrave le rythme de ceux-ci, mais vous me comprendrez, j'en suis sur. Car il faut savoir que même si je les reçois là où je suis en temps réel, je ne peux pas intervenir en direct, pour prévenir les débordements. Suite aux conseils de blogueurs, et au détriment des conversations que j'ai pu avoir avec d'autres dont l'âge ne reflète pas vraiment la maturité, j'ai supprimé les commentaires insultants des articles concernés. Un premier geste d'autorité du taulier trop souvent sympa de ce blog.

Ensuite, et comme j'ai envie de me lâcher, je tiens à dire à ceux qui laissent des commentaires entendant que ce que je dis est faux ou erroné, qu'il est dans l'intérêt de chacun de me le signaler en se justifiant ou en apportant des précisions. Souvent, ceux là piquent mais ne reviennent pas. Je rappelle que le blog est avant tout un lieu où je dis ce que je pense, parfois selon des sources, parfois non. Et à ce titre, j'ai le droit de me tromper. Je ne suis pas obtus, je ne suis pas spécialiste en la matière, et j'écris trop souvent comme je pense. Mea culpa. C'est un peu ce qui me rend humain, non? Alors, quitte à laisser un commentaire qui critique, faites en sorte qu'il soit constructif ! Le chemin du Rayon est un blog modeste, sans prétention, mais je tiens à ce qu'il reste propre, et fidèle à l'image que je souhaite en donner.

A bon entendeur.

dimanche 12 octobre 2008

Joli mois de mai

On à peine à croire qu'on arrive bientôt au 15 octobre. Profitant des rayons de soleil, Marge et moi sommes allés nous promener le long du canal qui mène d'Arras à St Laurent, pour ceux qui connaissent. Un coin de verdure au calme d'une campagne virtuelle où les promeneurs prennent du bon temps, pique-niquent (l'un ou l'autre), et profitent du silence. Canards, poissons, soleil, on se croirait presque dans le monde de Dora... au printemps ! Bref, après quelques minutes de marche, nous eûmes tôt fait d'ôter nos pulls. Une telle température en cette saison c'est étonnant....

jeudi 9 octobre 2008

Pathétique

Certains événements d'aujourd'hui me font pitié. On essaie de rigoler un peu et puis...
Bref, les fidèles lecteurs sauront de quoi je cause, inutile de polémiquer.

Ecologie, frites et automobile

Qu'est devenue la voiture qui roule à la frite? On en parlait encore lors du Grenelle, de cet allemand qui faisait rouler sa voiture alternativement avec de l'essence et de l'huile de friture usagée. Et aujourd'hui, en ces temps de crise où la moindre économie révèle le double de la valeur d'une idée, on n'entend plus parler de ce petit génie dont les fringues sentent la frite. Pourtant, il s'agissait là d'une idée qui aurait pu changer la face du monde (ainsi que son odeur) puisque tout-un-chacun aurait pu produire sa propre énergie ! S'est-il fait croquer par un car de touristes belges? Le soleil l'a t-il roussi? Est-il tombé dans un pot de mayonnaise?
Le principe était simple, souvenez-vous: à l'instar des moteurs hybrides, un simple bouton suffisait pour passer de l'essence au démarrage à l'huile de friture pour la route. A cela deux problèmes majeurs: l'odeur, très forte, et le taux de cholestérol du conducteur qui avait tendance à exploser. Mais l'idée était posée, et on entendit ensuite parler des énergies alternatives comme l'essence au colza, inspirée de notre petit homme-frite, mais qui restait bien moins écologique. Le mot est lâché.
Mais aujourd'hui, les lobbies du pétrole ont sans doute grillé notre allemand amateur de pommes de terre. Pas de nouvelles. Disparu de la circulation. Peut-être le reconnaitrez-vous au détour d'un stand du salon de l'automobile à Paris? Allez trainer du côté des énergies renouvelables. Si vous sentez une drôle d'odeur, ce sera peut-être lui...

mercredi 8 octobre 2008

Sarko et les arts martiaux?

Vladimir Poutine s'est montré à son avantage: une vidéo a été distribuée en Russie pour montrer à tous les valeurs du sport, notamment du Judo (source Télématin). Et c'est Poutine lui-même qui fait une démonstration de cet art martial, où il confirme qu'il mérite bien sa ceinture noire. On est donc en droit de se dire que nos dirigeants savent réellement se battre: Poutine fait du judo, et Sarko est un cas raté.

mardi 7 octobre 2008

No comment

Il a du talent et seulement 15 ans... Révélation du web, made in Valenciennes !

lundi 6 octobre 2008

La Crise expliquée aux Nuls

Si, comme moi, vous n'aviez pas suivi et donc rien compris à la Crise qui secoue le monde de l'économie en ce moment, je vous invite à aller revoir l'émission Capital d'hier soir, dispo sur M6 Replay pendant une semaine. Abordée avec un regard clair, les sujets expliquent ce qu'il faut savoir pour comprendre les causes et conséquences d'une crise engendrée il y a déjà un an et demi par le phénomène des Subprimes. Même si, parfois, on pourrait approfondir, les thèmes abordés survolent bien -je trouve- les évènements et permettent au petit peuple inculte dont je fais partie d'aborder plus intelligemment les sujets qui passent aux infos.

Le maïs ne se digère pas !


C'est en tout cas ce que tend à prouver la belle crotte laissée là par un brave et courageux toutou...

mercredi 1 octobre 2008

Une éclaircie sur les Newsgroups (liste de serveurs gratuits)

Les récentes réactions de l'Europe face aux lois informatiques (notamment le "piratage") et le pathétique entêtement de Mme Albanel à poursuivre sa voie vers l'Hadopi sont une véritable éclaircie dans le paysage des Newsgroups et du P2P, notamment en ce qui concerne les sites et serveurs situés en France. Déjà la proie de poursuites, pour le P2P, le chemin semble plus propre et plus sur du côté des serveurs de groupes binaires comme Bug & Boot France, qui propose des formules alternatives et attractives, ainsi qu'un site entièrement en Français et une assistance réputée fiable.
Si vous n'y connaissez rien en Newsgroups, lisez ceci et revenez là.
Maintenant que vous en savez un peu plus, pourquoi ne pas compléter les accès restants et les serveurs gratuits (cités plus bas) par un petit abonnement de complémentarité pioché chez Bug&Boot? Si vous n'êtes qu'un téléchargeur occasionnel, vous trouverez votre bonheur...

Liste des serveurs gratuits de Newsgroups binaires.
Ceux-ci peuvent parfois cesser de fonctionner pendant quelques temps et revenir au top quelques jours plus tard. A configurer sur votre grabbeur avec port 119, sans identification ou mot de passe. Deux connections maximum par groupe, sinon, blacklisté ! L'astuce est de les lancer simultanément, ce qui augmente le nombre de "queues" disponibles pour un même fichier ;-)
Have Fun !

freebin.readnews.com
freebin-auth.readnews.com
nova.kpn-is.nl
free.sonic-news.com
test.news-service.com (avec une nouvelle configuration sécurisée)